Maniérisme

"L'architecture au temps du baroque : 1600-1750" Publié le 31 octobre 2008 par Marc Chartier La Renaissance a inventé un nouveau langage architectural, faisant appel à une rhétorique basée sur des «jeux savants et élitistes» et débouchant souvent sur un "maniérisme" éloigné du "vulgaire", impliquant une familiarité avec un ensemble de références savantes et de subtilités intellectuelles.Par contraste, et pas nécessairement par opposition, la période dite "baroque" privilégie plus directement le "sensible"

la Renaissance. De nombreux personnages comme Masaccio (un peintre italien), Donatello (un sculpteur italien) pour qui il porte une grande admiration, l'influence énormément dans son travail. Il fait partit d'un mouvement artistique qui est le maniérisme. Ses œuvres {draw:frame} Ses tableaux les plus célèbres sont la fresque de la chapelle Sixtine, l_e _Jugement dernier (1508-1512), le Martyre de saint Pierre dans la Cappella Paolina du Vatican. Ses Sculptures les plus connues sont

autant poète que peintre et graveur. Il illustre les poèmes qu’il compose. Sa manière de faire se rapproche de celle de Füssli par son aspect fantastique et ses couleurs irréalistes. C’est un peintre dont le souffle visionnaire est influencé par le maniérisme, Michel-Ange et l’art gothique.

respecte cependant quelques principes de base. Tout nous laisse à penser que son style est clairement « moderne », peut être même inspiré du Bauhaus... Et pourtant, il site: "je ne suis pas un architecte moderne. Je veux du baroque, de la poésie, du maniérisme » Comme la plupart de ses confrères, notre époque lui permet de ne plus être rattaché à tel ou tel mouvement. Cette liberté lui donne la possibilité de puiser ses références où bon lui semble. Cette « liberté créatrice » lui fait ainsi jouer avec

de la première moitié du XVIIe siècle. Mais il va de soi que les auteurs du XVIIe siècle n'avaient pas conscience de ces catégories et que la littérature dite baroque a très largement nourri la littérature dite classique. Il en va de même pour le maniérisme qui précède le classicisme et le rococo qui le suit. Roger Zuber[4] définit le classicisme à partir de la notion de goût qui désignerait une capacité à trouver un équilibre juste entre des tendances contraires. Ce goût serait né dans les salons

d'ordinaire traités en prose, le rythme poétique. Enfin, en entremêlant plusieurs genres, il produit des ouvrages qui peuvent paraître étranges. La poétique de La Fontaine est riche d'éléments baroques, et on a pu parler à juste titre de son « maniérisme ». Elle ne renie pas pour autant les principes clefs du classicisme : admiration des Anciens (il prend position en leur faveur dans la Querelle, mais avec modération), souci de régularité et de bienséance. Même dans les Contes, les sujets scabreux

l’Eglise à Titien. Ce tableau est exposé en Italie à Venise dans l’église Santa Maria Gloriosa dei Frari. II Aspect culturel La renaissance se compose de 4 périodes : la pré-Renaissance, la Première Renaissance, la Haute Renaissance et le Manièrisme. Titien s’inscrit dans la Haute Renaissance aux côtés de Léonard de Vinci, de Corrège ou encore de Michel-Ange et Raphaël également connus pour leurs œuvres architecturales. Nous pouvons aussi citer Valente en musique et Corenzo Valla en littérature

de dépasser la réalité, de s’élever au-dessus d’elle pour nous procurer du plaisir par une élévation de l’esprit ? Ils n'existèrent qu'au jour où l'art les inventa. Maintenant, il faut l'avouer, nous en avons à l'excès. Ils sont devenus le pur maniérisme d'une clique et le réalisme exagéré de leur méthode donne la bronchite aux gens stupides. Là où l'homme cultivé saisit un effet, l'homme d'esprit inculte attrape un rhume. » III - Le génie 1) L'artiste bénéficie d'une inspiration divine L'artiste

Italie et décède le 23 novembre 1572 à Florence. Il est le représentant du mouvement maniériste. Il devient le portraitiste officiel de Côme de Médicis, le duc de Florence. Il s'est beaucoup inspiré des oeuvres de Michel-Ange et de Raphaël. Le maniérisme se caractérise par la multiplication des éléments, par des symboliques, par son érotisme, la déformation et la torsion des corps, la recherche du mouvemet, la modification des proportions des parties du corps et le contraste des tons. Le tableau:

(colonnes, frontons, corniches) mais il y a aussi des éléments nouveaux : Les arabesques qui donnent du mouvement au bâtiment. Le baroque n’est retenu par rien, il n’y a pas de limites, et une grande liberté. La peinture est dominée par le maniérisme exemple : peinture de Carrache. Dimension de la mort très présente. Le Caravage va privilégier des thèmes plus réalistes. Dimension de la mort, mise en valeur par le clair-obscur. Rubens, peintre des Flandres du côté