Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné

Marie-Madeleine Pioche de La Vergne est née dans une famille aisée de petite noblesse, qui gravite dans l’entourage du cardinal de [[Armand Jean du Plessis de Richelieu|Richelieu]]. Sa mère, fille d’un médecin du roi, est au service de la duchesse Marie-Madeleine d'Aiguillon, qui l'est depuis sa naissance. Son père, Marc Pioche de la Vergne, écuyer du roi, meurt {{référence souhaitée|d'une balle dans le torse}} alors qu’elle n’a que quinze ans. L’année suivante, en 1651, elle devient dame d'honneur

La Princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l'indique le narrateur dans les premières lignes. Il peut donc être défini comme un roman historique, même s'il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d'analyse dont se réclamera une partie de

aussi dans d’autres châteaux. Mon père meurt alors que je n’ai que 5 ans et ma mère meurt 2 ans plus tard. Je deviens orpheline à l’âge de 7 ans. Mon oncle, Mr de Coulanges, m’élève avec soin et veille sur mon éducation. En 1644, j’épouse Henri de Sévigné qui est le marquis d’une des plus anciennes maisons de Bretagne mais en 1651 mon mari est tué par le chevalier d’Albret lors d’un duel. Je me retrouve veuve à 25 ans et je me consacre à l’éducation de mon fils et de ma file. Je suis ami de nombreux

BROSSIER Biographie de Mme de Sévigné pour le 28/01/13 Vanessa 404 Note : | Observations : | Signature : | Mme de Sévigné de son vrai nom : Rabutin Chantal, est née à Paris le 5 Février 164, elle a vécu au 17eme siècle. Elle se marie avec le marquis de Sévigné, un jeune noble d'origine bretonne. En 1751, le jeune marquis de Sévigné meurt dans un duel, laissant sa femme veuve avec deux enfants à élever, elle ne se remarierait jamais, préférant se consacrer à ses enfants. Très

Paméla, or Vertue rewarded (1740) (Paméla ou la vertue récompensée). Samuel Richardson: Véritable fondateur du roman épistolaire sentimental (1689-1761) Exemple de lettres epistolaire de madame de sévigné : source : http://www.alalettre.com/sevigne-oeuvres-lettres.php Lettre De Madame de Sévigné à sa fille Madame de Grignan. Paris, mercredi 16 mars 1672 Vous me demandez, ma chère enfant, si j’aime toujours bien la vie. Je vous avoue que j’y trouve des chagrins cuisants ; mais je suis encore

de vous. Monsieur le duc me fit mille de ces caresses à quoi il ne pense pas. Le maréchal de Lorges m’attaqua sous le nom [à propos] du chevalier de Grignan […]. Mme de Montespan me parla de Bourbon, et me pria de lui conter Vichy […]. Madame de Sévigné, Lettres (1676) Sites internet : http://emra68.free.fr/ACTIVITES_CLASSES/DNB/NOTION_A_RETENIR/REECRITURE/ http://www.salle34.net/la-page-des-reecritures/ http://www.clg-belledemai.ac-aix-marseille.fr/hot/6/reecriture1.htm http://www.le-precepteur

communication comme la relation entre deux individus qui utilisent un vecteur de communication, un message Comme le montre la lettre du 9 mai 1680 de Madame de Sévigné «  Lettre à Madame de Grignan », sa fille, la lettre indique la distance géographique et temporelle dans lequel l’affectif et l’intime apparaît. En effet Madame de Sévigné écrit chaque soir à sa fille afin de lui faire le compte- rendu de sa journée, de ses sentiments ou émotions ou encore des sensations ressenti au cours des diverses

PRESENTATION GENERALE Prénom de jeune fille : Marie de Rabutin-Cantal Lieu de décès : château de Grignan Nom marital : Sévigné Siècle : 17eme siècle Date de naissance : 5 février 1626 Parents : Père : Celce-Benigne de Rabutin Décès : 17 avril 1696 Mère : Marie de Coulanges Nationalité : Française Naissance et Décès du père : (1596-1627) Sexe : féminin Naissance et Décès de la mère : (1603-1633) Lieu de naissance : Paris

I Madame de La Fayette, Biographie : Madame de la Fayette est une écrivaine du XVII ème siècle (1634-1693). Elle anime un salon littéraire à Paris et côtoie des hommes et des femmes de lettres. Elle est notamment amie avec Madame de Sévigné, La Rochefoucauld et Henriette d’Angleterre. Madame de la Fayette a écrit en 1662 La Princesse de Montpensier (une nouvelle) et   Zaïde en 1671, (un roman). Mais c’est son court roman La princesse de Clèves (1678) qui lui a valu un succès immédiat 

broderie. Les jeunes filles pauvres, seules ou sans protection se réfugiaient au couvent, c’étaient donc les religieuses qui les éduquaient. Certaines femmes de la noblesse organisaient des salons comme celui de Mme de Grignan, la fille de Mme de Sévigné . Il y a quelques femmes célèbres comme Mme de Gouge qui a participé à la déclaration des droits de la femme ou Mme de Scudéry , une romancière qui a donné lieu à la pièce de Molière « les précieuses ridicules » .Vers 1600, c’est le règne des contes