Le registre épidictique!
Question : Dans quelle mesure ce corpus illustre-t-il le registre épidictique ?
Nous avons affaire ici, à un corpus composé de six documents portant tous sur Louis XIV. Tout d’abord nous avons quatre documents sous forme de texte. Le premier est un éloge historique de 1684 écrit par Racine et Boileau. Le second est de Saint-Simon c’est quant à lui s’intitule Mémoires de 1739-1755. Le troisième document est un discours adressé à l’académie française de Bossuet en 1671 et pour finaliser la liste de texte le document suivant est lui, une Lettre à Louis XIV de Fénelon parue vers 1694. Pour finir, les deux derniers documents qui sont représentés sous forme d’illustration, sont tout d’abord un portrait équestre du Roi et également une gouache sur papier du Triomphe de Louis XIV par Joseph Werner du XVIIe siècle. Nous allons ici aborder le registre épidictique de ce corpus.
Nous avons ici affaire à deux catégories : l’éloge ainsi que le blâme. Dans un premier temps nous allons nous consacré plutôt à l’éloge. Pour débuter, le premier document l’éloge est principalement mit en évidence par l’hyperbole ainsi que la métaphore. On peut constater à la ligne 24 une forme d’hyperbole «un exploit si extraordinaire et si peu attendue ». Le deuxième texte qui est celui de Saint-Simon lui manifeste l’éloge uniquement à travers la gradation que nous retrouvons ligne 1 « son adresse, son air galant, grand, imposant » mais également ligne 8-9 « son marcher, son port, toute sa contenance, tout mesuré, tout décent, noble, grand, majestueux. » Ensuite le discours de Bossuet met en avant l’éloge en passant par deux figures de style : L’antithèse mais également l’anaphore du mot « il ». Passons aux illustrations qui évoque l’éloge, la première qui est un portrait équestre évoque l’allégorie de la victoire en ayant représenté Louis XIV sur un cheval, il y a une métaphore du cheval noir ainsi que l’ange qui lui remet une sorte d’auréole, ce