Mariage De Roland

le mariage et l’argent.   Analyse : Dans les pages qui suivent, il sera montré que Pierre et Jean sont différents dans leur attitude concernant l’honneur, le mariage et l’argent.   Valeur exemplaire : Tout, dans le roman Pierre et Jean, finit par créer un fossé entre les deux frères.   Plan général 1 :  I.  Pierre a)  Attitude vis-à-vis l’honneur b)  Attitude vis-à-vis au mariage c)  Attitude vis-à-vis à l’argent  II.  Jean a)  Attitude vis-à-vis l’honneur b)  Attitude vis-à-vis au mariage c) 

Lebru ?. Il laisse en héritage : une maison de 100000F ?, des terres de 50000F ?, une rente de 20000F ⎭. Il fait ce legs : au fils aîné ?, au fils cadet ⎭, au père ?, à la mère ?, aux deux frères à égalité ?. En apprenant cette nouvelle, le père Roland se montre : heureux ⎭, inquiet ?, déçu ?. La mère, de son côté, se montre : joyeuse ?, triste de ce décès ⎭, plutôt inquiète ?, rêveuse ⎭. Ce soir là, Pierre quitte la maison et va : au café Tortoni ?, au théâtre ?, sur le port ⎭. A cet endroit

puis plus rien » Cette phrase lapidaire résume l’esprit du grand romancier naturaliste dans cette œuvre de Pierre et Jean. Guy de Maupassant n’hésite pas à voir les secrets qui peuvent exister au cœur d’une même famille il s’intéresse à la vie des Roland qui, au premier abord se présente comme une famille ordinaire. L’intrigue autour de laquelle tourne l’histoire se développe à partir de l’acquisition par Jean d’une fortune d’un certain Léon Maréchal, brusquement décédé. Cet élément perturbateur

Pierre et Jean, Guy de Maupassant Chapitre 1 : Le roman s’ouvre sur une partie de pêche en mer. Le père Roland a invité sa femme et une amie, madame Rosémilly, à l’accompagner pour cette sortie en mer. Sont aussi présents sur le bateau leurs deux fils : Pierre, l’aîné et Jean. Tous deux étant attirés par Madame Rosémilly mais elle semble accorder sa préférence à Jean. D’ailleurs, celui-ci est aussi le préféré de la famille, jugé plus stable et plus posé que son aîné. Lorsqu’ils rentrent dans leur

aller encore plus loin et parle de l’adultère. En effet, dans la société dont est issu l’auteur, la société bourgeoise, le mariage permet de conforter une certaine aisance financière et matérielle tout en le gardant dans la famille. L’amour en est donc exclu provoquant irrémédiablement des péchés de chair, l’adultère. Dans le roman, Maréchal est même le meilleur ami de Mr Roland. Cette morale bourgeoise et hypocrite soupçonnée par Pierre lui produit des violences intérieures et des conflits psychologiques

-Pierre Roland : 30 ans, né en 1855. Homme brun. Vient d’être reçu docteur en médecine. Il va enquêter sur la légitimité de son frère Jean et va trouver qu’il est le fils de Léon Maréchal. A la fin du récit, il s’engage comme médecin à bord du transatlantique “Loraine”. Il est décrit comme homme vif, moins calme que Jean, se questionne plus sur le monde, et degoute par ce qu’a fait ca mere ,très jaloux de son frère, rancunier, nerveux Jean Roland : 25 ans né en

laisse en héritage : une maison de 100000F , des terres de 50000F , une rente de 20000F . 25. Il fait ce legs : au fils aîné , au fils cadet , au père , à la mère , aux deux frères à égalité . 26. En apprenant cette nouvelle, le père Roland se montre : heureux , inquiet , déçu . 27. La mère, de son côté, se montre : joyeuse , triste de ce décès , plutôt inquiète , rêveuse . 28. Ce soir là, Pierre quitte la maison et va : au café Tortoni , au théâtre , sur le port . 29

traits d’un mauvais frère, d’un mauvais fils, cruel. La cruauté qui émerge du roman sert au triomphe de l’enfant préféré conçu dans l’amour au profit de l’autre, digne fils de son père, évoluant dans la médiocrité. Résumé Chapitre I M. et Mme Roland, d’anciens bijoutiers parisiens, se sont retirés au Havre pour jouir pleinement de leurs rentes. Leurs deux fils, Pierre et Jean, ont tout juste fini leurs études, l’un de médecine, l’autre de droit, et viennent passer des vacances auprès de leurs

la fin du XIX siècle, il s’est appliqué à décrire fidèlement la société de son époque, des petit-bourgeois à la classe paysanne . C’est ce milieu bourgeois que nous retrouvons dans Pierre et Jean , publié en 1888. Anciens bijoutiers parisiens, les Roland mènent au Havre, une existence tranquille . Cependant, une somme d’argent laissée en héritage au cadet par un ami, M. Maréchal, va bouleverser l’équilibre familiale. Pierre, l’aîné de la famille, est torturé par l’infidélité de sa mère. Il reproche

CHAPITRE I Le roman s'ouvre sur une partie de pêche en mer. Le père Roland a invité sa femme et une amie, Madame Rosémilly, à l'accompagner pour cette sortie en mer. Sont aussi présents sur le bateau leurs deux fils : Pierre, l'aîné et Jean. Ceux-ci sont tous deux attirés par Mme Rosémilly mais elle semble accorder sa préférence à Jean. D'ailleurs, ce dernier est aussi le préféré de la famille, jugé plus posé et plus stable que son aîné. Lorsqu'ils rentrent dans leur maison du Havre, ils apprennent