Marquis De Bouillé

ceux qui n’ont pas pretés serment (réfractaires). Une emute empêche au roi d’aller communier au château de St Clou, il se considère donc comme prisonnier et il prend la décision de quitter paris avec sa famille pour rejoindre les troupes du marqui de Bouillé dans l’est de la France. La voiture du roi est arrêtée a Varennes et des que l’assemblée a connaissance de cela elle va prononcer la suspenssion du roi : on envoie alors deux membres de l’assemblée pour le ramener a Paris. Puis l’assemblée le

Baptême d’Émilie-Apolline Bonenfant : « J’ai assez mal baptisé ma pauvre filleule ». La famille Flaubert quitte Nogent et évite de justesse un accident de cheval à Châtillon-la-Borde. Visite du château de Nangis : « C’est le château qui appartenait au Marquis de Nangis, dont il est parlé dans Marion de Lorme [d’Hugo] » Visite du château de Fontainebleau : « Nous avons vu la cour où se firent les adieux célèbres et la table où le Grand Homme [Napoléon] signa l’acte d’abdication [le 2 avril 1814] ». Février

terre en pleurant et il avait des hoquets et il est devenu tout rouge et puis tout bleu. En classe, à peu près tout le monde criait ou pleurait, j'ai cru que le Bouillon allait s'y mettre aussi, quand le Directeur est entré. « Que se passe-t-il, le Bouil... Monsieur Dubon? » il a demandé, le Directeur. « Je ne sais plus, monsieur le Directeur, a répondu le Bouillon, il y en a un qui se roule par terre, un autre qui saigne du nez quand j'ouvre la porte, le reste qui hurle, je n'ai Le Petit Nicolas

notamment par Axel de FERSEN (c’est un militaire du roi, qui était très proche de Marie Antoinette), qui organise avec d’autres cette fuite vers l’Est du royaume, il est attendu par un régiment qui lui est favorable (notamment par l’armée) dont le Marquis de BOUILLE On ne connait pas trop ses intention, s’il voulait s’installer en Prusse ou resté en France. Cette expédition tourne mal, il a été reconnu par un homme qui la reconnu notamment grâce a un assignat et parce qu’il avait travaillé a Versailles

pouvoirs. Mais si le roi est obligé de rappeler ces principes, c’est qu’ils ne vont plus tout à fait de soi. Doc. 3 : Une lettre de cachet de Louis XV, ordonnant l’emprisonnement de Diderot, en 1749 Cette lettre de cachet de Louis XV ordonne au marquis du Châtelet, gouverneur du château de Vincennes, d’y « recevoir [et] retenir » Diderot – qui vient de publier sa Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient. La lettre (qui envoie sa victime à Vincennes, et non pas à la Bastille, comme c’est

longueur de douze cent trente et un pieds et une hauteur de quatre-vingt-quatorze pieds» (page 134). - Il est dit de la localité imaginaire de «Saint-Genouillat-les-Trous» que c’est un «gros bourg situé dans le Vésinois non loin de Chamburne-en-Basses-Bouilles» (page 178), tous ces noms étant prétextes à des contrepèteries, la burne étant le testicule. - On apprend que la pipe du gardien est «en racine de bruyère de Saint-Claude dans le Jura, au confluent du Tacon et de la Bienne, affluent de l’Ain» (page

partout, comme une sève nécessaire à l’espoir du bonheur par les sciences et la connaissance : des liaisons de toutes sortes y sont tentées à travers les oeuvres littéraires – des plus platoniques avec Jean-Jacques Rousseau aux plus épicées avec le marquis de Sade, en passant par les dangereuses perversions de Choderlos de Laclos. Le bonheur, on l’espère vraiment en ce siècle dit « des Lumières », qui doit libérer l’homme grâce au progrès. Diderot entreprend et réussit une oeuvre colossale : l’Encyclopédie

partout, comme une sève nécessaire à l’espoir du bonheur par les sciences et la connaissance : des liaisons de toutes sortes y sont tentées à travers les œuvres littéraires – des plus platoniques avec Jean-Jacques Rousseau aux plus épicées avec le marquis de Sade, en passant par les dangereuses perversions de Choderlos de Laclos. Le bonheur, on l’espère vraiment en ce siècle dit « des Lumières », qui doit libérer l’homme grâce au progrès. Diderot entreprend et réussit une œuvre colossale : l’Encyclopédie

douze cent trente et un pieds et une hauteur de quatre-vingt-quatorze pieds» (page 134) ; - la localité imaginaire de « Saint-Genouillat-les-Trous» dont il est dit que c’est un «gros bourg situé dans le Vésinois non loin de Chamburne-en-Basses-Bouilles » (page 178), tous ces noms étant prétextes à des contrepèteries, la burne étant le testicule ; - la pipe du gardien dont on apprend qu’elle est «en racine de bruyère de Saint-Claude dans le Jura, au confluent du Tacon et de la Bienne, affluent

nos seuls ennemis. L'empereur, de son côté, se chargeait d'exciter les. pays catholiques en accusant Louis XIV d'être l'allié des Turcs. Le roi eut même un grave conflit avec le pape Innocent XI. Avignon fut occupé et il s'en fallut de peu que le marquis de Lavardin, entré à Rome avec ses soldats, n'imitât Nogaret : c'est la curieuse ressemblance, que nous avons déjà signalée, de ce règne avec celui de Philippe le Bel. La ligue d'Augsbourg se forma dans ces circonstances. Elle fut loin, au début,