Marcomans

territoriales sont maximales, aussi, durant son règne, aucune révoltes ni aucune guerre.  « Marc Aurèle » à grand philosophe mais aussi prestige militaire car il a repoussé les barbares installés dans les régions danubiennes et les Quades et les Marcomans qui menaçaient directement le nord de l’Italie. (169 à 175). à arguments d’autorité .De même la présence d’un « je » de l’autorité souveraine * « en repoussant le plaintes et le libelles » à références à la reconduite des barbares B- L’acte juridique

"Assurant cette mission avec satisfaction, il fut adlecté dans le Sénat". De là débute sa carrière sénatoriale exemplaire elle aussi. En effet grâce à sa participation pendant les guerres germaniques sanglantes de Marc Aurèle contre les Quades et les Marcomans, l'empereur le fait nommer sénateur. Au fur et à mesure de sa carrière, Pertinax va atteindre des postes sénatoriaux de plus en plus qualifiés. L'empereur lui confie le proconsulat d'Afrique dans les années 170, puis Commode le nomme à un second

manières : Angles et Saxons, Jutes et les Frisons, Calédoniens et Scots. Ce sont des tribus qui vivent encore à l’âge de fer en clans et qui pillent les côtes de la Grande Bretagne et de la Gaule. • Dans les forêts germaniques : Francs, Alamans, Marcomans et Quades. Tous païens et plus on va vers l’Ouest, plus ces peuples sont civilisés. • Ils ont tous des rois à leur tête • Les Burgondes, les Vandales et les Lombards sont convertis au christianisme arien. Les peuples les plus civilisés

; d'ailleurs il était surtout attaché à la secte stoïcienne ». À peine la guerre contre les Parthes est-elle terminée qu'une nouvelle menace apparaît aux frontières. Les peuples barbares installés dans les régions danubiennes, les Quades et les Marcomans, menacent directement le nord de l'Italie. La menace est si forte que les deux empereurs se rendent personnellement sur place en 168/169 et passent l'hiver en Aquilée. En janvier 169 Lucius Aurelius Verus meurt épuisé et malade, laissant ainsi Marc

difficile à déterminer. - VI°s : peste « justinienne » + mauvaises conditions climatiquesmauvaises récoltes + famines. * Dévaluations du denier (argent) avec les guerres de Marc-Aurèle car pas de prise de butin (Quades et Marcomans = peuples pauvres). Les réformes de Constantin ne sont pas suffisantes. Simplification des circuits commerciaux et mise en place d’une éco. de subsistance. Les campagnes = très grande majorité de la pop. Révoltes au sein de la soc. rurale (Bagaudes

fait prisonnier par Jules César -51 Défaite des vaincus d'Alésia qui s'étaient réfugiés à Uxellodunum : la Gaule est sous contrôle romain. -9 à -6 L'oppidum de Stradonice (cs) (Bohême) est incendié, probablement par les Germains : invasion des Marcomans ensuite, développement d'une civilisation germanique sur ces terres Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ a et b Béat Arnold, « La Tène, un site, un mythe, 1. Chronique en images (1857-1923) », Archéologie neuchâteloise, vol. 39,‎

fut, selon toute vraisemblance, la ligue des Saxons qui, poussant toujours vers l'Ouest, força les Francs de leur opposer une autre ligne, et les pressa de franchir le Rhin pour faire irruption dans la Gaule romaine. Dès l'époque de la guerre des Marcomans (162-180), les Saxons avaient passé l'Elbe; et tous les peuples germains, qu'ils rencontraient sur leur passage, étaient forcés, soit de s'associer à eux, soit de chercher aide et protection auprès de la puissante tribu des Sicambres. Il est impossible

meilleur des princes (Optimo Principi). On y vis Hadrien brûler les créances du fisc non recouvrées, Marc Aurèle vendre les meubles les plus précieux du palais des Césars pour épargner de nouveau impôts aux provinces et défrayer la guerre contre les Marcomans… C’est la que les consuls venaient rendre la justice, c’est là qu’on affranchissait les esclaves Libertatis Atrium. Et la bibliothèque d’Ulpia, riche en documents de hautes importance, attirait les historiens et les philosophes. Les grands édifices

orient, qui se finit par un triomphe romain. Cependant, à peine la guerre contre les Parthes était elle terminée qu’une nouvelle menace apparut, cette fois ci sur la frontière du Danube. En effet, en 166, de nombreuses tribus barbares (principalement Marcomans et Quades, mais aussi Alains et Sarmates.) décidèrent de passer la frontière. Ils envahirent alors la Pannonie, puis pénétrèrent en Italie. Vers 175, les Romains avaient pris l’avantage sur leurs ennemis quand éclata la révolte d’Avidius Cassius

ans plus tôt, dès le règne de Marc-Aurèle (161-180 ap. J.C.). Rome semblait alors au faîte de sa puissance et de sa richesse. Pourtant, l’empereur-philosophe dut livrer de durs et longs combats pendant près de quinze ans (166-180) contre Quades et Marcomans, des peuples établis dans la région du Danube supérieur. L’alerte avait été chaude. Aujourd’hui,  les reliefs gravés sur la colonne Aurélienne, dressée à Rome pour commémorer les victoires impériales, témoignent de la violence et de la cruauté des