Marché Cereales

Le marché du Blé Le blé fait partie des trois grandes céréales avec le maïs et le riz. C'est la deuxième par l’importance de la récolte mondiale, et la plus consommée par l'homme après le riz. Mais depuis une cinquantaine d’années, le marché du blé ne cesse d’évoluer. En effet, entre la variabilité des prix, l’augmentation de la production et de la consommation, puis la rareté des matières premières, le blé rencontre de nombreuses variantes. Nous ferons dans une première partie une présentation

l’on s’éloigne dans le temps : le marché exprime une préférence pour le futur, il offre des prix plus élevés aux échéances plus lointaines (confi guration dite de contango). Si, au contraire, la demande nette est forte et les stocks faibles ou nuls, la courbe a une pente décroissante (préférence pour le présent, situation de backwardation). Les stocks, qui incorporent les effets cumulés des chocs passés, jouentMichel Aglietta et Charlotte Emlinger* Les marchés agricoles ont connu en quelques années

Mise en perspective des opportunités du marché Brèves | Place dans l’économie Les entreprises du secteur de la fabrication de pâtes alimentaires sont majoritairement implantées dans le sud de la France, principales zones de culture de blé dur. Panzani et Lustucru sont localisées en Rhône-Alpes et PACA. Ces deux régions employaient, à elles deux, plus de 55 % des effectifs du secteur en 2002. En Alsace, trois entreprises subsistent : Heimburger, Thirion et Val Fleuri. La réglementationSeuls

kkkkkkkkkkkkkkkkkkkk_ irrigation kkkkkkkkkkkkkkkkkkkk_ variété à haut rendement Les résultats de la production de céréale à beaucoup augmenté en Inde, le pays a atteint l’autosuffisance alimentaire. Malgré tous ces indicateurs positifs, le rythme de la production agricole s’est ralenti et en 2008 se sont produits des émeutes de la faim dans des pays du Sud. Cela relance

République Algérienne démocratique et populaire Ministère des transports Exposé sur : -24960105019 Sommaire : Introduction Généralité sur les céréales  Définition des céréales  Les différents types de céréales  2.1 Le Blé 2.2 Le Maïs 2.3 L’Orge 2.4 Le Riz II-Les différents acteurs de la chaine logistique Les fournisseurs Les armateurs L’agent consignataire L’entreprise portuaire Le transitaire Les livraisons par route et voie ferroviaire Conclusion Introduction :

2010 /2011 Christian Kalb Analyse de cas : LE MARCHE MONDIAL DU RIZ Sommaire : Informations générales : 2 Culture : 2 Variétés, utilisation et consommation: 3 Les enjeux technologiques : 4 Les politiques économiques : 5 Marché : 6 Prix et tendances: 9 La crise de 2008: 11 Depuis la crise: 12 Conclusions: 13 Sources d’information: 13 Informations générales : Le riz est une plante graminée, de taille variable suivant les variétés et le lieu de culture

transformés en gites ruraux, en fermes-auberges. On parle « d'agri-tourisme ». Que devient le secteur primaire ? L'agriculture des produits frais est balayé par la révolution des transports mais il y a une persistance avec une clientèle spécialisée, les marchés de quartier, la vente sur place et la cueillette par les citadins. Les campagnes vivantes. Elles sont loin des villes avec une main-d'œuvre importante pour des emplois locaux non agricoles (non rural farm). En Hesse, la vallée de la Lhan et

d’améliorer les revenus des agriculteurs et de garantir davantage la sécurité alimentaire de 30 millions de Marocains. Par la même occasion, il s’agit de protéger les ressources naturelles des différentes régions tout en intégrant l’agriculture marocaine au marché national et international. 16 régions, autant de plans et de contrat-programmes Avril 2009. Une année plus tard, et en marge des deuxièmes assises de l’agriculture, l’heure est à un premier bilan de la mise en œuvre du Plan. Cette dernière s’articule

exploitations certifiées : RhôneAlpes, Languedoc Roussillon, Midi-Pyrénées, Aquitaine, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Pays de la Loire et Bretagne. Les orientations des exploitations biologiques sont diversifiées. Ainsi, en 2010 : -- 37% cultivaient des céréales et/ou des oléo-protéagineux, -- 26 % des exploitations bio possédaient des surfaces toujours en herbe et des grandes cultures, -- 59 % avaient des surfaces toujours en herbe ou des cultures fourragères, -- Plus de 39% produisaient des fruits et/ou

peuvent pas piocher dans leurs réserves car ils n’ont pas les moyens de stocker leurs récoltes. Mais il existe bien d’autres rai- sons. D’abord, les agriculteurs des pays pauvres ne produisent pas assez. Au Mali par exemple, un hectare de céréales produit environ 650 kg de grains. En France, dix tonnes ! Ces paysans n’ont pas les moyens d’acheter des pesticides ou de l’engrais, qui permettent de produire davantage et sans trop de perte (sans parasites comme les insectes ou les champignons)