Mascaron

transféré au cimetière de l'Est, était composé avec des arcatures et colonnettes provenant du bas côté de l'église abbatiale de Saint-Denis, avec des bas-reliefs provenant des tombeaux de Philippe et de Louis, frère et fils de saint Louis, avec des mascarons provenant de la chapelle de la Vierge de Saint-Germain des Prés, et deux statues du commencement du XIV e siècle. C'est ainsi que les statues de Charles V et de Jeanne de Bourbon, provenant du tombeau de Saint-Denis, étaient posées sur des boiseries

orgues ne produisent pas le son uniquement avec de l’air et des tuyaux. Il existe de nombreux instruments qui disposent également de registres de percussions et divers accessoires de bruitages. On les rencontre dès l'époque de la renaissance, ou des mascarons situés sur les buffets produisaient un effet pittoresque de percussion grâce à une pédale actionnée par l'organiste (exemple : l'orgue de Saint-Savin dans les Hautes-Pyrénées). En Allemagne, on trouve régulièrement des registres de glockenspiel,

une sorte de décapitation, ayant un visage qui n’était pas lui. Ce visage était épouvantable, si épouvantable qu’il amusait. Il faisait tant peur qu’il faisait rire. Il était infernalement bouffon. C’était le naufrage de la figure humaine dans un mascaron bestial. Jamais on n’avait vu plus totale éclipse de l’homme sur le visage humain, jamais parodie n’avait été plus complète, jamais ébauche plus affreuse n’avait ricané dans un cauchemar, jamais tout ce qui peut repousser une femme n’avait été

vert céladon, en lilas clair, avec des toits en escalier, des pignons à volute, des portes à bossages vermiculés, à colonnes trapues, ornées de bracelets quadrangulaires comme celles du Luxembourg, des fenêtres renaissance à mailles de plombs, des mascarons, des poutres sculptées, et mille curieux détails d’architecture qui l’auraient enchanté en toute autre occasion ; il jeta à peine un regard distrait sur les madones enluminées, sur les christs qui portent des lanternes au coin des carrefours, les

1676 et 1700, ils étaient 243 000. Entre 1701 et 1725, ils étaient 380 000. Entre 1726 et 1750, ils étaient 490 000. Entre 1751 et 1775, ils étaient 859 000. La décrue s'amorça dès 1776 et la traite fut interdite en 1807. Visage africain d'un mascaron de la Place de la Bourse à Bordeaux La FrancePetre 33 17 ports français participèrent à 3317 expéditions négrières. Nantes fut le principal port négrier français à partir du quai de la Fosse. 1427 expéditions y furent armées, soit 42 % de la traite

façades et les bronzes des meubles. Les Fables d’Esope ou de La Fontaine offre un recueil de la faune pour les paravents, les tapisseries des sièges, les médaillons des lambris. On y rencontre un motif très rependu nommé espagnolette. C’est un mascaron ou un buste de femme au visage souriant et coiffé d’un diadème qui est tantôt une palmette, tantôt une rangée de plumes. On atteste le désir de plaire et de séduire dans le deux style. Le symbole de ce désir dans le baroque est le paon. Cet oiseau

Gabriel, Germain Boffrand… Orientation vers sobriété et dépouillement des façades. Simplicité monumentale (cf. hôtel de Soubise), aération des surfaces. Conservation du plan entre cour et jardin hérité de Louis XIV, mais augmentation du nombre de mascarons décoratifs et dessins des ferronneries plus libre. Initiateur principal du nouveau style : Gilles-Marie Oppenordt. Architecte du Régent. Tendances baroques héritées de Borromini, goût pour les surfaces pittoresques animées de jeux vermiculés… pénètrent

fait de rinceau en ecaille sur un fond en laiton. Ils sont chacun composé d'un piettement en console, dans le coffre de droite, on retrouve les protones de bélier, en haut des pied en console, a gauhce c'est plus sombre. Au niveau de la ceinture, mascaron, apparenté a l'art des grotesques, la serrure dans le modèle de gauche apparente une face grimaçante qui s'apparente à<l'art des grottesques. Ces coffres s'ouvrait dans la partie supérieure et on avait 3 tiroir en marbres. Le commenditaire des

des Pompéiens habitaient à moins de 80 mètres de l'une d'entre elles71. Ces fontaines étaient généralement en basalte, parfois en travertin ou en marbre. Elles étaient formées d'une vasque rectangulaire, surmontée d'une pierre sculptée en forme de mascaron - simple écu, rosace, silène ou encore mufle de lion, les motifs sont variés - d'où jaillissait l'eau. La moitié de ces fontaines fonctionnent, comme dans l'Antiquité. ------------------------------------------------- Temple d'Isis Le temple d'Isis se

rocaille connaît ses début avec Jules Hardouin-Mansart, Robert de Cotte ou encore Jacques V Gabriel. Leurs disciples vont diffuser un type de lambris fin et des sculptures typiques de ce style. Les plus riches adhèrent tout de suite au Rococo : mascarons et jeux de miroir donnent plus de luminosité aux pièces. Quand Louis XIV regagne Versailles en 1722, on y découvre des pièces dorées et inédites jusqu'à ce jour. Le style exubérant qu'est le Rococo s'est très vite imposé dans les villes de province