Marseille Jules Supervielle

l'anthologie qui suit , nous verrons comment les auteurs vont exposer leur vision du temps. L'anthologie s'ouvrira sur le poème :Spleen «J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans ce poème» De Charles Baudelaire - Hommage à la vie - Jules Supervielle - L’Adieu -  Apollinaire - Sonnet à Marie - De Ronsard - Le pont Mirabeau - Apollinaire - La fin de la journée - Baudelaire - Chanson d'automne - Paul Verlaine - Soleils couchants - Victor Hugo J'espère que vous apprécierez le thème

Maria Rilke, August Strindberg, Oscar Wilde, Joseph Conrad, Vladimir Nabokov, Bruce Lowery, Adelbert de Chamisso, Tristan Tzara, Emil Michel Cioran, Jean Potocki, Panaït Istrati, Czesław Milosz, Eugène Ionesco, Romain Gary, Julien Green, Jules Supervielle, Elias Canetti, Elie Wiesel, Georges-Arthur Goldschmidt, Nancy Huston, Hector Biancotti, Vassilis Alexakis, François Cheng, Stefan Zweig, Albert Memmi, Kateb Yacine, Abdellatif Laâbi, Ahmadou Kourouma, Albert Cossery, Victor Segalen et Georges

a-t-il sa place dans la société ? A-t-il un rôle, une mission ? En quoi l’activité poétique consiste-t-elle exactement ? Autant de questions qui ne cessent de hanter les poètes et de leur inspirer certaines de leurs œuvres les plus émouvantes. Supervielle, sur le pont de publier un de ses tout premiers recueils, se confronte lui aussi à ces interrogations dans un bref poème sans titre qui s’ouvre comme une prière : « Soyez bon pour le poète… » Pour convaincre les lecteurs, il compose un subtil plaidoyer

entière y fût empilée... et l'impression qu'en fouillant plus avant on retrouverait Adam et Eve.... Ici c'était la vraie ville de morts, en marge de l'autre, avec ses palais et ses taudis, ses fastes superbes et ses humilités agressives. Jules SUPERVIELLE, 1884-1960 Paris O Paris, ville ouverteAinsi qu'une blessure,Que n'es-tu devenueDe la campagne verte.Te voilà regardéePar des yeux ennemis,De nouvelles oreillesÉcoutent nos vieux bruits.La Seine est surveilléeComme du haut d'un puitsEt ses

Jules Supervielle La Fable du monde, 1938 Docilité Sujet de brevet blanc I / La victime 1- En ce début de texte, c’est la forêt qui s’exprime elle-même. On le voit par l’utilisation du verbe dire suivi de deux points et des guillemets. Une forêt qui parle, il s’agit donc d’une personnification. 2- Il y a jeu de mots car il y a jeu entre le sens littéral et le sens figuré des expressions. En effet, on comprend bien qu’il peut y avoir des oiseaux dans ses branches et des fourmis sur le

Jules Supervielle, Débarcadères - La Sphère Introduction : Né en Uruguay dans une famille fortunée, Supervielle a consacré une part importante de son oeuvre au thème du voyage. C’est le cas du recueil évocateur Débarcadères dont nous étudions un poème intitulé La Sphère. Ce n’est plus Supervielle qui voyage mais son coeur, nous nous demanderons donc comment le poète a recréé par des mots l’ivresse du voyage. Pour cela, nous constaterons d’abord le caractère lyrique du poème, puis nous

Séquence ->Thomas Hardy, « Waiting Both » p.143 Fragment 16 p.149 Résonances p.159 Fragment 18 p.166 Séquence → Jules Supervielle, « Soleil », le Forçat inoocent p.167 Fragment 19 p.178 Séquence → William Shakespeare, Le roi Lear, Acte III, scène 1 et 2 p.181 Fragment 20 p.187 Éphéméride → Dietrich BONHOEFFER p.193 Fragment 21 p.198 Séquence →Jules Supervielle, « un bœuf gris de la chine... », Le Forçat innocent p.199 Fragment 22 p.207 Résonances p.201 Fragment 23 p

Supervielle : Né en 1884 en Uruguay (Amérique du Sud), ce qui lui donne goût au voyage et aux choses exotiques. Toute sa vie va être mus par le désir de découvrir le monde. Il fait la guerre de 14-18 en contre-espionnage. Après la guerre il s'installe à Paris avec sa femme et ses enfants et compose d'abord des contes fantastiques et oniriques dont le premier est l'enfant de la haute mer (1931). Mais avant tout un poète montre la relation entre le règne humain et végétal. Il s'assigne la mission

plus souriante et plus apaisée, plus sereine. Mille poètes et cent mille vers, disais-je ! Connaissez-vous ceux-ci :Alentour naissaient mille bruits ais si pleins encore de silence Que l’oreille croyait ouïr Le chant de sa propre innocenceJules SUPERVIELLE, « Le matin du monde », Gravitations.Qui a écrit ces vers, que je me récite quand je me sens fatigué, « Dieux que ne suis-je assise à l’ombre d’une clairière / Quand pourrais-je suivre de l’oeil un char fuyant dans la carrière ? » ? Ou encore ceux

Enfant cache ton visage Car tu cours de grands dangers. - Ne vois-tu pas, étranger, Que j’ai un bon attelage. » Garçons des autres planètes N’oubliez pas cet enfant Dont nous sommes sans nouvelles Depuis déjà très longtemps. Jules Supervielle, Le Forçat innocent, extrait de Mes légendes, 1930 1 Diplôme national du Enclume : masse de fer sur laquelle on bat le métal pour lui donner la forme souhaitée. brevet 2013 – annales zéro éduSCOLQuestions (15 points) 1. Dites en une