Marivaudage

ces grands drôles qui nous accompagnent partout. Ces gens-là sont bien curieux ! ''. La cour est perçue comme un endroit rempli de personnes inutiles et serviles. La critique du pouvoir se manifeste par les différentes satyres. 4) Amour et marivaudage Nous pouvons intituler cette pièce, La Surprise de l'amour, car en apparence, l'amour entre Arlequin et Flaminia était incassable, et pourtant, Flaminia réussi à briser cet amour. Pire, les deux amants, se sont laissés conquérir par un nouvel

balance en toile d’araignée ». Cependant, les deux auteurs furent rivaux, notamment pour une place à l’Académie française, finalement remportée par Marivaux. - Certains critiques ont accusé Marivaux de tourner sans cesse autour du même sujet - Marivaudage : finesse d’analyse psychologique, subtilité du langage, sensibilité raffinée. Ce langage de salon que seuls les maîtres par leur élégance naturelle et leur bonne éducation savent pratiquer, devient préciosité ridicule chez les valets car il n’est

la pièce, c'est à dire la scène I de l'acte I extrait de « Le Jeu de l'amour et du hasard » de Marivaux. Marivaux est un grand auteur, dramaturge du XVIII° siècle, connu pour son style très romantique, avec beaucoup de finesse qu'on appelle le « Marivaudage ». La partie de ce texte est là pour dénoncer les différents points de vue, d'une servante et d'une maîtresse sur l'idée du mariage. Nous allons voir comment Marivaux arrive à créer un dialogue vif argumentatif, un conflit, avec des arguments de

chez Marivaux Chez Marivaux la comédie devient une peinture de l'amour, délicate et légèrement ironique L'obstacle à l'amour chez Marivaux, n'est pas extérieur (comme les pères de Molière) mais réside dans l'amour propre des personnages. Le marivaudage est la finesse d'analyse psychologique, la subtilité de langage et la sensibilité raffinée.

commedia dell'arte, écrit surtout pour la Comédie-Française et la Comédie-Italienne. Ses pièces de théâtres remportent pour certaines un grand succès populaire. Il y est le plus souvent question d'amours légères, ce que l'on appellera plus tard le "marivaudage". Cependant, à cette apparente légèreté s'ajoute dans ses pièces une subtile critique des inégalités sociales. Parallèlement à sa carrière de dramaturge, Marivaux travaille dans la banque puis comme journaliste au Spectateur français, journal qu'il

entraînant des réactions chez Dorante. Remarques destinées à faire réagir Dorante : Insistance sur sa conviction intérieure Remarque injustifiée qui blesse l’amour propre de Dorante : « je ne suis qu’une suivante et vous me le faite bien sentir » Marivaudage : Elle prend le rôle de la jeune fille mystérieuse pour attirer la curiosité de Dorante. Ton passionné : ponctuation interrogative et exclamative : déstabilise Dorante avec des attitudes ≠ Elle amène Dorante à quémander (il est donc inférieur

à tel point qu'ils en perdent leur mots : « attend Lisette, je voulais moi-même te parler d'autre chose mais je ne sais plus ce que c'est ». « javais de mon coté quelque chose à te dire mais tu m'as fait perdre mes idées à moi aussi ». 1. Le Marivaudage Champs lexical de l'amour extremement présent dans ce texte, « l'amour », « coeur », « attachement », « aimable ». Ce langage de courtoisie est surtout manipulé par Dorante. Elle dit « nous voilà grace au ciel en conversation réglée », permet de

pour dévoiler la vérité et aboutir à une fin heureuse. Le ton se veut relevé comme chez Molière : les personnages savent faire preuve d’esprit ; ils rebondissent habilement sur les idées de l’autre, en se livrant à ce que l’on a appelé depuis « marivaudage », ce jeu sur des sentiments en partie affectés et en partie ressentis, défini par Sylvia déguisée en Lisette elle-même comme un « badinage ». Le style cependant ne refuse pas par moments un vocabulaire et des tournures de caractère familier dont

métaphore, certains ont traduit l'esprit de la pièce dans le décor. Ainsi, le thème du double et du théâtre dans le théâtre chez Marivaux a inspiré des représentations avec des miroirs qui multiplient à l'infini le "jeu" des acteurs. La légèreté du marivaudage peut s'exprimer également par la gestuelle des corps. Que les indications scèniques soient nombreuses ou non, le metteur en scène a toujours un travail important à fournir afin de donner vie aux idées, d'étonner le public en ajoutant du sens au

Marivaux Léo Panchaud, 04/04/2022 Cet extrait est tiré de la pièce de théâtre de Marivaux intitulée La Fausse Suivante, écrit en 1724 et paru en 1729. Il est relié au mouvement littéraire du Marivaudage, apparu du vivant de Marivaux, un renouveau dans le théâtre humoristique. L’extrait se trouve dans la dernière scène du dernier acte, donc acte III scène 7. Auparavant, dans la scène 6, nous voyons le Chevalier dire à la Comtesse d’accepter