Marelle

assistants. Georges, affolé de joie, se croyait un roi qu'un peuple venait acclamer. Il serrait des mains, balbutiait des mots qui ne signifiaient rien, saluait, répondait aux compliments : " Vous êtes bien aimable. "     Soudain il aperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu'il lui avait donnés, qu'elle lui avait rendus, le souvenir de toutes leurs caresses, de ses gentillesses, du son de sa voix, du goût de ses lèvres, lui fit passer dans le sang le désir brusque de la reprendre

liaison avec Rachel (femme de mauvaise vie) qu'il séduit sans le vouloir. Elle ne lui apporte " que " du plaisir. * Puis, il y a Mme de Marelle. Sa maîtresse avec qui il se dispute et se réconcilie tout au long de l'histoire. Celle-ci lui apporte beaucoup de plaisir, et de l'argent (A un moment, Bel-ami est complètement fauché, tellement il sort avec Mme de Marelle. Celle-ci lui donne de l'argent, qu'il refuse. Mais elle lui cache dans ses chaussures, son habit, etc...) * Toujours comme maîtresse

autosatisfaction, il ressent physiquement son succès. La dénonciation morale et sociale Les sentiments du personnage : Au début le personnage est débordé, l’émotion le triomphe mais il retrouve très vite ses esprit lorsqu’il voit Mme de Marelle. Dissociation du comportement et de la pensée : Dans le texte nous avons un champ lexical religieux mais une absence de valeurs morales, ce qui engendre une ironie religieuse associée au profane, Bel-Ami est un privilégié. On l’impression que

de Paris. Duroy est donc promu reporter mais sans argent, il vit alors au jour le jour en attendant de trouver d’autres moyens pour en avoir. Ensuite Duroy prend Mme de Marelle comme maîtresse et se rend compte que les femmes peuvent être utiles pour avoir de l’argent et aussi pour monter dans la vie sociale. Mme de Marelle bouleversée par la « misère » de Duroy va lui donner de l’argent pour qu’il puisse s’en sortir. Elle paye le restaurant, un appartement Rue de Constantinople pour Duroy et

mariage n’est qu’une hypocrisie (voir question 1), même le sacré perd toute valeur (le mariage à la Madeleine a plus valeur de spectacle que de sacrement). 1. On a dans le roman plusieurs visions du couple : le mariage de convention (Clotilde et M. de Marelle qui vivent chacun de son côté une vie libre, mais à l’abri derrière leur union), le mariage utilitaire (Forestier et Madeleine, lui profitant du talent de sa femme pour réussir dans son métier, tandis qu’elle se sert de son mari comme couverture,

Duroy, journaliste ; Clotilde de Marelle, Madame Walter, maîtresses de Duroy ; Monsieur Walter, patron du journal ; Suzanne, sa riche héritière ; Laroche-Mathieu, ministre ; Norbert de Varenne, journaliste. Sujet : Duroy, ancien militaire, erre sans argent dans Paris. Il rencontre un ancien camarade de classe, Forestier, qui le lance dans le journalisme, mais c’est la femme de Forestier, Madeleine, qui le forme. Forestier meurt. Malgré la liaison avec Mme de Marelle, Duroy épouse civilement la jeune

précaire. Soucieux de réussir, il intègre le milieu du journalisme aidé par son ami Charles Forestier, et par sa femme, Madeleine, qui deviendra sa propre épouse par la suite. Une fois sa carrière amorcée, guidé par sa désormais maitresse Clothilde de Marelle, il découvre et s’insère peu à peu dans un milieu bourgeois. A coté de cela, il continue son ascension professionnelle, du redoutable « Chef des échos », en passant par le chroniqueur avéré, il atteindra enfin le poste tant convoité de rédacteur

devenu à la fin du roman? Développez votre propos. 3. L’amour : Analysez le lien qu’entretient Duroy avec « ses » femmes. Ø Quel rôle Clothilde de Marelle, Madeleine Forestier, Virginie Walter et Suzanne Walter jouent-elles dans l’ascension sociale de Duroy? Donnez des exemples pour chacune des femmes. Ø Comment Duroy perçoit-il Clothilde de Marelle, Madeleine Forestier, Virginie Walter et Suzanne Walter au début de sa relation avec elles? Et à la fin? Développez votre propos. Ø Diriez-vous que

et épousera en dernières noces la fille de Walter, fondateur du journal, après avoir enlevé cette dernière et sous les cris d’horreur de Madame Walter, ancienne maîtresse de Bel-Ami ! Une seule femme parcourt le roman avec grâce, c’est Madame de Marelle, qu’il semble aimer sincèrement. Sujet du livre : Le roman est long mais les péripéties tellement nombreuses qu’on ne s’ennuie jamais. Parfois drôle ou cocasse, l’histoire hisse notre personnage vers des cimes toujours plus élevées si bien que

Madelaine pour monter les échelons de la société· Madame Forestier, alter ego dans un comportement immoral (adultère…)· La colonisation, la place des finances : article sur le Maroc, le financier Walter…· La place des femmes puissantes : Madame de Marelle La seconde partie est une nuance de la thèse : l’œuvre n’est pas seulement ironique mais c’est également une œuvre critique et didactique.· Dimension didactique du propos sur la colonisation : la malversation sur le marché