Marginalité Ou Exclusion

Hernani I - Le nom : la question de l’identité Héros à l’identité tronquée et mystérieuse : son identité réelle ne sera révélée qu’à l’acte IV, et n’est pas présente dans la liste des personnages. D’ailleurs, l’intrigue de la pièce est l’histoire d’un nom « Je suis Hernani » (III, 3) - Hernani, donne son prénom à la pièce → nom du bandit, du brigand, du marginal ; référence à la ville espagnole Ernani à laquelle Hugo ajouta son initiale. - Dès la scène d’exposition, quiproquo sur son identité

tout) ou relatif (celui qui vient d’une communauté avec laquelle existent des accords), tel est bien en effet l’un des problèmes politiques majeurs que se posent les sociétés. La palette est vaste des solutions adoptées (assimilation, ghettoïsation, exclusion ou pratiques discriminatoires), des attitudes aussi, qui évoluent, parfois insensiblement, de l’hospitalité à l’hostilité, et qui s’expriment dans les catégories juridiques où sont classés les étrangers, dans les termes par lesquels ils sont désignés

de moins de la moitié des revenus moyens d’une société donnée, etc.) et il est donc important de voir chaque fois à partir de quoi on a défini les seuils de pauvreté, qu’est-ce qu’ils indiquent, etc. c. Compréhension de la pauvreté : Marginalité et exclusion sont en rapport avec la pauvreté. En effet, on ne voit plus la pauvreté comme un état ; on cherche plutôt ce qui amène des individus à être marginalisés dans la société. B) Evolution historique de la question sociale : la désaffiliation

dégradation. De ces 4 quatrains on ne retient souvent que le dernier où est énoncée, en conclusion, la thèse romantique de l'exclusion : en généralisant la difficile condition du poète au XIXè s., Baudelaire a la conscience douloureuse d'une marginalité subie, d'une mise au ban de la société (cf. sa biographie), de l'être infirme et bancal. Dans ce cas il "est semblable" à l'Albatros livré aux railleries des marins grossiers et brutaux. Cela implique une lecture rétrospective du poème : ce qui

| | |Infra-intervention |marginaux |- marginalité conjurée | | | |- marginalité organisée | Les analyses et conclusions Le coeur de l'analyse de Paugam réside donc dans cette typologie, et dans la description des mécanismes sociologiques

une dégradation. De ces 4 quatrains on ne retient souvent que le dernier où est énoncée, en conclusion, la thèse romantique de l'exclusion : en généralisant la difficile condition du poète au XIXè s., Baudelaire a la conscience douloureuse d'une marginalité subie, d'une mise au ban de la société (cf. sa biographie), de l'être infirme et bancal. Dans ce cas il "est semblable" à l'Albatros livré aux railleries des marins grossiers et brutaux. Cela implique une lecture rétrospective du poème : ce qui

en tant que professeur à l’Université de Californie à Berkeley. Il décide de se diriger vers la sociologie au début des années 1980 après sa rencontre avec Pierre Bourdieu. Va s’en suivre une série de travaux et de réflexions portant sur la marginalité urbaine et la domination raciale aux Etats-Unis mais également des recherches sur le corps, de l’habitus et des processus d’incorporation. C’est un chercheur trans disciplinaire qui va, après sa formation de terrain en Nouvelle-Calédonie, continuer

produisent simultanément d’autres évolutions susceptibles d’affaiblir l’intégration sociale (affaiblissement d’autres instances de socialisation comme la famille, l’école, l’Etat…)    CHANGEMENT SOCIAL ET CRISE DU LIEN SOCIAL :   a) Pauvreté et exclusion :   La problématique du changement social est traversée par le thème de la crise du lien social. L’affaiblissement des instances traditionnelles d’intégration a des conséquences néfastes sur la cohésion sociale. Les sociologues s’interrogent aujourd’hui

social ».. Ces quartiers que l'on dit « sensibles », souvent définis comme des ghettos, constituent le problème social et politique dans la société française et sont vu comme un disfonctionnement de la société qui fait basculer dans la marginalité et la violence : exclusion, violences urbaines, délinquance, insécurité, repli communautaire, problèmes scolaires, démission parentale, on définit souvent les quartiers comme le négatif de la ville. Or Cyprien Avenel remet en cause ces idées reçues. Dans cet

l'intégration désigne la situation d'un individu ou d'un groupe qui est en interaction avec les autres groupes ou individus (sociabilité), qui partage les valeurs et les normes de la société à laquelle il appartient. A l'intégration on oppose donc la marginalité, la déviance, l'exclusion. Ces dernières années, en France, les débats politiques et médiatiques ont mis l'accent sur "l'intégration des immigrés", il ne s'agit que d'un aspect du problème plus général de l'intégration sociale. Le thème de la "fracture