Mariage royal

du clergé et de la noblesse. Estampe, Paris, vers 1789 (coll. Déjà au 18e s., ces inégalités soulèvent des débats. Des philosophes sont convaincus de l’infériorité des femmes (Rousseau). D’autres soutiennent à des degrés divers l’égalité dans le mariage, l’instruction, le droit au divorce, … ou même des droits politiques (Diderot, Condorcet). « La dispute de la culotte », symbole de la lutte des sexes. Estampe, 2e moitié 18e s. (Coll. MuCEM, Marseille). La Révolution française Dès 1788, une grave

intrigues de la Cour. 1655 : Marie-Madeleine a 21 ans. Elle épouse à Paris, le comte François de La Fayette, officier en retraite de 38 ans, et qui est veuf . Le comte François de La Fayette est d'une grande noblesse, mais il est sans argent. Ce mariage de raison, arrangé par sa mère, vaut à Marie-Madeleine une vie sans passion mais sans tragédie. Les époux adopteront un mode de vie les satisfaisant tous les deux : elle fréquentera les salons parisiens, tandis que le comte restera sur ses terres

La pièce dans le temps et dans le parcours de Molière. Cette pièce fut pour la première fois représentée au théâtre de la salle du Palais-Royal, le 10 Février 1673 par la troupe du Roi. Il y eu t 4 représentations par Molière lui-même. A l’origine, Molière destinait cette pièce aux fêtes de la cour, données à l’occasion de retour de Louis XIV victorieux après la guerre des Pays-Bas. Pourtant, la pièce ne fut pas du vivant de l’auteur, représenté devant le roi. Le 17 Février (soir de la

de l’Est 2004-2010) Les sujets sont disponibles en version papier au CDI. Demander à Mme Gendras. Certains se trouvent sur le site Magister : http://www.site-magister.com/ Les textes donnés à commenter...2569 Mots 11 Pages Georges du roy et son mariage Corpus: Georges du roy, que les femmes surnomment "bel-ami' a su user de son charme et de ses conquetes feminines pour gravir, une à une, les marches de la reussite sociale, et connaitre une fulgurante carriere de journaliste. Voici la fin du roman:

Les effets du mariage "Pour vivre en famille, on a pas besoin de droit". Voici ce qu'exprime le doyen Carbonnier. Pour lui, le législateur ne peut imposer un modèle familial à un couple, il ne peut lui imposer des conditions dans sa vie de couple. Ce droit doit uniquement servir à protéger les époux en cas de désaccord entre eux, lorsque le divorce apparait. Toutefois, le mariage peut être perçu comme un contrat c'est-à-dire que les époux s'engagent à respecter des devoirs, des obligations

courant, et même obligatoire pour les époux princiers et royaux, à cette époque. Cette nuit de noces se déroulait en public : parents des époux, chapelains, notaires, marquis, ducs, servantes, matrones et autres membres de la cour, y assistaient afin de vérifier si le mariage avait bel et bien été consommé par les époux. On y vérifiait aussi que la virginité de la femme était intacte grâce au sang écoulé sur les draps ; dans le cas contraire, le mariage était annulé. La phrase du texte qui a permis cette

 d’Anne   d’Autriche  à  la  cour  de  France  devint  vite  délicate  lorsqu’on  la  soupçonna  de  stérilité  :  «  pendant   les  vingt-­‐deux  premières  années  de  son  mariage,  elle  fit  deux  –peut  être  quatre  –  fausses   couches.  Une  reine  de  France  qui  n’est  pas  capable  de  donner  un  héritier  à  la  Couronne  manque   à

(sc. 2). Damis revient prier Cléante de plaider auprès de son père pour le mariage de sa sœur avec Valère (sc. 3). Voici Orgon, le chef de famille, qui rentre d’un court voyage : seule l’intéresse la santé de son cher Tartuffe et non la récente maladie d’Elmire, que lui raconte Dorine (sc.4). Cléante tente en vain de ramener son beau-frère à la raison ; Orgon ne sait que s’extasier sur la sainteté de son idole . Sur le mariage de sa fille, il se montre fort évasif (sc. 5). Acte II A Mariane effarée

alors en pleine expansion, et dresse un tableau satirique de la société parisienne. Le dénouement du roman marque l'apogée de l'ascension sociale de Georges Duroy , qui s'est anobli en Georges Du Roy du Cantel, et dont le narrateur décrit le deuxième mariage avec la fille du propriétaire du journal La Vie française. Quel bilan est fait, dans cet excipit, du  parcours de Bel-Ami et marque-t-il nécessairement une fin ? À travers une scène spectaculaire et très théâtralisée, Maupassant donne l'image de

être un soldat. C’était un enfant d’humeur turbulente, querelleuse et parfois même agressive, qui aimait être seul. Il n’est pas apprécié de ses camarades et ses professeurs. En 1779, il est admis au collège de Brienne-le-Château qui est l’école royale militaire où seuls 150 élèves y sont admis. 2- Le Consulat 3- L’Empire En 1480, victoire de Marengo sur les Autrichiens, grâce à cela la France gagnera de nombreux départements sur la rive gauche du Rhin (Traité de Lunéville signé en 1801).