Matériau

pas d’avoir un aperçu exhaustif du problème mais bien d’être familiarisé avec un maximum de problématiques liées au vieillissement du béton armé. I- Les matériaux et les mécanismes de corrosion I.1 Le Béton : Le béton est un matériau poreux, résultant d'un mélange de sable, granulats, ciment, eau et, souvent, d'adjuvants et d'ajouts complémentaires (filler, fumée de silice, cendres volantes, laitiers, etc.). Trois phases coexistent dans le béton : solide, liquide et gazeuse.

souplesse de conception 2.3. Une longue durée de vie 2.4. Un entretien minime 2.5. Des centaines de finitions de surface 2.6. Un excellent rapport résistance/poids 2.7. Une réflectivité élevée 2.8. La conductivité de la chaleur 2.9. Un matériau non combustible 2.10. Aucune émanation de substances dangereuses 2.11. Une sécurité optimale 3. LES PRODUITS DE CONSTRUCTION EN ALUMINIUM SONT TRES PERFECTIONNES 3.1. Conception, tests et fabrication 3.2. Marquage “CE“ d’un coût abordable

Boite à œufs -forme moulée simple à partir de carton, accueillant 6 œufs à des emplacements précis. -matériau transformé pour la forme mais pas retravaillé pour l’esthétique. -matériau pauvre et peu cher : économie de moyen justifiée par la fonction du -produit intelligent par sa capacité à se déformer, encaisser les chocs et amortir les vibrations -nécessité d’utiliser un matériau très bon marché et recyclable -gerbage du produit (empilage pour palettisation) mais aussi remplissage mécanisé

par une ou plusieurs des trois méthodes suivantes : conduction, convection et rayonnement. Conduction La conduction est le processus au cours duquel la chaleur passe, par transport moléculaire, le long ou au travers d'un matériau ou d'un matériau à un autre, le matériau recevant la chaleur étant en contact avec celui d'où la chaleur vient. La conduction a lieu dans les solides, les liquides et les gaz et d'un de ces états vers un autre. Le taux de conduction varie considérablement en fonction

* Des récipiau/truelle/règle à araser Matériaux utilisé  * Ter * au I. BUT  II. MODE OPÉRATOIRE  A) Matériau B) Choix du moule * mm/H= 152mm; pour les éléments ≤ 20 mm. Nous choisirons donc le moule CBR pour notre essai : Essai Proctor Modifié (Moule C.B.R.) Masse de la dame : 4,535 kg Hauteur de chute : 457 mm Nombre de couches

Biocontamination : C’est la contamination d’une surface inerte par des micro organismes qui tendent à s’y développer Nettoyer : C’est rendre un matériau propre, le débarrasser de ses souillures, le préparer à recevoir dans de bonnes conditions un produit d’entretien. C’est le rendre propre visuellement. Entretenir : C’est tenir en bon état. C’est donner au matériau une présentation agréable et une protection contre l’usure, les salissures, les poussières, l’humidité Lessiver : C’est l’action de laver

composées d'un seul matériau : béton, briques, parpaings, béton cellulaire, carreaux de plâtre.  Elles sont d'autant plus performantes sur le plan de l'isolement acoustique qu'elles sont lourdes et étanches à l'air : elles s'opposent aux transmissions du bruit par leur masse.  2. L’isolant acoustique double :  Elles sont constituées de deux éléments indépendants (plaques de plâtre, briques désolidarisées) séparées par une lame d'air dans laquelle est placé un matériau absorbant (généralement

18ème Congrès Français de Mécanique Grenoble, 27-31 août 2007 Texturation de surface par laser sur un matériau hétérogène Christophe Vincent1,2, Guy Monteil1, Thierry Barrière2 & Jean-Claude Gelin2 1 Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques Laboratoire de Microanalyse des Surfaces 26 chemin de l’épitaphe 25000 Besançon 2 Institut FEMTO-ST Département Mécanique Appliquée 24 chemin de l’épitaphe 25000 Besançon christophe.vincent@ens2m.fr Résumé : La texturation

conforme a l’utilisation que l’on veut en faire. Principe de l’essai : le principe de cet essais est de mettre une quantité de granulat (sable, gravier…) connu dans un série de tamis organisés selon la norme NF EN 933-1 et de déterminer la quantité de matériau a chaque tamis Matériel utilisé : * Une colonne de tamis à mailles carrées composée d’au moins ces tamis 125 ;63 ;31.5 ;16 ;8 ;4 ;2 ;1 ;0.5 ;0.25 ;0.125 ;0.063 (en fonction de la nature du granulat) * Une balance * Une plaque chauffante

chapitre successivement : L’influence de certains paramètres sur le compactage au laboratoire et sur le chantier ; Le compactage au laboratoire et le compactage in situ ; L’effet du compactage sur les propriétés hydrauliques et mécaniques du matériau traité ; 2. FACTEURS D’INFLUENCE 2.1. Influence de la teneur en eau : courbes de compactage C’est en 1933 que l’Ingénieur américain PROCTOR mit en évidence l’influence de la teneur en eau et de l’énergie de compactage sur le poids