Marquis De Sade

précurseurs à ce mouvement sont Rimbaud et Lautréamont. Cependant il existe d’autres personnes comme Raymond Roussel (1877-1933), Paul Valery (1871-1945), Alfred Jarry (1873-1907), Guillaume Apollinaire (1880-1918), Saint-Pol Roux (1861-1940), Le Marquis de Sade (1740-1814), Baudelaire (1821-1867) et Edgar A. Poe (1809-1849) qui font partis des autres précurseurs de ce mouvement. Dans le domaine de la peinture, les principaux peintres de ce mouvement sont Salvador Dali, Chagall, Magritte, Max Ernst

mille lieues sous les mers » (1870), « Michel Strogoff » (1876), « Les Indes Noires » (1877) • l'imaginaire fait sa place au rêve, au désir, au fantasme, pour mieux ouvrir à la réflexion philosophique : les œuvres de Donatien Alphonse François, marquis de Sade (1740-1814), auteur de « Justine ou les Malheurs de la vertu » (1791), de « La Philosophie dans le boudoir »(1795), « Les Cent Vingt Journées de Sodome »... • bien des romanciers ont inspiré le cinéma : citons par exemple Roald Dahl [1916-1990]

roman permet aussi d’étudier les faiblesses de l’être humain, dans toutes ses dérives possibles et il propose ainsi une véritable analyse du mal. Restif de la Bretonne dénonce les excès du libertinage dans Le Paysan perverti (1775), alors que le marquis de Sade utilise toutes les ressources du romanesque pour légitimer la cruauté, comme dans Les Infortunes de la vertu (1787). Le roman romanesque dénonce aussi les injustices de la société. C’est ainsi que Diderot joue avec les codes du roman et dénonce

rendre meilleur, mais comme toutes bonnes choses, il faut savoir se modérer. « C’est l’excès de désir et non le désir en soit qui est mauvais ». L’homme le plus connu pour avoir utilisé les vertus de l’amour à des fins perverses est Le Marquis de Sade. Dans son roman Juliette et ses vices, il pervertit une jeune fille et la transforme en une nymphomane amorale à la recherche du plaisir sexuel dans la souffrance. C’est de son nom qu’est né le terme sadisme, ou le plaisir à s’humilier devant

religion. On peut être emprisonné, voire exécuté pour une injure de ce type. [Au siècle suivant, le chevalier de La Barre sera torturé et mis à mort pour avoir osé garder son chapeau devant une procession, ce sera un des combats de Voltaire. Le marquis de Sade sera emprisonné pendant 25 ans pour ses écrits et sa conduite libertins.]. B) Sa personnalité -C’est un monomaniaque, un obsédé. Comme dans beaucoups de comédies de Molière, le personnage central est intéressé par un seul sujet ; l’argent

d’inventivité pour nous convaincre qu’il faut satisfaire tous nos désirs. Cependant, cette préoccupation majeure sur le désir ne date pas d’aujourd’hui, l’histoire autant que les arts en ont souvent été marqués : Casanova, Don Juan, Musset, le Marquis de Sade, Carmen, Cyrano de Bergerac, Icare, Lorenzo de Médicis, Epicure, St Paul. Qu’ils aient été des hommes, des personnages incarnés par un désir insatiable, ou à l’inverse, de ceux qui se sont retirés loin du faste, répondant seulement à l’appel de

problème de la limite : elles n’en n’ont aucune. Et de l’absence de limite naît l’absence de morale. Les problèmes du libertinage ne relèvent donc plus de l’immoralité mais de l’amoralité. L’extrême exemple du genre serait une œuvre au hasard du Marquis de Sade. On ne sait donc considérer le libertinage comme progressiste ou non. Nous sommes tous des animaux doués de raison. D’un côté les libertins renient leur humanité en reniant leurs sentiments : « je sentais un besoin de coquetterie qui me raccommoda

caresser les poires. Enfin, la liberté de Man Ray semble surtout être perceptible à travers la représentation du Mal, d'un certain sado-masochisme qui à une époque comme celle où il vivait est absolument révolutionnaire. S'inspirant des travaux du marqui de Sade ( représenté en fin d'oeuvre également), il rompt les liens avec toute morale et représente des situations où le désir l'emporte sur tout: dans "Pouvoir" par exemple avec la main empoignant la femme. Se libérant également de l'importance accordée

que de dire : «ceci est ou n’est pas de la littérature». On oublie vite que ce qui est reconnu comme de la littérature à notre époque, et donc appartient au canon littéraire, ne l’était peut-être pas hier. L’exemple le plus évident est celui du Marquis de Sade qui, considéré autrefois comme un pornographe déjanté, est maintenant présent dans les corpus universitaires. Le contraire est aussi vrai puisque ce qui était jadis glorifié est aujourd’hui relégué aux oubliettes ou son sens et son importance

autobiographique: Pierre Ambroise François Choderlos de Laclos, né à Amiens le 18 octobre 1741 et mort à Tarente le 5 septembre 1803, est un écrivain et officier militaire français. Il a longtemps été considéré comme un écrivain aussi scandaleux que le marquis de Sade ou Restif de la Bretonne. Il était un militaire sans illusions sur les relations humaines, et un écrivain amateur, cependant son projet phare était de “faire un ouvrage qui sortit de la route ordinaire, qui fit du bruit, et qui retentit encore