Marie-George Buffet

livré aux Allemands des documents confidentiels, il est condamné au bagne à perpétuité pour trahison, il est déporté sur l’île du Diable vers la fin de l'année 1894. Sa famille, notamment son frère Mathieu tente de prouver son innocence. Le colonel Georges Picquart, chef du contre espionnage, constate en mars 1896 que le commandant Ferdinand Walsin Esterhàzy est le vrai traître mais l’État Major refuse de revenir sur son jugement et envoie Picquart en Afrique du nord. Sa famille veut alors attiré l'attention

Dréfus est accusé d’avoir rédigé cette lettre et est donc accuser d’etre l’éspion Après que Dreyfus est perdu son épée et les gallons il fut exiler dans l’Ile du diable en Guyane, sous la surveillance d’un gardien condamné a y résider pendant 5 ans George Picquart chef du service secret militaire Français devenu Dreyfusard après avoir identifier Esterhazy comme auteur du bordereau. Il est envoyer en Tunisie en Janvier 1897 pour avoir pris partit pour Dreyfus Adjoint du colonel Sandherr à la Section

françaises est défavorable à Dreyfus. Certaine de l'incohérence de cette condamnation, la famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention

unanimement défavorables à Dreyfus. Certaine de l'incohérence de cette condamnation, la famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention

risque d’une contestation populaire et d’un retour de l’affaire sur le devant de la scène, les militaires qui ont fait condamner Dreyfus s’organisent afin que leurs irrégularités ne soient pas exposées publiquement. Pourtant, le lieutenant-colonel Georges Picquart, chef du service des renseignements militaires, avait découvert l’identité du véritable traître dès 1896. Mais il est limogé par l’état-major, qui se livre à des manœuvres de protection du véritable coupable, dont le but est de maintenir

Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître étaitle commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement (et affecte Picquart en Afrique du Nord). Afin d'attirer l'attention sur la fragilité de preuves avancées contre Dreyfus la famille contacte diverses personnalités politiques influentes de l’époque (Auguste Scheurer-Kestner [sénateur], qui convaincra lui-même Georges Clemenceau [ancien

surtout antisémite, puisque le capitaine Dreyfus était Juif. En 1894, Dreyfus est condamné au bagne (établissement pénitentiaire dédié aux tavaux forcés) à perpétuité, puis il sera envoyé sur l'île du Diable (Guyane) en janvier 1895. En mars 1896, Georges Picquart, un colonel découvre le vrai coupable, le commandant Ferdinand Walsin Esterhàzy. Mais Picquart est muté en Tunisie et ne doit pas révéler ses informations. Puis il sera emprisonné pendant un an. Sa hiérarchie lui avait interdit de dire quoi

unanimement défavorables à Dreyfus. Certaine de l'incohérence de cette condamnation, la famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence, engageant à cette fin le journaliste Bernard Lazare. Parallèlement, le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, constate en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy. L'État-Major refuse pourtant de revenir sur son jugement et affecte Picquart en Afrique du Nord. Afin d'attirer l'attention

Un appel des maires pour le mariage homosexuel Lefigaro.fr (avec AFP) 14/11/2009 | Mise à jour : 23:13 | Martine Aubry, Cécile Duflot ou encore Marie-George Buffet se sont associées à cette appel lancé sémedi par la maire PS de Montpellier. «Je demande à l'actuel gouvernement de faire preuve de courage politique. La société est prête». Hélène Mandroux, maire PS de Montpellier, a lancé samedi un appel des maires «pour l'ouverture du mariages aux couples du même sexe», aux côtés de

Cremezi Jade 2nds 8 Rédaction Consigne: ancien amie journaliste, que Georgue Du Roy néglige désormais, a assisté au mariage. Refusant de céder à l'enthousiasme que manifeste la foule, il porte sur George Du Roy, et sur la cérémonie dont il a été témoin, un regard peu complaisant. Il rédige un article qu'il compte faire publier. Écrivez ce texte. Un mariage ou un enterrement ? Un mariage c'est tellement beau, si chaleureux et plein de fleurs et de fidélité. Avez-vous déjà assister à un