Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné

partisans, ainsi Mme de Sévigné s'exclamant «Vive donc notre vieil ami Corneille!» pour dire sa déception à Mme de Grignan: «Le dénouement n'est point bien préparé: on n'entre point dans les raisons de cette grande tuerie. Il y a pourtant des choses agréables, et rien de parfaitement beau, rien qui enlève, point de ces tirades de Corneille qui font frissonner. Ma fille, gardons-nous bien de lui comparer Racine, sentons-en la différence.» Cette confrontation que s'interdit la marquise devint pourtant une

et, jusqu’à la fin du XVIIe siècle, alla encore jusqu’à l’engouement. La querelle de Girac et de Costar à son sujet eut un long retentissement. Boileau a parlé de lui plus d’une fois d’un ton élogieux qui contraste avec sa sévérité ordinaire. Marie de Sévigné a dit : « Tant pis pour ceux qui ne l’entendent pas ! » Le difficile est en effet d’entendre Voiture, avec ses pointes, ses jeux de mots, ses équivoques et ses continuels efforts d’esprit. Ce que les lettres de son époque trouvaient chez lui

Madame de la Fayette ●Biographie : Marie-Madeleine Pioche de La Vergne est née dans une famille aisée de petite noblesse, qui gravite dans l’entourage du cardinal de Richelieu. Sa mère, fille d’un médecin du roi, est au service de la duchesse Rose-Madeleine d'Aiguillon. Son père, Paul Pioche de la Vergne, écuyer du roi, meurt d'une balle dans le torse alors qu’elle n’a que quinze ans. L’année suivante, en 1650, elle devient dame d'honneur de la reine Anne d'Autriche et commence à acquérir une

l’époque Marie-Madeleine Pioche de la Vergne (1634-1693) : - Femme de Lettres, très active, qui très jeune s’est défiée de l'amour, qu'elle déclare "sentiment incommode", même si elle fut amoureuse de Ménage, érudit et poète, qui lui a permis de publier son premier ouvrage. - a reçu une éducation littéraire et fréquente très tôt les salons - liée d’amitié avec La Marquise de Sévigné, symbole de l'art épistolaire français. - a été demoiselle d'honneur d'Anne d'Autriche. - se marie jeune avec

c c Séquence 5 SÉQUENCE 5 Séance 1 A - La tendresse d’une mère 1- a) Mme de Sévigné écrit cette lettre. b) Cette lettre est adressée à Mme de Grignan. Celle-ci est désignée par le groupe nominal « ma bonne » au début du texte. c) La lettre a été écrite le 4 mars 1671. 2- Alors que la fille de Mme de Sévigné faisait une promenade en barque sur le Rhône avec son mari, un orage s’est déclaré. À cause du vent, leur embarcation a failli heurter une arche du pont d’Avignon, ce qui

 Mme de La Fayette Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette, plus connue sous le nom de Madame de La Fayette, est une femme de lettres française. Elle est née le 16 mars 1634 à Paris, morte le 25 mai 1693. Marie-Madeleine Pioche de La Vergne est née dans une famille de petite noblesse mais riche, qui gravite dans l’entourage du cardinal de Richelieu. Sa mère, fille d’un médecin du roi, est au service de la duchesse Marie-Madeleine d'Aiguillon, qui l'est depuis sa naissance

Mme de La Fayette : (1634-1693) Comme Mlle de Scudéry et Madame de Sévigné, Madame de LaFayette est une femme instruite, qui tient un salon à Paris et fréquente la cour de Louis XIV. Elle est proche d’Henriette d’Angleterre et de La Rochefoucauld. Son œuvre comporte des ouvrages historiques comme L’Histoire d’Henriette d’Angleterre, œuvre posthume publiée en 1720 et les Mémoires de la cour de France pour les années 1688 et 1689. Elle est surtout connue pour ses romans, dont le plus célèbre est

Prélats L’’ aile des Prélats François Adhémar de Monteil, était le comte de Grignan. Il fût nommé ensuite lieutenant général de Provence et épousa en 1669 Françoise Marguerite de Sévigné qui était la fille de la Marquise de Sévigné. Lors de la séparation de la mère et de la fille, la Marquise de Sévigné a écrit à sa fille de nombreuses correspondances où elle a vanté l’importante de cette cour provençale. C’est ainsi que le château est devenu plus connu. Ce château a été détruit pendant

Transposition de la lettre de madame de Sévigné en article de journal : Accablé par la pression, l’organisateur Vatel se suicide à Chantilly« Contrôleur général de la bouche » au service du Prince de Condé à Chantilly depuis huit ans, François Vatel s’est donné la mort le 24 avril dernier. Nous allons tenter de reconstituer les évènements grâce au précieux témoignage de Madame de Sévigné. Le 14 avril 1671, le roi Louis XVI se rendait au château de Chantilly, sur l’invitation du Prince de Condé

Biographie de Madame de Lafayette * Madame de Lafayette du vrai nom Marie-Madeleine Pioche de La Vergne * Française * Née à Paris en 1634 / Morte en 1693 * Ecrivaine du 16ème siècle * C’est « Femme de lettres » ayant un rôle prédominant au siècle des Lumières. * Son père est écuyer et appartient à l'entourage de Richelieu. Sa mère, fille d'un médecin du roi est au service de Mme de Combalet, nièce du cardinal de Richelieu. La future Mme de La Fayette est de petite noblesse