Marie-Angélique le Blanc

Christ en flammes a pu la chasser momentanément. Il a freiné et s'est arrêté à côté de la voiture. La femme était juste là, entre les deux véhicules, et elle le regardait avec cet œil de serpent qui était la marque des Aliens. Elle rayonnait d'un halo blanc bleu, comme toutes les femelles. Les souvenirs d'Andréas sont très vagues à partir de ce moment-là. Il se souvient juste avoir regardé la carabine enveloppée de plastique noir. Le Christ en feu occupait toutes ses pensées. Il lui hurlait de tuer cette

homme, hâbleur, faisant sonner haut ses éperons, portant des favoris rejoints aux moustaches, les doigts toujours garnis de ba-gues et habillé de couleurs voyantes, il avait l'aspect d'un brave, avec l'entrain facile d'un commis voyageur. Une fois marié, il vécut deux ou trois ans sur la fortune de sa femme, dînant bien, se levant tard, fumant dans de grandes pipes en porcelaine, ne rentrant le soir qu'après le spectacle et fréquentant les cafés. Le beau-père mourut et laissa peu de chose ; il en

souvent autant de place dans leur vie et surtout dans leur destinée que ce qu’ils font. M. Myriel était fils d’un conseiller au parlement d’Aix ; noblesse de robe. On contait de lui que son père, le réservant pour hériter de sa charge, 8 l’avait marié de fort bonne heure, à dix-huit ou vingt ans, suivant un usage assez répandu dans les familles parlementaires. Charles Myriel, nonobstant ce mariage, avait, disait-on, beaucoup fait parler de lui. Il était bien fait de sa personne, quoique d’assez

Bac blanc : Terminale L1 Durée de l’épreuve : deux heures. Un roi sans divertissement de Giono Question 1 (8 points) Quelles sont les fonctions et les significations du hêtre de la scierie dans Un roi sans divertissement de Jean Giono ? Question 2 (12 points) Giono à qui l’on demandait dans un entretien radiophonique quel était le thème de son livre Un roi sans divertissement répondit : « Eh bien c’est tout simplement le drame du justicier qui porte en lui-même les turpitudes

THOUVEREZ Mme Béatrice LAUR Mr Thierry POTTIER Mme Chadia LIMAM Mme Marie-Claude FROSSARD Mr Sébastien DENJEAN Mme Bénédicte GUERINOT Mme Isabelle VINCENT Mme Ana BRAZ Mme Liliane HILAIRE Mr Joël PERINO Mme Dominique SCHOUVEY Mme Véronique FENEUL Mme Marielle DURET Mr Jean-François CICLET Mr Yves DEVAUD Mme Maryline BURRIN Mme Corinne RACLET Mr Dominique SAUBIEZ Mr Dominique OSTERMANN Mr le Directeur Mme Nathalie MAISONNIAC Mme Marie-Hélène LAHOUAOUI-FRITZ Mme Sandrine DESCHAMPS Mme Stéphanie VERNEX

« dictature de l’image » qui s’impose à tous les niveaux de la société et par conséquent, à tous les 15 niveaux du roman, en se nouant principalement autour des trois confrontations qui structurent Rêves portatifs : La guerre des races (Blanc/Noir), la guerre des sexes (homme/femme), la guerre des espèces ou des règnes (humain/animal/minéral) […]. A chacune de ces guerres, il y a un type de Série B qui lui correspond : le western pour celle des races (cf. les cow-boys et les Indiens)

souvent autant de place dans leur vie et surtout dans leur destinée que ce qu’ils font. M. Myriel était fils d’un conseiller au parlement d’Aix ; noblesse de robe. On contait de lui que son père, le réservant pour hériter de sa charge, 8 l’avait marié de fort bonne heure, à dix-huit ou vingt ans, suivant un usage assez répandu dans les familles parlementaires. Charles Myriel, nonobstant ce mariage, avait, disait-on, beaucoup fait parler de lui. Il était bien fait de sa personne, quoique d’assez

des images de masques antiques propres à la comédie et analyser leurs caractéristiques (matières, formes, types, etc.). 2. Effet de mise en valeur, de dynamisme et de profondeur dû au mouvement créé par les formes géométriques : losanges ocres, blancs et noirs réunis en cubes vus en perspective. Texte 1 Molière, L’École des femmes ➜  p. 33 Objectif : Analyser un texte comique sur le thème de la relation homme-femme et du mariage. lectuRe analytiQue Analyse 3. Deux acteurs de théâtre

c'est-à-dire plus une apparition qu’une apparence. Elle n’est ni abstraite ni figurative, elle est transfiguration, c'est-à-dire une figure qui ouvre au-delà de la figure. Nous verrons que c’est également ce que vise Malevitch avec son Carré noir sur Fond blanc en 1915. 3- l’art occidental religieux ne peut rivaliser avec un accomplissement aussi sublime car il est pénétré dès ces débuts par les influences païennes charnelles et illusionnistes. Voici ce que Ouzpansky, un théoricien de l’icône qui compare

tient souvent autant de place dans leur vie et surtout dans leur destinée que ce qu'ils font. M. Myriel était fils d'un conseiller au parlement d'Aix; noblesse de robe. On contait de lui que son père, le réservant pour hériter de sa charge, l'avait marié de fort bonne heure, à dix-huit ou vingt ans, suivant un usage assez répandu dans les familles parlementaires. Charles Myriel, nonobstant ce mariage, avait, disait-on, beaucoup fait parler de lui. Il était bien fait de sa personne, quoique d'assez