Marques du cheval

saisir LES CAVALIERS Cadre matériel Un couple formé d’un cheval et d’un cavalier assis sur les fesses du cheval Départ Arrivée But : pour le cavalier, aller du départ à l’arrivée en restant sur le cheval Règles : ne mettre aucune partie du corps au sol Comportement souhaité : se coucher sur le cheval en le ceinturant avec ses bras Variante : faire une course entre

Au Moyen Âge, le chevalier était un combattant à cheval en même temps qu'il détenait un titre de noblesse. Ils servaient dans l'armée de leur seigneur féodal ou dans l'armée de leur roi ou empereur ou encore ils s'engageaient comme mercenaires. Ils suivaient un code d'honneur consistant en principe à protéger le faible. (Histoire) Celui qui avait reçu l’ordre de la chevalerie. Au bout de ce temps, il vit apparaître un chevalier armé de toutes pièces au bout du chemin creux. — (Alexandre Dumas

des pattes comme étrangers à la tête et au poitrail dans la lumière, la queue flottant en bannière victorieuse, signent une force brute et dominatrice. Il est le triomphateur.  Voyeur à l'œil glacé et se repaissant de la scène, le taureau regarde le cheval agonisant, le soldat gisant à terre. Pour Picasso, il est aussi concerné par la barbarie destructrice de la guerre et, en un sens, il en est une autre victime. Cette dualité est suggérée par l'opposition ombre/lumière de l'image du taureau. Les lames

l’impression d’un chaos, la vision d’un amas de corps démembrés, on remarque ensuite que toutes les formes suivent en réalité un agencement recherché : Le premier plan : une structure triangulaire : On distingue au centre un grand triangle où se tient un cheval blessé contorsionné par la douleur et hurlant sa souffrance. Une lance transperce son corps, une plaie béante s’ouvre dans son flanc. Son corps semble hachuré par des petits traits horizontaux qui rappellent les caractères d’imprimerie. En haut

empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et symbole de l’Espagne (Corrida) et le cheval c’est le peuple. [pic]Les corps sont disloqués et les visages expriment la douleur. [pic]Construction du tableau en pyramide : notre regard est porté vers la lampe et la bougie (symbole de l’espoir). [pic]La figure centrale du tableau est un cheval blessé, une jument plus exactement, dont le corps est marqué par le viol. À gauche, une femme porte son enfant mort

 institution  légitime  et  crédible.   Les  courses  de  France  Galop  sont  connues  et   reconnues    bonne  notoriété  de  ses   évènements  (ex  :  prix  de  Diane).   5  marques  déposées   Découverte  des  courses  hippiques  pour   toute  la  famille.  Entrée  gratuite     accessibilité.  Loisir  de  plein  air  très  attractif.   Seul  événement  de

rouges vivaient encore, ils criaient évidemment pour demander du secours, et personne ne s’arrêtait pour leur en donner. Notre héros, fort humain, se donnait toutes les peines du monde pour que son cheval ne mît les pieds sur aucun habit rouge. » Ou encore « Ce qui lui sembla horrible, ce fut un cheval tout sanglant qui se débattait sur la terre labourée, en engageant ses pieds dans ses propres entrailles ; il voulait suivre les autres : le sang coulait dans la boue. ». Le texte B est un extrait de

contraste entre le palais et la rue, comment est montré le palais comme un lieu de fêtes, de plaisirs et de débauche où l’aristocratie se donne à voir, se met en scène désignée par : - la femme admirative du riche masque - le page qui cherche le cheval du duc - le bourgeois râleur - par les écoliers fascinés qui nomment tous les acteurs de la scène - par la didascalie - Montrer en même temps le mouvement qui agite la scène tout entière et que des espaces scéniques sont crées : le marchand rentre

En effet, l’Espagne en proie à la guerre civile entre nationaliste et républicain depuis 1936, est à travers le monde dépeinte comme un conflit marqué par une violence sans précédent. La petite ville basque aux commandes d’un bastion républicain va s’illustrer de façon tragique, lorsque le dictateur nationaliste Franco, avec l’aide de l’aviation allemande, pilonne la ville. Né en Espagne, Pablo Picasso (1881-1972) dénonce ce bombardement qui fit près de 2000 victimes dont essentiellement des femmes

deux figures de style : L’antithèse mais également l’anaphore du mot « il ». Passons aux illustrations qui évoque l’éloge, la première qui est un portrait équestre évoque l’allégorie de la victoire en ayant représenté Louis XIV sur un cheval, il y a une métaphore du cheval noir ainsi que l’ange qui lui remet une sorte d’auréole, ce portrait met en valeur la puissance de Louis XIV ainsi que son règne. Pour la seconde illustration, le contexte est le même, le Roi est mis en valeur d’où le nom de l’œuvre