Manon Lescaut Mort Registre Pathétique

3 J. Romains, Knock ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Molière, Le Malade imaginaire ANALYSE D’IMAGE HISTOIRE DES ARTS Mise en scène de La Double inconstance Mise en scène de Musée haut, musée bas Extrait de Don Giovanni de J. Losey H. de Montherlant, La Mort qui fait le trottoir 26 26 28 28 29 30 31 32 34 Le mythe de Don Juan, du théâtre au cinéma 4 S O M M A I R E Lecture de La Leçon E. Ionesco, Rhinocéros Exercices d’approfondissement 1 Molière, Le Tartuffe 2 E. Labiche, Un chapeau

- Leçon 3 : Enoncé énonciation 16 - Exercices 19 - Leçon 4 : Les types de textes 22 - Exercices 25 - Leçon 5 : Les actes de langage 29 - Exercices 32 - Leçon 6 : Les registres de langue 34 - Exercices 39 - Leçon 7 : Péjoratifs et mélioratifs 45 - Exercices

langage 10 Exercices 13 Leçon 3 : Enoncé énonciation 16 Exercices 19 Leçon 4 : Les types de textes 22 Exercices 25 Leçon 5 : Les actes de langage 29 Exercices 32 Leçon 6 : Les registres de langue 34 Exercices 39 Leçon 7 : Péjoratifs et mélioratifs 45 Exercices 51 Leçon 8 : Sens

informations, les organiser, en vue de les transmettre à l’oral. III-2 Recueillir des informations et les traiter en vue de les transmettre fidèlement par écrit. IV- EXPOSE ORAL IV-1 Prendre la parole en tenant compte des paramètres de la communication (registre de langue, système d’énonciation, effets visés, implicites, sous-entendus…). 8 Nouveaux Programmes de Français – édition 2008 IV-2 Mobiliser toutes les ressources physiologiques et psychologiques en vue de produire l’effet escompté sur l’interlocuteur

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 La délibération . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 Le pathétique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36 Le théâtre de l’absurde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

permettant de mesurer le parcours accompli par Érec, le chevalier se montre prêt à se sacrifier (et à sacrifier son amour) pour secourir le faible. Parallélisme avec les combats de la première phase : la violence s’intensifie. Symboliques, sa « mort » et sa renaissance vont lui permettre de retrouver Guivret et de se réconcilier avec le monde (la guérison physique coïncide avec la guérison morale). Dans la troisième partie (vers 5359-fin), l’aventure est recherchée et Érec lutte pour les intérêts

jeune fille au tempérament sensuel. La suite du conte ne fera que confirmer ce trait. A part Candide qui évoluera, tous ces personnages sont des marionnettes aux mains d'un conteur qui les manipule en fonction de ses intentions philosophiques. Le registre nobiliaire Un grand nombre de mots du texte décrivent le monde de la noblesse. "Quartiers" désigne l'ensemble des ascendants nobles dont on peut se prévaloir. Les "palefreniers" sont des valets qui s'occupent du soin des chevaux. Les "piqueurs"

21-23 *1. Distinguer genres, mouvements et registres littéraires Il existe plusieurs Manifeste du surréalisme écrits entre 1924 et 1930 dans lesquels André Breton s’est efforcé de préserver l’originalité de ce mouvement. Genres littéraires  : roman, tragédie, essai, comédie, fable, nouvelle. Mouvements littéraires  : romantisme, humanisme, Nouveau Roman, surréalisme, naturalisme, classicisme. Registres littéraires  : comique, polémique, pathétique, tragique, lyrique. * 4. Réaliser une frise

Contemplations, Victor Hugo (1856) Les Contemplations sont surtout un recueil de la nostalgie et en particulier du souvenir de Léopoldine, la fille du poète, qui meurt noyée dans la Seine avec son mari le 4 septembre 1843 et dont Hugo apprend la mort par hasard dans la presse cinq jours plus tard. Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps

• « Dans la société c’est la raison qui plie la première : les plus sages sont souvent menés par le plus fou et le plus bizarre ; l’on étudie son faible, son humeur, ses caprices, l’on s’y accommode » ; J. De La Bruyère. • « L’avare dépense plus mort en un seul jour, qu’il ne faisait vivant en dix années ; et son héritier plus en dix mois, qu’il n’a su faire lui-même en toute sa vie » ; J. De La Bruyère. • « La faveur met l’homme au-dessus de ses égaux ; et sa chute, au-dessous » ; J. De La Bruyère