Maréchal, nous voilà !

« était-il marié ? » exclamations véhémentes « voilà une plaisante raison pour que j’ai un maître »questions indignées « et pourquoi soumise svp ? » « sommes nous des esclaves ? » Provocation devant un homme d’église Un regard moqueur : femme superficielle et pleine de lacunes : « cercle d’amusement » « N’ayant jamais rien lu … n’ayant jamais mis … » Il y a une rupture dans le récit traduite par l’adverbe « enfin » : C’est la fin de l’attention que la Maréchale procure dans les salons uniquement grace

rivalité. Mais il a su mettre les rieurs de son côté avec La Critique de l’Ecole des femmes en 1663. En 1664, le roi est le parrain de son 1er enfant et il présente Le tartuffe, le 12 mai, qui déchaine un véritable scandale. La pièce est interdite. Voilà Molière objet de calomnies, de rumeurs. Il écrit dans la hâte Dom Juan qui est représenté en 1665. Certes un grand succès, mais les pressions s’exercent et la pièce est supprimée. Depuis deux ans, il travaille au Misanthrope.1666, c’est la première

Jacques : Qui le sait ? Le Maître : A tout hasard, commence toujours… Jacques commença l’histoire de ses amours. C’était l’après - dînée ; il faisait un temps lourd ; son maître s’endormit. La nuit les surprit au milieu des champs; les voilà fourvoyés. Voilà le maître dans une colère terrible et tombant à grands coups de fouet sur son valet, et le pauvre diable disant à chaque coup : Celui - là était apparemment encore écrit là - haut … Vous voyez , lecteur , que je suis en beau chemin , et qu’il

l’armée française domine. Les Autrichiens et les russes ont tenté de résister avec la contre-attaque du feld marechal Koutouzov : en voyant arriver la défaite des forces alliées, il décide de jeter tous ses hommes dans la bataille: 4000 fantassins foncent vers les troupes de Joseph, le frère aîné de Napoléon, avec une mauvaise estimation de la distance. Les troupes du Maréchal Koutouzov arrivent essouflées face à l’ennemi ; le combat ne dure que très peu de temps : alors les troupes de Joseph

indirect libre ou au discours direct, ce qui permet d’avoir un accès direct au questionnement interne du personnage, à ses craintes, ces désirs, ces observations et les conclusion qu’il en tire. Par exemple, dans le texte A, ligne 8 : « Ah ! m’y voilà donc enfin au feu ! se dit-il. J’ai vu le feu ! ». Dans les textes B et C la narration est interne ce qui signifie que c’est le personnage lui même qui raconte l’histoire ce qui nous donne également un accès direct au sentiment et a la pensé du

signé la paix et écrasé le soulèvement de la Commune de Paris1, après la Commune de Paris, les relations entre Thiers et l’AN se détériorent  il finira par démissionner en 1873. L’Assemblée monarchiste le remplace immédiatement (le 24 mai) par le maréchal de Mac-Mahon, monarchiste convaincu, dans l’attente d’une restauration. Cette restauration n’aura pas lieu car 2 prétendants sérieux étaient en concurrence : le comte de Chambord (petit-fils de Charles X, légitimiste) et le Comte de Paris (petit-fils

l’auteur est très impoli. Jamais Monsieur le maréchal ne m’a écrit dans ce style ; je suis persuadée que votre saint Paul était un homme très difficile à vivre. Était-il marié ? — Oui, madame. — Il fallait que sa femme fût une bien bonne créature : si j’avais été la femme d’un pareil homme, je lui aurais fait voir du pays. Soyez soumises à vos maris ! Encore s’il s’était contenté de dire : Soyez douces, complaisantes, attentives, économes, je dirais : Voilà un homme qui sait vivre ; et pourquoi soumises

58: À M. M.-M. Rey [libraire à Amsterdam, à Montmorency, le 8 juillet 1758] Lettre 59: À M. Romilly [étudiant à Genève À Montmorency, le 6 février 1759] Lettre 60: Au maréchal de Luxembourg [À Montmorency, le 30 avril 1759] Lettre 61: À M. [le maréchal de Luxembourg] Au petit Château, le 27 mai 1759 Lettre 62: À Mme [la maréchale de Luxembourg] À Montmorency, le 29 octobre 1759 Lettre 63: À Mme de Verdelin [à Paris, mercredi 12 mars 1760] Lettre 64: À M. Lenieps [À Montmorency, le 15 mai 1760]

mais cela m'obligea de quitter le pays. Je rencontrai des dragons, et je m'engageai dans le régiment d'Almanza, cavalerie. Les gens de nos montagnes apprennent vite le métier militaire. Je devins bientôt brigadier et on me promettait de me faire maréchal des logis, quand, pour mon malheur on me mit de garde à la manufacture4 de tabacs à Séville. Si vous êtes allé à Séville, vous aurez vu ce grand bâtiment-là, hors des remparts, près du Guadalquivir. Il me semble en voir encore la porte et le corps

auteurs. Tout d’abord, les textes abordent le sujet de l’inégalité entre les femmes et les hommes. Ils débattent des justifications données par les hommes pour établir leur supériorité : « Du côté de la barbe est la toute puissance » rappelle la Maréchale en citant un personnage de Molière, et elle regrette qu’ »ils prétendent avoir aussi la tête mieux organisée, et [que] en conséquence, ils se vantent d’être plus capables de gouverner ». Elle ironise surtout sur leur prétendue supériorité qui ne