Marie-Jeanne L'Héritier de Villandon

littérature du Moyen Âge est très empreinte d’éléments appartenant au merveilleux (avec Chrétien de Troyes par exemple), le genre du conte merveilleux (appelé aussi conte de fées) apparaît réellement au xviie siècle avec des auteurs comme Marie-Jeanne L'Héritier de Villandon[1], Charles Perrault, Madame d'Aulnoy ou Henriette-Julie de Castelnau de Murat[2]. Ce désir de (ré)introduire du merveilleux, de l'irrationnel dans la société émerge en même temps que commence à apparaître la pensée philosophique rationalisante

Mle Villandon: Mle Villandon de son vrai nom Harie-Jeanne L'Heritier de Villandon est née en novembre 1664 à Paris et est morte le 24 février 1734 à Paris. C'était une romancière et poétesse française. Elle était la nièce de Charles Perrault et elle a appartenu au mouvement culturel des Précieuses. Mle Villandon a rédigé beaucoup de contes de fées, dont Les Enchantements de L'Eloquence en 1696. Charles Perrault était son « oncle », ou plutôt son cousin au 3ème degré, ils échangeait sur leurs

d’événements empruntés à la réalité et d’éléments « merveilleux », féérique, surnaturel (magie, métamorphose, enchantement, monstres…). On l’appelle le récit « Il était une fois » Il apparaît réellement au XVIIe siècle avec des auteurs comme Marie-Jeanne L'Héritier de Villandon, Madame d'Aulnoy ou Henriette-Julie de Castelnau de Murat et Charles Perrault. 4-La fable C’est un texte / ou petit récit court qui peut être aussi en vers. Elle raconte une fiction (le fictif, l’irréel) dont on tire une morale

de la tradition orale, se développe. Toute l'élite intellectuelle des mondains se prend au jeu par un phénomène d'auto-émulation. Parmi eux figurent Marie-Jeanne L'Héritier de Villandon, Charlotte-Rose de Caumont La Force, Catherine Bernard, Jean de Préchac, Fénelon, la licencieuse et originale Henriette-Julie de Castelnau de Murat, la subversive Marie-Catherine d'Aulnoy et Charles Perrault, le plus célèbre de nos jours. Les Mille et une nuits furent redécouvertes au tout début du XVIIIe siècle par

Beecher-Stowe - Beissier - Benjamin - Benserade - Bergerat - Bergson - Berlioz d'Auriac - Saint Bernard de Clairvaux - Bernardin de Saint-Pierre - Bernède - Bernheim - Berthelot - Bertrand - Beschi - Bibaud - Bichet - Bierce - Bilhaud - Bladé - Blake - Jean-Noël Blanc - Louis Blanc - Blanqui - Blasco Ibáñez - Blémont - Bloy - Boccace - Bodel - Böhme - Boileau - Bois-Hus - Boissier - Bonnetain - Bonneville - Borel - Bornier - Bossuet - Botrel - Bougainville - Bouilhet - Boulanger - Bourdaloue - Bourget

pour la poésie avec Malherbe. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefs-d’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes(Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII.

Aarne et enrichi par l'Américain Stith Thompson, The Types of the Folktale (1961), connu familièrement sous le nom de « catalogue Aarne-Thompson », a servi de modèle au Catalogue raisonné des contes populaires français de Paul Delarue, continué par Marie-Louise Tenèze (1957-1977). Selon les anthropologues de l'école de Cambridge, notamment James George Frazer (le Rameau d'or, 1890-1915), des récits mythiques ayant accompagné des rituels s'en seraient séparés pour se retrouver sous une forme indépendante

pour la poésie avec Malherbe. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefsd’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII.

tragédies de Corneille et Racine. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefs-d’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII.