Marie de Médicis

dimension historique et une dimension politique. Les Médicis forment dès le XIVe siècle, une famille nombreuse et agitée, qui prend une part active aux guerres des cités contre la papauté. Ils deviennent au XVe siècle de puissants banquiers et en profitent pour prendre le pouvoir à Florence. En 1512, leur pouvoir financier intact leur permet de reprendre la direction de Florence ; le duc Laurent gouverne sous la tutelle de son oncle le pape Médicis Léon X. Chassés par une révolution populaire en 1527

conduit ceux qui l’on réalisée à adopté un choix très rare sur le plan architecturale, ce choix est le suivant : la superposition de 2 églises.Il y a l’église basse de 3 mètre de hauteur et l’église haute fait elle 6mètre 10. L’église basse est dédié à Marie et l’église haute à Saint-Martin. Sur le coté ce trouve une tour carré avec un clochet dans lequel ce trouve une chapelle qui est dédié à l’archange Michel qui à une spécialité qui est d’éloigner le démon. Cette église à un plein très simple avec 3

(1555) et la Nouvelle Continuation des Amours (1556) sont inspirés par Marie de Bourgueil, une jeune fille de quinze ans sur qui ces sonnets donnent peu de précisions. Délaissant le pétrarquisme pour un style plus épuré, Ronsard convoque des images bucoliques pour parler de son amour aux touches épicuriennes. Ronsard a chanté d’autres femmes et parfois sur commande : les Sonnets sur la mort de Marie(1578) ont été écrits pour Marie de Clèves dont Henri III fut amoureux fou. Les Sonnets pour Hélène (1578)

variables. Si Catherine et Marie nous décrive dans l’acte I scène 6 un personnage sage et studieux : « un saint amour de la vérité brillant sur ses lèvres » tandis que la haine éprouve par d’autre personnages dans le même acte nous démontre plutôt un personnage peu vertueux et similaire à Alexandre de Médicis. * Un personnage lâche mais peut-être qu’un masque. Dans l’acte I, scène 4, Lorenzo s’évanoui à la vue d’une épée, démontrant une grande lâcheté que le Duc de Médicis semble connaître et croire

à une influence importante sur son éducation puisqu’elle est elle-même calviniset et l’élève selon les préceptes de la Réforme. Il sera par la suite confié à Catherine de Médicis et accompagnera la famille royale dans son grand tour de France de 1564 à 1566. Il devient roi de Navarre en 1572 à la mort de sa mère et se marie dans le même temps à Marguerite de Valois (issue de la dynastie capétienne). Lorsqu’il accède à ce titre, Henri IV se voit dans l'obligation de changer de religion et se

à vie. Domenico est néanmoins stupéfait du travail de son élève, et le recommande au maitre de Florence, Laurent de Médicis. De 1490 à 1492, Michel-Ange est élève à l’école de Laurent et est influencé par un milieu qui fait évoluer ses idées sur l’art. Il commence par copier un masque de faune dont le résultat est incroyable, puis un bas-relief de la Bataille des Centaures

Parlement et de se fixer à Aix-en-Provence. Appelé à Paris pour ses affaires en 1585, il reçut des pensions de Henri IV et de Marie de Médicis. Après la mort de son protecteur un an plus tard, il regagna d' abord la Normandie et puis la Provence. Afin de plaire de nouveau à la cour, Malherbe dédia au roi en vain les 2 poèmes Les Larmes de saint Pierre et Ode de bienvenue à Marie de Médici. Épurer et discipliner la langue française a été l’œuvre de sa vie. Malherbe considérait la poésie tout à fait comme

d’Alexandre de Médicis lors d’une confession a son beau frère le cardinal. Elle lui avoue également ses convictions républicaines. .Acte II : La Marquise se laisse convaincre par son beau-frère, le cardinal Cibo, de céder aux avances d’Alexandre de Médicis et de devenir son amante afin qu’il revoit sa politique, afin de le sauver, ainsi que Florence, de la débauche. .Acte III : Dans, cet acte la marquise a une dernière conversation avec le Cardinal avant l’arrivée d’Alexandre de Médicis. A son arrivée

L’intrigue : Pour renforcer la France, Catherine de Médicis, sa mère, Marguerite de Valois, sœur du roi Charles IX, la marie de force au protestant Henri de Navarre, futur roi Henri IV. Mais le massacre de la Saint-Barthélemy est là qui s'annonce. Il n'empêche : la reine Margot va connaître l'amour avec un autre huguenot, le seigneur de La Môle. Une guerre de religion fait rage entre les catholiques et les protestants, afin d’imposer la paix à un mariage forcé, Catherine maintient sont derrière

puissance. Ce sont les Médicis à Florence, les Sforza à Milan, les Montefeltre à Urbino, les Gonzague à Mantoue, les Este à Ferrare ou Venise. | LA FLORENCE DES MEDICIS Les Médicis sont une puissante famille de marchands et de banquiers florentins. Au début du XVe siècle, Côme de Médicis devient l'homme le plus puissant de Florence. C'est un mécène qui protège les humanistes, les artistes et les savants comme Brunelleschi, Donatello et Ficin.En 1469, Laurent de Médicis, le petit-fils de Côme