Marelle

Walter (femme du directeur) qui lui demande de rédiger und article sur l’Algérie (où il a vécu 28 mois) Rencontre avec Mme F., Mme de Marelle, sa fille Laurine « Toutes les femmes avaient les yeux sur lui » 3 Fin de la soirée du 29 juin et 30 juin Difficultés pour écrire l’article F. lui propose l’aide de sa femme qui lui aide et le pousse à revoir Mme de Marelle Le compte de Vaudrec se présente au domicile des F., il serait un « ami intime » D. se retire 4 Du 1er au 30 juillet 1880 D. donne

en mascarade ᦗ Les sentiments du personnage (l. 1 à 12) : le personnage est débordé / l'émotion, le triomphe - presque croyant, rythme ample et majeur => montée de l'émotion "balbutier" (l. 10). G.D retrouve vite ses esprits lorsqu'il voit Mme de Marelle - capable de prononcer des paroles mondaines (l. 29) chargées de non-dit - "gaiement" : le personnage reprend le dessus - Maîtrise absolue. Le comportement dissocié de Bel-Ami. Succès grâce à sa capacité d'adaptation à l'hypocrisie ambiante ᦗ Dissociation

des assistants. Georges, affolé de joie, se croyant un roi qu’un peuple venait acclamer. Il serrait des mains, balbutiait de mots qui ne signifiaient rien, saluait, répondait aux compliments : « Vous êtes bien aimable. » Soudain il aperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu’il lui avait donnés, qu’elle lui avait rendus, le souvenir de toutes les caresses, de ses gentillesses, du son de sa voix, du gout de ses lèvres, lui fit passer dans le sang le désir brusque de la reprendre

allait devenir hors du commun. Ainsi va commencer une nouvelle vie de rédacteur pour Georges. Il charmera de nombreuses femmes pour gravir les échelons comme l'épouse de son directeur pour devenir chef des échos, grâce à elle. Il rencontra Clotilde de Marelle, à un dîner chez Forestier, qu'il séduira et dont la fille, Lauren, lui donnera le surnom de Bel-Ami. Sans scrupule et décider à réussir sa vie, il ira même jusqu'à changer son patronyme sous les conseils de sa première épouse qui n'est d'autre que

perron, il a atteint la plus haute classe sociale et descend avec lenteur ce qui montre que maintenant Georges Duroy n'est plus pressé et prend son temps contrairement à l'incipit. Il se marie avec Suzanne mais il repense encore à son amante Mme de Marelle et semble encore amoureux de celle-ci alors qu'il vient de se marier avec Suzanne.Ce contraste entre l'incipit et l'excipit montre comment la soif de pouvoir et de richesse peut corrompre les personnages et les amener à perdre leur humanité. Duroy

l’armée, héro du roman, qui deviendra, à la suite de son mariage, Du Roy, puis Du Roy de Cantel. Séducteur dans l’âme, il séduit des femmes riches afin d’assurer sa richesse future… Nombreuses sont ses conquêtes : Rachel la prostituée, Clotilde de Marelle, Madeleine Forestier, Virginie Walter, ainsi que la fille de celle-ci : Suzanne Walter. C’est un homme opportuniste, ambitieux, peu scrupuleux et arriviste. Charles Forestier, celui qui sera le tremplin dans la carrière professionnelle de Duroy

1)lyriqueles émotions de Duroy qui sont ressenties grâce au discours intérieur. Sincère ou simulateur, GD sait manifester sa sensibilité, atout dont il use pour concquérir les femmes ou s’en défaire. Ex: lorsqu’il semble aimer Madeleine, ou avec Clotilde de Marelle (seuls sincères sentiments amoureux). 2)épiquerécit du Souvenirs d’un chasseur d’Afrique, récits glorieux de Duroy en Algérie, récit d’aventure d’un héros 3)comique grâce à l’ironie du narrateur et aux procédés d’exagération et d’emphase pour

ligne 9, on ne parle plus que de lui, il y a une succession du pronom « il » qui ne désigne QUE lui, G. est le seul centre d'attraction,à aucun moment on ne parle de son épouse. Mais on remarquera qu'à la ligne 24 on évoque essentiellement que Mme de Marelle. Dans cet extrait de l 'épilogue, G. est désigné par le pronom « il » par un total de 10 fois,puis 5 fois le pronom sujet complément direct « lui » et deux fois par son nom. Au total il y a 17 désignations du personnage en seulement 25lignes! Cela

passage puisqu’il se sent comme « élu » (« plein de reconnaissance pour la divinité qui l'avait ainsi favorisé »). L’ironie se manifeste aussi par le fait que Bel-Ami, le jour de son mariage, semble plus intéressé par sa maîtresse, Mme de la Marelle, que par son épouse. Georges Duroy n’a d’yeux que pour cette maîtresse, alors que son épouse n’est mentionnée que par deux parties de son corps (« front », « bras »). La cérémonie devient alors la célébration du désir de Bel-Ami pour cette femme

de travailler avec lui au journal. Tout d'abord George Duroy est assigné aux petits boulots mais très vite on l'invite aux réceptions où il commence à se faire connaître. D'ailleurs, dans ces salons de réception il fait la connaissance de Mme De Marelle, qui deviendra plus tard sa maîtresse et dont la fille l'a surnommé Bel-Ami. Ce surnom deviendra vite bien plus. Désormais Duroy est appelé Bel-Ami. Il faut dire que son allure prestigieuse et sa jeunesse enflamment toutes les femmes. A la mort de