Marraine de guerre

Roxane DELAGRAVE 1ère S1 Comment les Français non combattants vivent-ils la guerre ? Première partie : analyse des documents 1. L’ensemble des Français non combattants, appelé « l’Arrière » est également concerné par la guerre. Ce sont tous ceux qui, tant militaire que civils, ne prennent point part aux opérations. Ce sont donc tout aussi bien les femmes (petites copines, femmes mariées, mères), les vieillards, les enfants, les hommes politiques, les journalistes et autres personnes travaillant

Comprendre la valeur d’un témoignage Ce site a été créé par le petit fils du Poilu Henry Bury dans le but d’honorer la mémoire de ce dernier en racontant les moments de péril mais aussi de gloire qu’a vécu M. Henry Bury lors de la Première Guerre Mondiale. Ce texte est rédigé à la première personne du pluriel. On a donc affaire à un texte de type biographique. Lors de sa rédaction, Henry Bury n’a pas utilisé de ponctuation et ne s’est pas relu car on peut apercevoir quelques

Alfred de Musset née le 11 décembre 1810 à Paris et mort le 8 mai 1857 également à Paris, est un poète, auteur dramatique et romancier français. Son père, Victor-Donatien de Musset-Pathay, est un haut fonctionnaire, chef de bureau au ministère de la Guerre, et un homme de lettres né le 5 juin 1768 près de Vendôme; il a épousé le 2 juillet 1801 Edmée-Claudette-Christine Guyot-des-Herbiers, née le 14 avril 1780. Le couple a eu trois enfants : Paul, Alfred et Charlotte-Amélie-Hermine. En octobre 1819

écolier le lendemain matin. pour le mari: préparatioon de linge propre. Guerre et Femmes En 1914, la première guerre mondiale éclate. Les hommes sont mobilisés au front entraînant la diminution de la main d'oeuvre. Croyant que la guerre serait à court terme , le gouvernement fait alors appel à la main d'oeuvre féminine dans le but de relancer l'économie et apporter un soutien aux hommes du front. Leur efforts de guerre étaient parfois rénuméres mais principalement fait bénévolement  Pour permettre

1799 à Paris. Il fait partit du siècle des lumières, il est même considéré comme une figure emblématique de ce siècle. À partir du mois de juin 1775, il se lance dans une nouvelle aventure et se fait l’avocat d’une intervention française dans la guerre d'indépendance des États-Unis d'Amérique. Il milite au sein de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques, fondée en 1777 à son initiative, et obtient à la Révolution la reconnaissance des droits d'auteur. Ceux-ci sont automatiques à la création

« MAUVAISE FEE » Dans La Princesse printanière, la fée Carabosse est caractérisée comme étant une « méchante fée » (cf. page 252). À l'opposé des belles et bonnes fées, marraines des princesses de contes merveilleux, la fée Carabosse est très vieille, très laide et très méchante. Incarnation du personnage-type de la méchante marraine ou vieille fée, elle doit son nom au fait qu'elle est bossue. Sa laideur est d’autant plus frappante qu’elle est évoquée tout de suite après l’évocation des autres nourrices

sont obligés de remettre leurs archives à l’État à l’issue de leur mission. Les fonds qui se constituent à l’époque moderne sont ceux de : La Maison du Roi (entourage immédiat du Roy, ministère de l’Intérieur), depuis 1669, côté O1. >1680 : fonds Guerres et affaires étrangères ; début XVIIIe : Contrôle général des Finances ; les intendances dans les paroisses se dotent de dépôts d’archives. Avant cela, il n’y avait donc pas de dépôt central (différent de l’Espagne, GB…). C’est donc au XVIIIe siècle

Huron, débarque du Canada à la baie de Saint Malo où il rencontre l’abbé de Kerkabon et sa sœur. Il s’avère qu’ils voient bientôt en lui leur neveux. Aux chapitres 3 et 4, il est converti au catholicisme, puis baptisé. Il tombe alors amoureux de sa marraine de baptême, Melle de Saint Yves, mais leur mariage est interdit pas l’Eglise. La première péripétie se situe au chapitre 7, lorsque l’Ingénu repousse l’attaque des anglais venus attaquer la Bretagne. Il décide alors de se rendre à Versailles (chapitre

Havre. Chapitre II Jacques Lantier, fils célibataire de Gervaise, qui habite à Paris et qui, associé au chauffeur Pecqueux, est mécanicien de locomotive à la Compagnie de l’Ouest, sur la ligne Paris-Le Havre, vient passer la journée chez sa marraine, tante Phasie, qui l’a élevé, qui a épousé en secondes noces Misard, un garde-barrière à la Coix-de-Maufras, et vit chez lui avec l’une de ses deux filles, Flore, qui a dix-huit ans. Phasie est heureuse de retrouver Jacques, et, très vite, lui confie

chez ce monseigneur de Louvois, qui sans doute me conduira chez sa majesté. Il est encore plus difficile, répliqua le garde, de parler à monseigneur de Louvois qu’à sa majesté ; mais je vais vous conduire chez M. Alexandre, le premier commis de la guerre ; c’est comme si vous parliez au ministre. Ils vont donc chez ce M. Alexandre, premier commis, et ils ne purent être introduits ; il était en affaire avec une dame de la cour, et il y avait ordre de ne laisser entrer personne. Eh bien ! dit le garde