Mathématiques dans l'Égypte antique

Introduction: Dans le domaine de la culture littéraire, l’Egypte fournit des exemples importants, il s’agit d’une grande renaissance litteraire. L'occupation de l’Egypte par Bonaparte, les réformes militaires, sociales et économiques de Muhammad ‘Ali, qui envoya des missions éducatives en Europe, et particulièrement en France, tout cela a préparé le commencement d'un nouveau type de relations entre deux mondes, l'Occident et l'Orient , et a ouvert une nouvelle ère en Egypte. Cette période préparatoire

civilisations encore plus prospères et diversifiées. L’Égypte et la Mésopotamie furent les deux premières grandes civilisations. Il y avait déjà une certaine connaissance du monde puisque les égyptiens ont pu construites les grandes pyramides en les orientant vers les quatre points cardinaux avec une bonne précision. D'ailleurs nous ne savons pas comment ils ont pu atteindre cette précision et assembler ces monuments. Il y a aussi la découverte des mathématiques avec les premiers chiffres et les fractions

un progrès fondamental dans le développement de la civilisation.
Officiellement, l’écriture est née à Sumer, en Mésopotamie, au IVe millénaire avant notre ère. Naissance de l'écriture
 I - Naissance de l’écriture Dans la Mésopotamie antique, les premiers signes d’écriture apparaissent pour répondre à des besoins pratiques : comptabiliser des têtes de bétail ou des sacs de grains.
Le plus ancien témoignage d’écriture connu date de 3 300 avant notre ère. Ce sont des tablettes sumériennes

Élie FAURE (1873-1937) Histoire de l’art. L’esprit des formes L’art antique 1909 Un document produit en version numérique par M. Ugo Bratelli, bénévole, Courriel: ugo_bratelli@netcourrier.com Site web : http://nimispauci.free.fr/ Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http ://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection

Les monuments de l’Egypte antique Sommaire I. Introduction II. Les différentes pierres utilisées III. Les éléments architecturaux IV. Les raisons de la construction V. Les étapes de la construction d’un temple VI. Le temple de Karnak I. Introduction : L'Égypte antique a consacré beaucoup de temps et d'argent à édifier des monuments à la gloire des dieux. La construction des temples a évolué au travers des temps en passant de la brique crue à la pierre

uniquement comme un discours théorique (même si ce dernier ne saurait être ignoré, naturellement) ce qui est particulièrement frappant chez un Socrate, un Diogène ou chez les Stoïciens. Les deux autres grands domaines de la recherche des penseurs antiques sont d'une part la cosmologie et la physique (ce qu'on a longtemps nommé philosophie naturelle), d'autre part la théorie de la connaissance parfois liée à la logique. Ainsi, la question fondamentale qui occupait les philosophes présocratiques était

nécessités « temporelles » de la réalité immédiate et disposant par rapport à elles d’une relative autonomie ? Etre « intellectuel », ou se rattacher à la sphère aux contours incertains de l’intellectualité, ce qui était déjà le cas des scribes de l’Egypte ancienne ou des clercs de l’époque médiévale, ce ne serait donc pas exercer un métier comme les autres, dans la mesure où il ne s’agit pas seulement d’un métier, attaché à l’accomplissement de certaines tâches techniques immédiates (enregistrer,

principaux courants philosophiques et comment ont-ils évolués à travers les époques ? Nous présenterons ce devoir sous formes chronologique en indiquant les périodes principales de l’histoire de la philosophie. Nous commencerons donc par la philosophie antique et nous terminerons par la philosophie contemporaine. Antiquité : Les philosophes de la Nature (600-400 Av JC) Comme nous l’avons dit précédemment, la Grèce est le berceau de la philosophie. C’est au VIe siècle avant notre ère, dans les

–La société pythagoricienne –Le nombre d’or du moyen-âge à aujourd’hui 5. Valeurs mathématiques du nombre d’or - Données essentielles

CARTES - Le monde grec et la Grèce antiques (pp. 48-49) Doc. 1 : La cité des Athéniens Le territoire athénien, l’Attique, se situe à l’extrémité de la Grèce (voir carte 2). Après le territoire de la cité des Lacédémoniens (Sparte) et ses 8 500 km², la cité des Athéniens (2 400 km²) est le plus grand des territoires des cités grecques. Il existe, au ve s. av. J.-C., environ 700 cités grecques – le nombre exact est inconnu – et pour les trois quarts d’entre elles, le territoire est inférieur à 100