Marcus Livius Drusus

Histoire ancienneLes révoltés et leur organisation lors de la guerre sociale (90-88) En -91, Marcus Livius Drusus, alors tribun de la Plèbe, tente de relancer les réformes de Gaius Gracchus assassiné trente ans plus tôt en proposant au Sénat d’offrir la citoyenneté à tous les alliés italiques de Rome. A l’image de son prédécesseur, il est tué sur ordre du Senat, composé d’une assemblée d’hommes politique refusant l’extension de la citoyenneté à des non-romains. Cette nouvelle tentative

être issu d’un mariage légitime. On perd très rarement sa citoyenneté sauf si l’on devient citoyen d’une autre cité. Il faut choisir ! On peut la perdre aussi, si l’on est fait prisonnier. * Chaque citoyen porte un prénom (praenomen) comme Lucius, Marcus, Publius -> le prénom confirme le statut de citoyen. Il porte aussi un nom (nomen) qui indique la gens=la famille. Et enfin, les citoyens romains ont un surnom (cognomen) qui peut être donné par leur ancêtre. Exemple : Publius Cornelius Scipio Africanus

Varron fixe Rome en -753 Dans leur vie quotidienne ne parlaient pas en année écoulées depuis la fondation de Rome. Ils dataient chaque année en donnant le nom des deux consuls dits éponymes. 2 célèbres consuls -> Pompée (Cneius Pompeius) et Crassus (Marcus Licinius Crassus Diues : prénom, nom et deux surnoms -> Crassus : nom ancien ; Diues : le riche) en -55 et -70 (dates où ils ont été consuls ensembles) C) La tradition sur la fondation de Rome Sextus Pompeius : -137 -> pièce de monnaies frappée

autorisée à participer aux jeux isthmiques. En 222, Rome met un coup d’arrêt aux expansions gauloises et à la terrible menace qu’ils représentent. Cette victoire place Rome sur un pied d’égalité avec Pergame. Se développe une littérature latine avec Livius Andronicus (230 - 220) qui traduit l’Odyssée. ( 17 ) La République romaine Chapitre IV : La IIème Guerre Punique 218 - 202 Cette guerre fut particulièrement importante de par son ampleur et de par ces conséquences tant pour Rome dans

soldats qui ont le pouvoir dans une classe moyenne. La mÉthodeLe tribunat de la plÈbe contre le SÉnatLe jour du vote de la loi agraire, le tribun : Marcus Octavius va demander au greffier de tenir le silence afin d’empêcher la loi d’être votée en revenant l’alliance collective de l’aristocratie. Tiberius Gracchus va alors faire voter la destitution de Marcus Octavius (nouveauté chez les Romains). Le tribunal joue avec les règles républicaines. La vengeance du SÉnatScipion Emilien n’étant pas là, il envoie

Tiberius Gracchus. La loi agraire - § 3. La question italienne et Scipion Émilien - § 4. Caïus Gracchus. - L'omnipotence tribunicienne. CHAPITRE II. - La réforme par le Sénat. Drusus et Sylla § 1. Les commencements de la démagogie dans l'armée et à Rome. Marius et Saturninus - § 2. La tentative du parti sénatorial réformiste. Drusus et la révolte des Italiens - § 3. Les premières guerres civiles. Marius et Sylla - § 4. La réaction oligarchique. La dictature de Sylla. - La réaction antisyllanienne -

trop de sang, sans arrêt crèverait ici ou là d’hémorragie. C’est pour cela qu’il désirait la retraite, dont l’espoir et le dessein offraient un asile à ses peines : tel était le vœu de celui qui pouvait faire que soient exaucés tous les vœux. V Marcus Cicéron jeté entre les Catilina, les Clodius, les Pompée et les Crassus, les uns ennemis déclarés, les autres amis irrésolus, alors qu’il était ballotté avec cette république qu’il maintint quelque temps à flot pour finalement sombrer avec elle, ni

Caius Gracchus est victime d’un senatus consulte ultime et il est assassiné. Dans ces années là, on a toute une série de mesures qui semblent interdire toutes possibilités de progression aux Italiens. Déjà en 125, il y avait une proposition du consul Marcus Fulvius Flaccus qui prévoyait d’accorder le droit de citoyenneté romaine aux alliés italiens, au moins un droit d’appel en matière judiciaire. Ce projet est écarté et une première révolte à lieu a Frégèle, une cité proche de Rome. Cette révolte est

Scipion Émilien. - Les stoïciens. - Révolte des esclaves en Sicile. - Eunus le Syrien. - La Loi agraire. Tiberius Gracchus. - Les triumvirs. - Scipion Nasica. - Carbon, tribun. - Caïus Gracchus. - Réformes révolutionnaires. - Le Sénat contre Caïus. Livius Drusus l’emporte. - Opimius, consul. - La noblesse a triomphé des Gracques. - La plèbe et la soldatesque CHAPITRE XXIII De 121 à 110 av. J.-C. - Inquiétude des Grands. - Scandales. - Le Royaume des Numides. Micipsa, Adherbal et Hiempsal. - Jugurtha

César, La guerre des Gaules (1964) 12 partie de l’Océan qui baigne l’Espagne ; elle regarde entre l’occident et le septentrion 1. II. — Chez les Helvètes, Orgétorix était de beaucoup le plus noble et le plus riche. Sous le consulat de Marcus Messala et de Marcus Pison, poussé par le désir d’être roi, il forma une conjuration de la noblesse et persuada à ses concitoyens de sortir de leur pays avec toutes leurs forces : « rien n’était plus facile, puisqu’ils dépassaient en courage tous les autres