Mariage De Figaro Ruban

représentation, variation et changement du portrait au cours du récit ; “ son propre discours et sa façon de parler (voir Fiche 3). Un bon potentiel 1 5 10 15 - Félix Grandet, un riche tonnelier1, est en quête d’une servante pour son prochain mariage. M. Grandet pensait alors se marier, et voulait déjà monter son ménage. Il avisa2 cette fille rebutée3 de porte en porte. Juge de la force corporelle en sa qualité de tonnelier, il devina le parti qu’on pouvait tirer d’une créature femelle taillée

12 décembre 1830 Dimanche 26 décembre 1830 Jeudi 30 décembre 1830 Fin décembre 1830 Fin décembre 1830 1830 Flaubert envoie ses vœux à sa grand-mère paternelle. C’est sa première lettre connue. La famille Flaubert est à Nogent sur Seine pour le mariage d’Olympiade Bonenfant, dont AchilleCléophas Flaubert, le père de Gustave, est le témoin. Flaubert a neuf ans. Flaubert lit dans le Journal de Rouen le discours prononcé par La Fayette le 24 décembre devant la Chambre des Députés : « Je redeviens un

VIII, 3 & 14 ; IX, 2 & 3. XVIIIe siècle : PREVOST, Manon Lescaut, « Ah ! Manon, charmante et perfide Manon ! ». VOLTAIRE, L’Ingénu, chap. 2 & 9. BEAUMARCHAIS, Le Barbier de Séville, II, 4. BEAUMARCHAIS, Le Mariage de Figaro, II, 16. ROUSSEAU, Confessions, livre I (le peigne cassé) ; livre 2 (le ruban volé). LACLOS, Les Liaisons dangereuses, lettres XXI & CXLI. DIDEROT, Jacques le Fataliste, « Tu descendras ! » ; « Il était donc écrit là-haut que je descendrais ! ». 6 XIXe siècle : LAMARTINE, Méditations

continuité de vues, M. Gillenormand et Valjean s'inclinent, et font tout pour rendre heureux les deux jeunes gens. Quand Marius ose affronter son grand-père, celui-ci, qui délire de joie, qui crie même : «Vive la République !», consent aussitôt au mariage, demande même pour lui la main de Cosette. «M. Fauchelevent» met Cosette en possession d’une somme de cinq cent quatre-vingt mille francs. Il règle la situation de la jeune fille au regard de l’état civil en la présentant comme sa nièce. M. Gillenormand

parvenir dans son quartier. Comme il était encore trop tôt, il erra sur le trottoir. Il vit arriver la marchande, qui ouvrit sa boutique de verre, puis il aperçut un homme portant sur sa tête un tas de grands papiers pliés. Il se précipita : c’étaient Le Figaro, le Gil-Blas, Le Gaulois, L’Événement, et deux ou trois autres feuilles du matin ; mais La Vie Française n’y était pas. Une peur le saisit. « Si on avait remis au lendemain Les souvenirs d’un chasseur d’Afrique, ou si, par hasard, la chose n’avait

insistaient pour avoir des places. – Voilà Bordenave, dit Fauchery, en descendant l’escalier. Mais le directeur l’avait aperçu. – Eh ! vous êtes gentil ! lui cria-t-il de loin. C’est comme ça que vous m’avez fait une chronique… J’ai ouvert ce matin Le Figaro. Rien. –5– – Attendez donc ! répondit Fauchery. Il faut bien que je connaisse votre Nana, avant de parler d’elle… Je n’ai rien promis, d’ailleurs. Puis, pour couper court, il présenta son cousin, M. Hector de La Faloise, un jeune homme qui

insistaient pour avoir des places. – Voilà Bordenave, dit Fauchery, en descendant l’escalier. Mais le directeur l’avait aperçu. – Eh ! vous êtes gentil ! lui cria-t-il de loin. C’est comme ça que vous m’avez fait une chronique… J’ai ouvert ce matin Le Figaro. Rien. – Attendez donc ! répondit Fauchery. Il faut bien que je connaisse votre Nana, avant de parler d’elle… Je n’ai rien promis, d’ailleurs. -5- Puis, pour couper court, il présenta son cousin, M. Hector de La Faloise, un jeune homme qui venait

parvenir dans son quartier. Comme il était encore trop tôt, il erra sur le trottoir. Il vit arriver la marchande, qui ouvrit sa boutique de verre, puis il aperçut un homme portant sur sa tête un tas de grands papiers pliés. Il se précipita: c'étaient Le Figaro, le Gil-Blas, Le Gaulois, L'Événement, et deux ou trois autres feuilles du matin; mais La Vie Française n'y était pas. Une peur le saisit . "Si on avait remis au lendemain Les Souvenirs d'un chasseur d'Afrique, ou si, par hasard, la chose n'avait

parvenir dans son quartier. Comme il était encore trop tôt, il erra sur le trottoir. Il vit arriver la marchande, qui ouvrit sa boutique de verre, puis il aperçut un homme portant sur sa tête un tas de grands papiers pliés. Il se précipita : c’étaient Le Figaro, le Gil-Blas, Le Gaulois, L’Événement, et deux ou trois autres feuilles du matin ; mais La Vie Française n’y était pas. Une peur le saisit. « Si on avait remis au lendemain Les souvenirs d’un chasseur d’Afrique, ou si, par hasard, la chose n’avait

parvenir dans son quartier. Comme il était encore trop tôt, il erra sur le trottoir. Il vit arriver la marchande, qui ouvrit sa boutique de verre, puis il aperçut un homme portant sur sa tête un tas de grands papiers pliés. Il se précipita : c’étaient Le Figaro, le Gil-Blas, Le Gaulois, L’Événement, et deux ou trois autres feuilles du matin ; mais La Vie Française n’y était pas. Une peur le saisit. « Si on avait remis au lendemain Les souvenirs d’un chasseur 105 d’Afrique, ou si, par hasard, la chose n’avait