Marivaudage

Corneille et Musset le cinquième auteur le plus joué par la comédie française. Il est mort le 12 février 1763. Marivaux a laissé une œuvre considérable, composée de romans, de feuilletons, mais surtout de nombreuses pièces de théâtre. Avec le marivaudage, l'écrivain a révolutionné l'approche de la comédie au théâtre. Son nom a d'ailleurs donné naissance au verbe « marivauder », qui signifie échanger des propos galants et d'une grande finesse, afin de séduire quelqu'un. Parmi ses pièces les plus

valet Arlequin et son maître Iphicrate, tout comme Cléanthis et Euphrosine, devront interchanger leurs rôles, noms et vêtements. Cette pièce en prose est constituée de onze scènes (mais un seul acte), est une comédie sociale mais n'oublie pas le marivaudage habituel lors de la tentative à former des couples. Ici est dressé le portrait d'Euphrosine par sa servante Cléanthis sous l'observation de Trivelin. La scène 3 de cette pièce est une parfaite représentation de la critique de la société exagérée

Confessions p.104 : Que veut prouver Rousseau ? Quels procédés utilise-t-il ? B- Le théâtre : Marivaux (noblesse) : . Idées : triomphe de l’amour malgré les différences de classes sociales. . Œuvre : théâtre et roman . Style : le marivaudage (confusion des sentiments, les personnages s’interrogent sur leurs sentiments et sont partagés entre leur amour-propre et leur désir d’aimer, travestissement des personnages), le quiproquo. . Étude de la pièce Le jeu de l’amour et du hasard

journaliste​ .  Genres​  : ​ Comédie, roman  Oeuvres​  : → ​ L'Île des esclaves​  (Comédie, 1725)                     → ​ Les fausses confidences,​  1737                                   ​ Marivaux, Le Jeu de L’Amour et du Hasard, Acte I, Scène 1.    Marivaudage​  →Recherche ​  dans le langage et le style, dans l'analyse et l'expression des  sentiments.                                            ​  I) Informer (intrigue et personnages)  Introduction :    Cette querelle animée joue pleinement son rôle dans l'exposition puisqu'elle permet de 

jouer aux domestiques, ils se tutoient, parlent de leurs maîtres : « ta maîtresse te vaut-elle ? ». C'est non seulement pour faire comme de coutume mais aussi pour en apprendre plus sur leur futur. Ils tentent de se démarquer de valets ordinaires. Marivaudage : jeu de travestissements : fausses tenues, faux noms, se construisent des personnages. = Dorante « le fils d'honnêtes gens qui n'étaient pas riches » : n'est pas un valet grossier. Phrases à double sens « on est quelquefois fille de condition

rencontre avec Fontenelle, et la fréquentation du salon de la très spirituelle Madame de Lambert, sont déterminantes pour sa formation. Il y rencontre des « Modernes » et s’y initie à une forme de « préciosité nouvelle », qui donnera naissance au « marivaudage ». Il développe alors son observation critique, s’engage dans la bataille contre les classiques et s’essaie à de multiples genres : roman parodique, poème burlesque ou chronique journalistique. Le parodique est alors sa principale voie d’écriture

emprunte à la vogue des romans tragiques et des aventures de nobles déguisés: Le Prince travesti (1724), le Triomphe de l'amour (1732). Marivaux est surtout connu pour ses pièces qui traitent de "la métaphysique du coeur", ce qu'on a appelé le marivaudage: La Surprise de l'amour (1722), la Double Inconstance (1723), le Jeu de l'amour et du hasard (1730), les Fausses confidences (1737). Marivaux dit avoir "guetté dans le coeur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l'amour lorsqu'il

utilise le théâtre comme un lieu d'expérimentation sociale (l'Ile des Esclaves, 1725, où maîtres et serviteurs échangent leurs rôles…) Marivaux est surtout connu pour ses pièces qui traitent de "la métaphysique du coeur", ce qu'on a appelé le marivaudage: La Surprise de l'amour (1722), la Double Inconstance (1723), le Jeu de l'amour et du hasard (1730), les Fausses confidences (1737). Marivaux dit avoir "guetté dans le coeur humain toutes les niches différentes où peut se cacher l'amour lorsqu'il

abyme, dans la seconde une analyse de la parodie : le comique, et enfin dans une troisieme et derniere partie une critique sociale, lecon morale et politique. I] La mise en abymes Pièce dans la pèce : les deux valets font jouer une scene de marivaudage (= scene de déclaration d'amour) 1) Le jeu en abyme Les deux valets plantent le décors : sièges, mouvements, mise en scène. Dénonciation de l'expace scénique : ils font reculer les spectateurs : les maitres. Une unique réplique d'Iphicrate

suscite le rire et le grotesque tient une place à part entière. L’objectif est le divertissement mais aussi la dénonciation alors on peut appliquer la phrase de Horace « Castigat ridendo mores » soit « Divertir en corrigeant les mœurs ». Le Marivaudage : A l’époque, cela représentait un style précieux et léger, les critiques ont employé un néologisme. Maintenant c’est un art subtil de l’enchaînement des répliques. Le dramaturge Marivaux représente donc la réflexion sur le langage (Ionesco, nouveau