Maréchal, nous voilà !

également inacceptable parce qu’il défie la morale individuelle et sociale. Séance 9 : Lecture analytique d’un extrait du monologue de Figaro (Le Mariage de Figaro V, 3 de « Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ?... » à « on me supprime et me voilà derechef sans emploi. ». Trois objectifs sont assignés à cette séance ; un objectif formel : comprendre la fonction d’un monologue ; un objectif culturel : l’évolution de la figure du valet dans la comédie et un objectif technique : commenter un monologue

également inacceptable parce qu’il défie la morale individuelle et sociale. Séance 9 : Lecture analytique d’un extrait du monologue de Figaro (Le Mariage de Figaro V, 3 de « Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ?... » à « on me supprime et me voilà derechef sans emploi. ». Trois objectifs sont assignés à cette séance ; un objectif formel : comprendre la fonction d’un monologue ; un objectif culturel : l’évolution de la figure du valet dans la comédie et un objectif technique : commenter un monologue

menace de détruire leur civilisation. c) Pourquoi Benoist-Méchin invite-t-il Arno Breker à Paris ? Il invite Arno Breker à Paris pour qu'il puisse exposer ses oeuvres Doc.2 d) Résumez les raisons de la politique de collaboration du maréchal Pétain avec les occupants allemands Pétain veut reconstruire une nouvelle nation française plus forte et sûre de son identité pour ensuite créer une nouvelle Europe dirigée par l'Allemagne. Doc.2 et 3 e) Classez les personnes (Françaises)

! III-La France pendant la Seconde Guerre Mondiale : La France de la « débacle » : Après les longs mois de la « drôle de guerre », l'armée française est totalement débordée par la fulgurante offensive Allemande du printemps 1940. Le maréchal Pétain , le prestigieux vainqueur de Verdun, devient le nouveau chef du gouvernement et demande l'armistice. Celui-ci est signé le 22 juin 1940. La France est coupée en deux par la ligne de démarcation. Le Nord est occupée par les Allemands; le Sud

modeste rentier retiré au Havre. A une passion pour la mer et la pêche. Maréchal : L’absent, le mort. Fonctionnaire, il n’aimait pas la mer. Plus riche que les Roland. Laisse sa fortune à Jean. Les femmes : Louise Roland : La mère de famille. Quarante-huit ans. Mère de Pierre vers dix-huit ans et de Jean cinq ans après. Est devenue "une femme d’ordre, une économe bourgeoise un peu sentimentale". Ancienne maîtresse de Maréchal, lui reste fidèle malgré l’absence. Mme Rosémilly : Jeune veuve de 23 ans

¤¤ Les seconds rôles ¤ Marowsko : Pharmacien polonais réfugié en France. ¤ La fille d'auberge : Anonyme, sans état civil. ¤ Le capitaine Beausire ¤ Maître Lecanu : Notaire. Annonce la mort de Maréchal et le legs de sa fortune à Jean. ¤ Papagris : Dit " Jean-Bart ", le matelot de la Perle. ¤ Dr Pirette : Médecin à bord d'un transatlantique. ¤ Joséphine : La bonne des Roland. ¤ Alphonsine : Tient l'auberge de Saint-Jouin ¤¤ Les hommes ¤ Pierre Roland : Trente ans, né en 1855. Vient d'être

table va l’amuser beaucoup. MARGUERITE. – Je vais voir s’ils arrivent ! CAMILLE. – Oui, va, nous te suivons. Marguerite partit en courant, et, avant que ses amies eussent pu la rejoindre, elle reparut haletante et criant : –5– « Les voilà ! les voilà ! les voitures ont passé la barrière et elles entrent dans le bois. » Camille, Madeleine et Sophie se précipitèrent vers le perron, où elles trouvèrent leurs mamans ; elles auraient bien voulu courir au-devant de leurs cousins, mais les mamans

l’argumentation directe, mais d’un genre hybride, à mi-chemin entre le récit, le dialogue, le discours et le conte philosophique cher à Voltaire. Situation du passage : L’extrait choisi met en scène un dialogue entre un abbé et une aristocrate, la maréchale de Grancey, qui fulmine contre une phrase qu’elle a lue dans les Epîtres de saint Paul : « Femmes, soyez soumises à vos maris. » Elle exprime son indignation et expose sa vision de la femme, dont elle défend la cause contre les hommes. Annonce de

rentrer chez lui pour ne plus voir le visage de sa famille. Alors, il erra dans les petites rues avec une bouteille de liqueur à la main, se saoulant pour essayer d’oublier sa détresse. Le père et la Madame Roland commençaient à s’inquiéter, car voilà des heures que Pierre n’était pas revenu, et il faisait maintenant nuit. Jean retourna chez ses parents pour dîner, mais lorsqu’il revint, ils lui demandèrent aussitôt d’aller chercher Pierre pour le ramener à la maison. Le père Roland ne comprenait

la débâcle en mai-juin 1940, le Maréchal Pétain, chef du gouvernement depuis le 16 juin 1940, signe l'armistice avec l'Allemagne le 22 juin 1940. Les clauses définies par cet armistice sont très sévères à l'égard de la France : Carte de la France après l'armistice du 22 juin 1940 (ligne de démarcation, zone sud, zone nord,... PuceDes clauses territoriales La France est divisée en deux : la France du nord (France directement occupée par les nazis, avec Paris comme capitale) et la France du