Marie Laurencin

l’avant garde du cubisme ainsi que l’ancêtre du surréalisme dont il est à l’origine du nom. Le recueil Alcools, d’apollinaire a été élaboré en 15 ans. Ce recueil autobiographique manifeste les ruptures amoureuses du poète avec Annie Playden et Marie Laurencin comme dans les poèmes « la chanson du mal aimé » ou encore « mai ». Le poète crée la modernité avec le jeu de la tradition. Ce recueil harmonieux explore de nombreux aspect de la poésie. Apollinaire en a été qualifié de mystificateur. Le titre

Pont Mirabeau se cache Marie Laurencin, peintre cubiste et amante d’Apollinaire. Ce poète est un promoteur de l’avant-garde littéraire et picturale du temps. Il est l’homme de toutes les nouveautés. Il existe une parenté secrète entre cet esprit nouveau et le lyrisme des Anciens. Dans Alcools, il a souvent chanté l’amour, dont Le Pont Mirabeau reste le chant le plus célèbre. Le Pont Mirabeau d’Apollinaire Introduction : Derrière Le Pont Mirabeau se cache Marie Laurencin, peintre cubiste et

Grand poète du XXème siècle, Guillaume Apollinaire a eu, malgré sa courte vie, de nombreuses aventures amoureuses. En effet, il a connu 5 femmes dans sa vie : tout d’abord, Annie Playden, gouvernante dont il est tombé amoureux à son dépens. Puis Marie Laurencin, peintre avec qui il a entretenu une aventure houleuse ensuite Lou, une aristocrate infidèle, et Madeleine Pagès auquel il se fiance et pour finir Jacqueline qu’il épouse. Il meurt encore jeune de la grippe espagnole. Dans Le Pont Mirabeau d’Alcools

permettra l'élaboration d'une théorie artistique nouvelle, le cubisme qui privilégie l'inspiration abstraite et géométrique au détriment de la représentation du réel. -1907 : Il rencontre grace à Picasso, Marie Laurencin. Il en tombe amoureux et aura avec elle une liaison passionnée. -1912 : Marie Laurencin quitte Guillaume, ne supportant plus sa jalousie maladive. -1914 : Engagement dans l'armée Française. -1918 : Blessé, il meurt, après avoir publié ses Calligrammes, emporté par une grippe

n’est plus un poète au dessus des hommes, mais un simple mal aimé qui erre dans les rues à la recherche de son amour. Les passants, la ruelle pays deviennent l’objet même du poème : ainsi, une réalité quotidienne devient objet de poésie. Annie et marie Commentaire Guillaume Apollinaire imagine Annie Playden vivant aux États-Unis, le pays où, pour ne pas l’épouser, elle s’est enfuie après le drame que rapporta “La chanson du mal-aimé”. Mais il se voit aussi l’ayant suivie, reprenant le thème de

Marie Laurencin Marie Laurencin, née le 31 octobre 1883 à Paris où elle est morte le 8 juin 1956 à 72ans, est une peintre et graveuse française. Marie a suivi les cours du Lycée Lamartine. Elle prend quelques leçons de peinture sur porcelaine à Sèvres et de fleurs auprès de Madeleine Lemaire, juste avant de rentrer à l’Académie Humbert où elle rencontre Georges Braque. En 1907 elle participe pour la première fois au salon des Indépendants. Au cours de cette année Pablo Picasso lui fait

exclusivement de sa plume. Introduit depuis quelque temps dans les milieux artistiques d’avant-garde, il devient rapidement un habitué du Bateau-Lavoir et se lie d’amitié avec Vlaminck, Derain, Picasso, Braque et Matisse. Il fait surtout la rencontre de Marie Laurencin avec qui il forme le couple légendaire du Montmartre d’avant-guerre. Dès lors, son œuvre devient indissolublement liée à celle de l’avant-garde picturale dont il se fait, d’ailleurs, le défenseur au cours d’une conférence remarquée au Salon des

nom de Guillaume Apollinaire. En novembre 1903, avec André Salmon, il fonde sa propre revue le Festin d'Ésope, qui s'arrêtera en août 1904 après 9 numéros. En 1907, il travaille au journal La Phalange dirigé par Jean Royère. Sa rencontre avec Marie Laurencin lui offre une période de renouveau dont témoignent les poèmes comme Le Brasier et Les Fiançailles. Il publie plusieurs contes, poèmes. En 1908, il décide de vivre de sa passion: il passe un contrat avec La Bibliothèque des Curieux, il tient une

artistiques Amis d’Apollinaire Peintres à connaître : Picasso, Braque, Chagall, le douanier Rousseau, Derain, Robert et Sonia Delaunay, Matisse Poètes à connaître : Max Jacob et Blaise Cendrars a une liaison avec une peintre célèbre de l’époque : Marie Laurencin (de 1907 à 1912) fréquente assidument les lieux célèbres de l’époque : l’atelier de Picasso (lieux de rencontres, sorte de salon de l’avant-garde) et le « Bateau-Lavoir » (ensemble de bâtiments, cité d’artistes, situés à Montmartre), les cafés

poétique. Cette analogie n’a pas échappé à Apollinaire qui, quelques vingt siècles plus tard, dans son recueil poétique Alcools, publié en 1913, tisse régulièrement des liens entre littérature et peinture. Ainsi, le poème « Crépuscule », dédié à Marie Laurencin, semble faire allusion aux aquarelles du peintre et à l’atmosphère de rêve qui les baigne. Dans ce texte, composé de cinq quatrains d’octosyllabes, alternant rimes embrassées, rimes suivies et rimes croisées, Apollinaire met en scène des saltimbanques