Marilyn

principalement de présenter l'art comme un simpleproduit à consommer : éphémère, jetable, bon marché, dans le but de "désacraliser" l'oeuvre d'art qui autrefois était réservée à une élite et qui ne couvrait que des sujets dit "importants". De Mickey Mouse, Marilyn Monroe à Elizabeth Taylor, l'admiration de certaines idoles y est exprimé de manière neutre ou non, selon l'artiste (Mickey Mousse, Andy wharol 1982) Ce mouvement aussi est caractérisé par l'utilisation de moyens

exposé à New York Lana en 1985 Sérigraphie et acrylique sur toile 101.5x101.5cm Man Ray en 1978 Sérigraphie et acrylique sur toile 40.6x40.6cm Mao en 1973 Sérigraphie et acrylique sur toile 444x346cm, exposé à Chicago Marilyn en 1967 Estampe 91.5x91.5cm Marilyn Turquoise en 1964 Sérigraphie et acrylique sur toile 101x101cm Mythes en 1981 Sérigraphie et acrylique sur toile 254x254cm On a marché sur la Lune en 1987 Sérigraphie sur papier 96.5x96.5cm, exposé à New York pêche au

individuelles, utilisant la culture populaire de son temps - objets ordinaires, produits de consommation, images publicitaires, symboles de l'enfance comme la bande dessinée - pour produire des oeuvres d'art. Si Andy Warhol s'appuie sur l'icône de Marilyn Monroe ou sur une boîte de conserve Campbell, Lichtenstein, lui, puise son inspiration dans les comics américains - personnages stylisés, contours noirs, couleurs saturées - pour réaliser ses oeuvres les plus connues comme 'Look Mickey !' (1961) ou

artistique ouvrirait la porte à de nouveaux concepts. Son succès fut alors assuré et on le surnomma rapidement le "Prince du Pop Art", ce qu'il fut assurément en assumant ce rôle avec un sens aigu des affaires. Warhol travaillera à partir de clichés de Marilyn Monroe après la disparition de l'artiste (août 1962), sa fascination pour l'image de la mort s'exprimera de nouveau dans les séries des accidents ou des chaises électriques. Il s'entourera d'assistants dans sa Factory à partir de 1963, il se consacrera

dans l’art. Il leur préfère alors, à partir de 1962, d’autres poncifs de la société de consommation, tels que les boîtes de soupe Campbell ou les bouteilles de Coca-Cola, qu’il met en image grâce au procédé sérigraphique. À la mort énigmatique de Marilyn Monroe en août 1962, il travaille à partir de clichés, largement diffusés par la presse mondiale, du visage désormais mythique de la star. C’est à ce moment qu’il devient l'un des artistes majeurs du Pop Art. Cette fascination pour l’image de la mort

consommation de masse de façon plus agressive. Il s'agit principalement de présenter l'art comme un simple produit à consommer ; éphémère, jetable, bon marché... [pic]Définition [modifier] [pic] [pic] Image « inspirée » de la célèbre série des Marilyn Monroe d’Andy Warhol. Le terme « pop art » (abréviation de « popular art » ou « art populaire » en français), sous l'impulsion de John McHale[1], a été prononcé pour la première fois en 1955 par Lawrence Alloway, un critique d'art anglais qui faisait

Elle représente surement l’un des archétypes les plus idolatrés du XXème siècle , de par sa beauté , sa force et son aspect inconditionnel. La vamp , dont la mutation se poursuit jusqu’aux années 50 , c’est Marilyn Monroe avec ses courbes extrêmement féminines et ses cheveux blonds . Marilyn Monroe ( « Les hommes préfèrent les blondes «  , «  Sept ans de réflexion «  , «  Rivière sans retour « ) La quintessence de la vamp , c’est Brigitte Bardot , connue pour ses rôles de femme somptueuse mais

deux exemples. Un comic est un terme utilisé aux Etats-Unis pour désigner une bande dessinée. Il est presque devenu synomyme de bande dessinée de super-héros. Exemples : Iron-Man ; Les X-Men ; Daredevil ; Wolverine ; Superman. Andy Warhol Marilyn Monroe Prolongement avec le POP ART : un comics du temps de la Guerre Froide Captain America, 1954 Couverture (image de propagande) n° 78 , septembre 1954, 17 x2 6 cm. La première planche. Dessinateur : John Romita, Scénariste : Stan Lee

de cœur, d’œil et de tête. Sur le sujet, il n’est pas un grand bavard. En général non plus du reste. Elliott parle avec silence. La pudeur est peut-être un de ses autres secrets qui l’a amené à poser son objectif sur de nombreuses personnalités : Marilyn Monroe, Che Guevara, Clark Gable ou John F. Kennedy, dont la famille l’appréciait particulièrement. Elliot Erwitt, c’est aussi la poésie et le glamour. Ferdinando Scianna, qui en connaît quelque chose, analyse : « Elliott a toujours su obtenir

nous parle de ce mouvement artistique, sans savoir ce que c’est réellement. L’image démultipliée de la star est un produit de consommation médiatique, qui constitue l’un des thèmes favoris de l’artiste pop. Dans cette œuvre Andy Warhol, fait de Marilyn Monroe un produit de consommation de masse, plusieurs hypothèses se forme a partir de ce tableau. Etait-il amoureux d’elle ? était –il juste un fan ? Andy Warhol met en évidence la consommation de masse en utilisant un objet simple , et du quotidien