Martin Luther Humanisme

de deux parties, la première porte sur l'esprit du capitalisme, en s'appuyant sur un texte écrit par Benjamin Franklin qui est en quelque sorte les ''dix commandements'' du parfait emprunteur, et la seconde moitié porte sur la notion de Beruf, chez Luther et les protestants. Ces chapitres seront donc résumés et s'ensuivra une critique de ma part sur ses propos. La première moitié du chapitre porte sur l'esprit du capitalisme et pour ce faire, Weber utilise un texte écrit par Benjamin Franklin dont

n'avait eu l'envie, le courage ou le temps de réaliser cet ouvrage. Il n'était donc pas surprenant dans ce contexte de voir l'émergence d'une situation qui allait favoriser la naissance d'une scission, dont Luther fut le point de départ.
 Le protestantisme C'est ainsi qu'en 1517, Martin Luther, moine allemand, augustin et professeur à l'université de Wittemberg, publia une déclaration en 95 points. Il est d'abord révolté par les excès de Rome et en particulier le commerce des indulgences destiné

blessures qu'elle a | |reçue par le schisme et l'hérésie." | Au XIX° siècle, l'historien Léopold Ranke part du fossé qui sépare l'Italie et le Saint Empire et du rôle de Luther dans l'éclosion de la Réforme : |"En Italie on était surtout saisi par la beauté de la forme, et on débuta par imiter celle de l'Antiquité ; | |comme nous l'avons dit, on parvint à créer une littérature nationale. En Allemagne, ces études prirent

place en lui. La première réforme débute en Allemagne avec la protestation de Martin Luther. Martin Luther moine allemand attaque le principe même de la pratique des 95 thèses qui consistait à faire construire la basilique saint Pierre à des chrétiens en leurs promettant l’indulgence de Dieu. L’indulgence est un acte que Dieu contrôle qui consiste à enlever les péchés personnes si elle se rattrape. Selon Luther seul Dieu peut décider de l’indulgence il est donc contre les promesses fait à la

intellectuelles de l'époque créent une nouvelle confiance en la perfection de l'homme. Par rapport à la religion, l’humaniste ne croit pas être uniquement une créature de Dieu mais qu’il est aussi son propre créateur. La reforme protestante de Martin Luther est signe des principes de l’humanisme. L’humaniste, étant croyant, veut développer une relation directe avec Dieu, centre sur une lecture approfondie de la bible et la fois personnelle, non-impose par l’Eglise. L’utopie, introduit par Thomas More

de la chrétienté occidentale . • La réforme de Luther est reprise par Calvin à partir de 1533 en France et en Suisse. Mais Calvin développe un protestantisme plus radical, plus sévère en demandant à ses adeptes un mode de vie plus austère, plus rigoureux. Il écrit en latin Institutions de la religion chrétienne (1539) et traduit lui-même son livre en français en 1541: il veut que tous les croyants, et pas seulement les pro• En 1517, Martin Luther, un moine et professeur de théologie allemand, s'élève

vocation. Martin Luther était un moine allemand d’un milieu fortement travaillé par les préoccupations religieuses. Indigné par la dérive commerciale de l’Eglise, il apposa en 1517, sur la porte de l'église du château de Wittenberg (Saxe), 95 thèses ou arguments à discuter. Outre la condamnation de la vente d'indulgences, Martin Luther souhaitait également discuter des questions théologiques profondes : • Salut de l'âme : C'est une question qui préoccupait personnellement Luther. Il pensait

amorcée au quinzième siècle par Martin Luther, moine augustin, professeur d’université et père du protestantisme. Ainsi, le but initiale de cette réforme était le retour aux fondamentaux du christianisme, pour Buttgen cela ca plus loin puisque cette réforme qui prétend libérer la religion chrétienne de l’influence papale dénature l’idée de liberté étant donné qu’elle nie la notion de libre arbitre qui est incompatible selon elle avec l’idée meme de liberté, pour Luther la notion de liberté est liée

qui n’y avaient pas accès quand les livres étaient manuscrits. Dans l’Europe du Nord, deux personnes incarnent le désir de changement. Didier ÉRASME (1469-1536; Éloge de la Folie) parcourt le continent et devient le chef de file des humanistes. Martin LUTHER (1483-1546) se révolte contre l’Église catholique et crée la R éforme (le protestantisme). 1 — LA RENAISSANCE EN EUROPE 2 — LE TEMPS DE L’ESPOIR Quand les nouvelles idées arrivent en France, elles font naître un grand enthousiasme, mais

|EXPLICATION DE TEXTE | | | |De quelques extraits des 95 thèses de Luther | | | |20/01/2010 | |