Marquise Cibo

Lettre LXXV De Cécile Volanges à Sophie Carnay Nota. Dans cette lettre, Cécile Volanges rend compte dans le plus grand détail de tout ce qui est relatif à elle dans les événemens que le lecteur a vus à la fin de la première partie. On a cru devoir supprimer cette répétition. Elle parle enfin du Vicomte de Valmont, & elle s’exprime ainsi. … Je t’assure que c’est un homme bien extraordinaire. Maman en dit beaucoup de mal ; mais le chevalier Danceny en dit beaucoup de bien, & je crois que c’est lui

épistolaire (ou romans par lettres, genre à la mode à cette époque) de Choderlos de Laclos, écrivain et militaire de carrière. Le roman connaît un immense succès de scandale car il met en scène deux nobles pervertis, manipulateurs et libertins : la Marquise de Merteuil et Le Vicomte de Valmont. Ces derniers décident de séduire leurs victimes pour mieux les conduire à leur perte. Ainsi, le Vicomte de Valmont, libertin sans morale, part à la conquête de la Présidente de Tourvel, femme mariée, croyante

nous tenterons de déceler la nature du Vicomte dans sa relation avec la Présidente. I –Tentative(s) de séduction du Vicomte de Valmont vis-à-vis de la Présidente de Tourvel 1. Le vicomte a pour projet libertin de séduire la Présidente Lorsque la Marquise de Merteuil propose au Vicomte de Valmont de séduire Cécile de Volanges pour se venger de Gercourt qui doit épouser Cécile, le vicomte refuse la proposition car il a soif d’accomplir quelque chose de plus grand, de plus spectaculaire. Il estime ce

Devoir de Littérature sur les liaisons dangereuses Question n°1 : Le personnage de Cécile Nous remarquons que le personnage de Cécile Volange est placé comme la principale victime de la société libertine du XVIIIème siècle tant dans le film que dans le roman. Comment le personnage de Cécile est montré comme victime du libertinage dans les deux œuvres ? Dans un premier temps nous verrons l’innocence de Cécile et enfin nous étudierons l’aspect comique et l’aspect tragique de ce personnage

Pierre Choderlos de Laclos, avait initialement choisi d’intituler son œuvre, publiée en 1782, Le danger des liaisons. Il manquait, toutefois, d’originalité, car le thème était continuellement rebattu par la poésie et le roman du XVIII siècle. En effet un roman intitulé Le danger des liaisons avait été déjà publié en 1763 par Mme de Saint-Aubin; Laclos a donc décidé de corrigé son premier titre et de le changer avec un titre plus intriguant, polysémique et assez mystérieux, Les liaisons dangereuses

nous savons que plus tard dans le roman, cette relation est brisée, Pouvons nous penser que la marquise agit ainsi à cause de la jalousie ? Quand Valmont lui écrit la lettre ou il lui annonce que La présidente est " sienne " Merteuil lui répond : " Dans le temps ou nous nous aimions, car je crois que c'était l'amour, j'étais heureuse " [Lettre CXXXI ] Pouvons nous penser alors que la marquise est amoureuse du Vicomte ? Personne ne peut réellement le savoir et il serait tout de même osé

séduit son partenaire afin de le manger. Quand on évoque la séduction de la femme avec un hommes, sa réaction est toujours de penser au piège de la femme. Par exemple, avec Les Liaisons dangereuses de Pierre Choderlos de Laclos publié en 1782. La marquise de Merteuil est un vrai piège à homme. Elle abuse de sa beauté et de son pouvoir de séduction afin de séduire de plus en plus d’hommes et de pouvoir les manipuler à sa guise tout préservant son honneur sous des apparences de vertu, elle devient

Question 2 : Quelle est la place de l’humour et de l’ironie dans le roman et dans le film ? Dans son roman épistolaire Les Liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos met en scène deux libertins du XVIII° siècle, la Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont interprétés respectivement par Glenn Close et John Malkovich dans l’interprétation cinématographique de Frears. Véritables stratèges dans l’art de la séduction et de la corruption, ils manient le langage d’une main de maître et l’ironie

yeux tout de suite. » Mais, abusée par la marquise de Merteuil en qui elle voit une amie sincère, elle renonce à ce mariage d’amour et se laisse persuader qu’il faut garder une certaine autorité sur Cécile et poursuivre l’idée de marier sa fille avec Gercourt. Elle se laisse donc persuader d’éloigner sa fille du chevalier Danceny et de se rendre avec elle au château de madame de Rosemonde. Mme de Volanges se méprend sur la personnalité de la marquise de Merteuil, elle en fait l'éloge, elle assure

décrite dès le début du roman comme "un bouton de rose, gauche et nullement manièrée" à la lettre 2 de la marquise de Merteuil. Merteuil caractérise d'emblée Cécile et ce avec une grande justesse. En effet tout au long du roman ce seront les traits dominants que l'on retrouvera en la personne de Cécile de Volanges. On retrouve un peu plus loin dans la lettre 2 une remarque de la marquise qui nous instruit d'ors et déjà sur les penchants au libertinage de la jeune ingénue. "De plus un certain