Marginalité De Baudelaire

Chez Baudelaire, l'amour revêt deux formes : spiritualisé, il permet d'échapper au Spleen et d'atteindre l'Idéal; sensuel, en revanche, il conduit souvent à la passion et aux amertumes qui l'accompagnent. Loin d'apporter la paix, cet amour peut devenir synonyme de tourment et même de mort. La femme qui en est le vecteur est alors vue comme un être maléfique. Dans « Le Vampire », Baudelaire illustre ce thème et met en scène la plainte d'un homme sous l'emprise passionnelle. Il s'agit alors de voir

répulsive. Il domine la foule, car il est celui qui sait ce que les autres ne savent pas, qui voit ce que les autres ne voient pas. C'est en quelque sorte le berger du troupeau, mais aussi et surtout un artiste, un poète, c'est-à-dire le frère jumeau de Baudelaire. C - Dégager deux ou trois axes d'étude autour desquels pourront être regroupés les «arguments» tirés de l'explication linéaire préalable. Ces axes doivent permettre un commentaire englobant l'ensemble du texte à commenter et ce sans séparer

« Le gout du néant », Les Fleurs du Mal Baudelaire, éd. 1861 I) CONTEXTUALISATION Ce poème est paru dans la revue française le 20 janvier 1859, il ne faisait pas partie de l’édition de Les Fleurs du Mal de 1857. Dans l’édition de 1861, il porte le numéro 80, dans la partie Spleen et Idéal et particulièrement dans Spleen. II) LECTURE DU TEXTE III) IDEE PRINCIPALE Dans ce poème Baudelaire analyse les effets destructeurs du temps. C’est la mort lente de l’espoir, du plaisir, c’est

Le romantisme est le mouvement qui incarne la liberté : c’est « le libéralisme en littérature »1. Cherchant l’évasion dans le rêve, dans l’exotisme (« Parfum exotique » de Charles Baudelaire), il exalte le goût du mystère et du fantastique. Il réclame la libre expression de la sensibilité, et prônant le culte du moi, comme il est dit dans la préface aux Méditations poétiques de Lamartine : « je n’imitais plus personne, je m’exprimais moi-même pour moi-même ». Le romantisme se veut détaché de toute

de Ségalen, celles, rugueuses, nées de la « force » d’Antoine Emaz.   •Lyrisme et romantisme Depuis la poésie romantique, on associe le lyrisme à l'expression de la subjectivité doublée de l'idée de souffrance qui caractérisait l'élection et la marginalité du poète (Madame de Staël, critique incontestable du XIXème romantique consacre le dixième chapitre de De l'Allemagne à cette idée.) . Le lyrisme romantique se définit comme spirituel et désenchanté ; sa poésie comme un élan, un effort vers le Beau

répulsive. Il domine la foule, car il est celui qui sait ce que les autres ne savent pas, qui voit ce que les autres ne voient pas. C'est en quelque sorte le berger du troupeau, mais aussi et surtout un artiste, un poète, c'est-à-dire le frère jumeau de Baudelaire. C - Dégager deux ou trois axes d'étude autour desquels pourront être regroupés les «arguments» tirés de l'explication linéaire préalable. Ces axes doivent permettre un commentaire englobant l'ensemble du texte à commenter et ce sans séparer

la SECTION « LA MORT » Section de 6 poèmesLe titre: la « mort » semble renvoyer à une forme de ROMANTISME NOIR, comme on peut le trouver dans certains poèmes de Baudelaire (et aussi chez Aloysius Bertrand dans le groupement de textes donné en poésie). Baudelaire affiche une curiosité pour la mort, voire une obsession : il lui arrive de l'implorer pour lui également afin de faire cesser ses tourments et son Spleen.Evoque la FATALITE, la FINITUDE humaine mais le

colonies. Pendant son règne, Haussmann, rénove Paris de 1853 à 1869 afin de faire rayonner la France en Europe. Néanmoins, ces grands travaux profitent aux spéculateurs immobiliers. Le Second Empire instaure à nouveau la censure : Flaubert et Baudelaire en font notamment les frais en 1857 pour Madame Bovary et les Fleurs Du Mal. ✓ La Commune et les débuts de la III° République : L’année 1868, surnommée « L’Année Terrible » par Victor Hugo, marque l’effondrement du Second Empire avec

Choix de syntaxe extrêmement précis, que le rythme des octosyllabes vient souligner davantage autour de la césure 4/4 ex : « Et leurs pas lents // rythmant l’ennui » assonance du son « en » // allitérations « r » / « l » leurs/lents/l’ennui :· Echo Baudelaire à la thématique de l’ennui comme supplice ou spleen.· « on les dirait » -> les villageois ?

(bio) et son milieu ; il est déterminé par euxé Hérédité : Identité définie dès la naissance. Champs d’intérêt Boulversements sociaux Tout = produit d’une époque * Urbanisme * Grands magasins * Syndicalisme naissant Marginalité et subversion * Sexualité/ mœurs, alcoolisme, etc. * Pathologies qui dérangent « l’ordre social » (choquent les bourgeois) * Esthétique de la métonymie : le tout par la partie (un individu = la société) * Accusé d’immoralité