Marilyn Monroe

conserve Campbell) - Les sujets de la vie quotidienne -> Supermarket Lady. Les objets de consommation deviennent des sujets en peinture ou en sculpture (Supermarket Lady). Ils peuvent également être sujets de sérigraphies (Portraits de Marylin Monroe et bouteilles de Coca Cola). Présentation de l’œuvre : 1) Description générale Cette œuvre est une sculpture hyperréaliste. Elle a été réalisée en résine de polyester, peinte ensuite à l’acrylique. Cette sculpture utilise également des

plaisante, mais plutôt à un sourire de façade. Son regard donne l’impression de l’envie d’être à la place de l’autre, de pouvoir prendre autant de plaisir que Monroe, qui laisse sortir sa joie et d’accaparer l’attention de l’homme. Elle se penche en avant pour se rapprocher de Bogart, car elle se sentait probablement mise à l’écart avec Monroe qui à l’air très à l’aise et Bogart qui est tourné vers cette dernière. On peut donc en déduire qu’elle est probablement attachée sentimentalement à Bogart

d’abord rappelle les grandes stars de l’époque (Brigitte Bardot, Marylin Monroe, Sophia Loren). De plus, elles véhiculent toutes les valeurs que l’on pouvait retrouver à cette époque (flambe, sexualité, liberté, réussite, pouvoir). A ce titre Guess a été précurseur de la vague porno-chic. Enfin, nous avons une référence de l’ordre du mythe, celui de la femme-enfant qu’ont incarné ces mêmes stars qu’étaient Bardot et Monroe. Mettre en image des filles, qui possèdent une beauté extraordinaire, avec

 Éloge à Norma Jeane Mortenson (Marylin Monroe) L'éloge se passe au Westwood Village De Los Angeles, lieu dans lequel gît Norma Jeane, en 1992 à l'occasion des 30 ans de sa mort. Un cortège est réuni ; l'orateur est Joe DiMaggio, un de ses ex-maris et surtout celui-ci qui l'a aimée jusqu'au bout. Il parle en s'adressant à sa tombe, devant l'assemblée. Alors nous voilà de nouveau réunis ma chère Norma – car oui, avant d'incarner cet émissaire de Vénus aux courbes voluptueuses

commandes publicitaires. En 1960, Andy Warhol réalise ses premiers tableaux inspirés des « comics », il peint les premières boites de soupe « Campbell’s et Dollars » et il compose aussi ses premières sérigraphies sur les stars américaines dont Marylin Monroe qu’il admire. Ensuite l’auteur passe aux séries sur la mort et les catastrophes. En 1964, il ouvre « la Factory » dans un loft, une sorte d’atelier artistique qui lui est utile pour toutes ses créations qu’elles soient artistiques ou cinématographiques

l’ex-contrôleur-qualité. -C'est qui ? demanda Alexandre. -Le livreur, monsieur », répondit Pastor. Le meurtrier hésita puis ouvrit finalement la porte. « Monsieur Krämer, je vous arrête pour le meurtre de Mylène Farmer, Laetitia Halliday, Marylin Monroe, Madonna, Florence Foresti et Amy Winhouse ainsi que pour l’agression de Vinciane Macdom », énonça l’inspecteur Pastor d’un ton las. Krämer tenta de fermer la porte mais un colosse de l’équipe d’intervention la bloque et saisit le vieux violemment

siècles et les stars sont à l’affiche dans cette salle. Du tableau de Lana Turner d’Andy Warhol aux premières pages des grandes stars de grands magazines de mode. Des extraits de films sur un écran géant décomposé de petits écrans montrant Marylin Monroe aux portraits de Brigitte Bardot ou de Kristin Scott Thomas enlevant une perruque blonde ; la blondeur souveraine, symbolisée ici comme sex-symbol et affrontant sa brune rivale. 2°) HISTOIRE ET GEOGRAPHIE DE LA CHEVEULURE : La blonde a été établie

souvent vives et décalées par rapport à la réalité. Considéré comme l’un des pères du pop art, Andy Warhol s’approprie des objets de la vie courante (une bouteille en verre ou une canette de soupe) et personnalités médiatiques (Jackie Kennedy, Marylin Monroe) pour créer ses œuvres. Voici la définition que Richard Hamilton nous en donne : « POP ART : Populaire, éphémère, jetable, bon marché, produit en masse, spirituel, sexy, plein d’astuces, fascinant et qui rapporte gros. 

l’imaginaire collectif, la beauté française et fait rêver le monde entier à la seule évocation de ses initiales mythiques : B.B, Brigitte Bardot est bien le sex-symbol , l’icône qui bouleversa des mœurs de son époque et cela d’autant plus que, comme Marylin Monroe, elle fit carrière malgré elle, n’aimant pas spécialement le cinéma, ce qui la rendit plus grande encore. L’empreinte qu’elle laissa sur la société de son époque contribua indiscutablement à l’émancipation rapide de la femme et le souffle de liberté

individuelles, utilisant la culture populaire de son temps : objets ordinaires, produits de consommation, images publicitaires, symboles de l'enfance comme la bande dessinée pour produire des œuvres d’art. Si Andy Warhol s'appuie sur l'icône de Marylin Monroe, Roy Lichtenstein puise son inspiration dans les comics américains pour réaliser ses œuvres les plus connues comme « Whaam ! » (1963).