Marie Bonaparte

de la Vierge Marie est célébré. Sa robe rouge qui symbolise la Passion (les souffrances du Christ) tandis que son manteau bleu, sa Virginité. Joseph son époux, qui lui donne l’anneau du mariage, porte une barbe, symbole de sagesse. Il tient un rameau (un bâton) fleuri car c’est en le faisant bourgeonner que Dieu l’a désigné comme l’élu pour épouser Marie. Ses pieds nus sont signe d’humilité. L’homme à droite casse son rameau resté sec, déçu de n’avoir pas été l’élu pour épouser Marie. Les autres

comment Dieu est en action vis-à-vis de nous, et comment nous devons nous mettre en action vis-à-vis de lui ; de cette manière nous marcherons véritablement en sa présence. Que Dieu nous en fasse la grâce ! Invocation à la Très Sainte Vierge Marie. Ave Maria ! Très Sainte et Immaculée Vierge, auguste Reine des anges et des hommes, Mère de Dieu, Mère de tous les enfants de Dieu, très douce Patronne de notre famille monastique, nous sommes à vos pieds. Nous vous demandons un regard de vos

nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons, pas n’en devez Avoir dédain, quoique fûmes occis Par justice. Toutefois, vous savez Que tous hommes n’ont pas le sens rassis Excusez nous, puis que sommes transis*, Envers le fils de la Vierge Marie, Que sa grâce ne soit pour nous tarie, Nous préservant de l’infernale foudre. Nous sommes morts, âme ne nous harie* ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! La pluie nous a debués* et lavés, Et le soleil desséchés et noircis ; Pies

rois et sous l'impulsion des évêques, tout le peuple de France fut bientôt profondément pénétré d'esprit chrétien. De cette foi chrétienne, le peuple de France a laissé d'irrécusables témoins : les cathédrales, consacrées pour la plupart a la Vierge Marie.

amour et le péché collectif des nations chrétiennes. Pour réparation, nous te présentons celle que tu as offerte toi-même au Père sur la croix et dont tu renouvelles chaque jour l'offrande sur l'autel ; nous te la présentons accompagnée de celles de Marie et des saints. Nous te promettons, avec le secours de ta grâce, de réparer l'indifférence à l'égard de ton Amour par la fermeté de notre foi et la pureté d'une vie docile à l'évangile et au commandement de l'amour. Ainsi soit-il ! Pie XI, Encyclique

de comptes Des lettres d’amour où il est question d’argent Des lettres anonymes où il est question d’amour Une rosette de la légion d’honneur De vieux morceaux de coton à l’oreille Des rubans Une soutane Un caleçon de vaudeville Une robe de mariée Une feuille de vigne Une blouse d’infirmière Un corset d’officier de hussards Des langes Une culotte de plâtre Une culotte de peau Soudain de longs sanglots Et le petit chat met ses pattes sur ses oreilles Pour ne pas entendre ce bruit

personanges sont alignées en diagonale, tombant vers la droite. On a également un jeu de regards entre les protagonistes de la scènes : Anne regarde Marie, qui regarde Jésus qui la regarde. Au niveau des mouvements des personnages : Anne est statique, hiératique, assise, campée sur ses jambes, un bras en appui sur la hanche, Marie adopte une pose plus dynamique, tendue vers Jésus l'enlaçant de ses bras; il semble lui échaper, un pied par dessus l'agneau. Ces personnages se situent dans

est plus forte que la puissance de l’âme. Par conséquent, si pour mourir l’âme du Christ devait être séparée de sa chair, à plus forte raison, la divinité du Christ devait l’être aussi. Cependant, l’Église dit : « a été conçu, est né de la Vierge Marie, a souffert, est mort et a été enseveli3 ». Saint Thomas va donc donner cette réponse : « La grâce d’union, en vertu de laquelle la divinité a été unie à la chair du Christ dans la même personne, dépasse de beaucoup la grâce d’adoption, en vertu

veuille absouldre ! Se frères vous clamons, pas n’en devez Avoir desdain, quoy que fusmes occiz Par justice. Toutesfois, vous savez Que tous hommes n’ont pas bon sens rassiz; Excusez nous, puis que sommes transis, Envers le filz de la Vierge Marie, Que sa grâce ne soit pour nous tarie, Nous préservant de l’infernale fouldre. Nous sommes mors, ame ne nous harie; Mais priez Dieu que tous nous vueille absouldre! La pluye nous a débuez et lavez, Et le soleil desséchez et noirciz: Pies, corbeaulx

veuille absouldre! Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir desdain, quoy que fusmes occiz Par justice. Toutesfois, vous savez Que tous hommes n'ont pas le sens rassiz; Excusez nous, puis que sommes transis, Envers le filz de la Vierge Marie, Que sa grâce ne soit pour nous tarie, Nous préservant de l'infernale fouldre. Nous sommes mors, ame ne nous harie; Mais priez Dieu que tous nous vueille absouldre! La pluye nous a débuez et lavez, Et le soleil desséchez et noirciz: Pies, corbeaulx