Marelle

Maupassant(réalisme, naturalisme)20ème s.2ème partie, fin duchapitre 10 (fin du livre)- Alors que Duroy est en train de se marier, il renoue avec son ancienne maîtresse (Mme de Marelle) dans une église (immoral). Il est immoral : il est marié par intérêt, il trompe déjà sa femme dans sa tête.- Image érotique de Mme de Marelle.- Perso narcissique, égocentrique, il ne pense qu’à lui. Il vise le rôle de député, il veut toujours +, il est très ambitieux (il est en haut de l’échelle sociale, il vise l’échelle

Wedsnesday, 13 July, 2005 Partie 1 : Compréhension écrite Activity 1 Read the article once, then write down an account of the document in French, in about 150 words. (10 points) Les idées clés: – Les jeux d'enfants diffèrent selon les époques : marelle, corde à sauter,… contre jeux électroniques, vidéos, etc… – Des bénévoles amoureux des jeux traditionnels voudraient les remettre au goût du jour avec l'aide des cantinières. – Dans quelques écoles pilotes, ce sont les cantinières qui montrent aux

d'abord une liaison avec Rachel (une prostitué) qu'il séduit sans le vouloir. Elle ne lui apporte " que " du plaisir. Puis, il y a Mme de Marelle. Sa maîtresse avec qui il se dispute et se réconcilie tout au long de l'histoire. Celle-ci lui apporte beaucoup de plaisir, et de l'argent (A un moment, Bel-ami est complètement fauché, tellement il sort avec Mme de Marelle. Celle-ci lui donne de l'argent, qu'il refuse. Mais elle lui cache dans ses chaussures, son habit, etc...) Toujours comme maîtresse, il

St Potin, initiateur de Bel-Ami à la recherche d’informations car il savait tous des potins du quartier. Jacques Rival, qui sera son entraineur à l’épée, était son rival dans le journalisme Clotilde de Marelle, elle porte bien son nom car elle a un caractère très enfantin (jeu de la marelle) JOURNAUX : BEL-AMI La Vie Française MAUPASSANT Le Gaulois Le Figaro Gil Blas Bel-ami : anti-héros, touché de caractères héroïques : Tout d’abord, pour illustrer ce propos, nous nous devons de

faire ‘honore : « Cette lettre qu’il tenait serrée dans sa main lui donnait la taille et l’attitude d’un héros ». Enfin, Suzanne a hissé Bel-Ami dans l’échelle sociale, « il est à genoux » à côté d’elle. Mais est-elle la divinité ? C’est Mme de Marelle qui l’honore par sa beauté : « Quelle charmante maîtresse tout de même ! ». Mais la femme n’est-elle pas également juge et parti. : pour Valmont, Mme de Merteuil est son maitre : « Je suis votre esclave ». Il lui rend hommage : « Vous feriez chérir

également un sujet très largement évoqué. Tout le roman de Maupassant est basé sur la séduction et les tromperies amoureuses qui vont permettre à Duroy de Gravir les échelles sociales et de gagner de l’argent. Il entretient différentes relations .Mme de Marelle est la première femme avec laquelle il entretient une relation. Celle-ci perdurera tout au long du roman. Chlothilde va au début entretenir Duroy en lui donnant quelquefois de l’argent malgré l’orgueil de celui-ci et va lui offrir un appartement rue

de Madeleine Forestier, de Clotilde De Marelle qui sera sa maîtresse dans tout le livre, de Monsieur et Madame Walter le patron du journal 'La Vie Française' et sa femme, qui sont des personnages importants pour sa future évolution. Beaucoup de scènes se passent à l'église, telles que son rendez-vous avec Virginie Walter à la Trinité et son mariage avec sa fille, Suzanne Walter, a l'église de la Madeleine. C’est dans l’appartement loué par Clotilde de Marelle rue Constantinople que Duroy et elle se

des assistants. Georges, affolé de joie, se croyait un roi qu’un peuple venait acclamer. Il serrait des mains, balbutiait des mots qui ne signifiaient rien, saluait, répondait aux compliments : « Vous êtes bien aimable. » Soudain il aperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu’il lui avait donnés, qu’elle lui avait rendus, le souvenir de toutes leurs caresses, de ses gentillesses, du son de sa voix, du goût de ses lèvres, lui fit passer dans le sang le désir brusque de la reprendre

en politique. Mme Forestier aimée par Duroy au début du livre, est détestée à la fin. Elle l'aide pour son premier article, ce qui va le propulser dans le journal. De nos jours, ce serait elle la journaliste. C'est une femme forte. Clothilde de Marelle Beaucoup mieux qu'une maîtresse sensuelle, avide des seuls plaisirs de la chair et de perversité. Bohême, jolie, avenante et gaie, elle possède le charme, la fantaisie et le mystère. Cette femme reçoit ses amis au restaurant et conduit son destin

mon avis on l’as tous remarqué en lisant Bel Ami, Duroy est un séducteur, il passe quasiment le tiers du roman à s’intéresser aux femmes, comme par exemple Mme De Marelle, Mme Forestier, ou Mme Walter, pour citer les plus importantes. Tout d’abord, ce sont les femmes qui séduisent Duroy. Au début du roman les femmes, ici Mme de Marelle, Mme Forestier et Mme Walter, essayent de séduire les hommes, en particulier Duroy. Mme Walter utilise la façon de parler et les deux autres, le regard pour séduire