Mathieu Kérékou

qui entre en vigueur à partir de sa date de promulgation. ARTICLE 149 : La présente loi sera exécutée comme loi de l’Etat. Fait à Cotonou, le 21 Mars 2003 54 Par le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement Mathieu KEREKOU Le Ministre d’Etat chargé de la Coordination de l’Action Gouvernementale, de la Prospection et du Développement Bruno AMOUSSOU Le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, de la Législative et des Droits de l’Homme Joseph H. GNONLONFOUN

| | | | | | | | | | | | |Mathieu Kérékou | | | | | | | |(1972-1991) | | |

de la chaîne de télévision, annoncée dès 1964, est retardée une première fois, du fait du renversement du président Emile Derlin Zinsou par les militaires le 10 décembre 1969. Puis une seconde fois, quant survint le coup d’État du commandant Mathieu Kérékou, en 1972. Le 30 décembre 1978, alors que les Béninois observent un deuil, suite à la mort du président algérien Houari Boumédienne, ils reçoivent chez eux, pour la toute première fois, des images de leur petit écran. La télévision, ici, sera,

Porto-Novo Page L’indépendance du Dahomey est proclamée en 1960, et le premier président est Hubert Maga. Commence alors une période perturbée, au cours de laquelle les coups d’états se succèdent, jusqu’à la prise de pouvoir en 1972 du commandant Mathieu Kérékou. Celui-ci abandonne le nom de Dahomey, qui rappelle trop le passé colonial, et le pays est rebaptisé Bénin. Il instaure un régime marxiste-léniniste, dirigé par un parti unique : le Parti de la Révolution Populaire du Bénin (PRPB), qui s’inspire

institutionnelle : « la décentralisation ».Cette réforme est intégrée dans le texte de la nouvelle Constitution adoptée par référendum en décembre 1990 par le peuple béninois et promulguée aussitôt par le Président de la République d’alors, le Général Mathieu KEREKOU. Les intérêts multiples et contradictoires et les enjeux politiques de la décentralisation étaient tels qu’une décennie de travail difficile fut nécessaire aux gouvernements successifs pour mettre en place cette réforme. Après quatre élections

meilleur des cas, ils quittent leur siège au terme de scrutins démocratiques (Kenneth Kaunda, en Zambie, 1991 , André Kolingba en République centrafricaine, en 1993, Didier Ratsiraka, Madagascar, 1993) ou à la suite de conférences nationales (Mathieu Kérékou, Bénin, 1990, Denis Sassou-Nguesso, Congo-Brazzaville, 1991, Ali Saibou, Niger, 1991-1993). Parfois ce sont des militaires qui jouent les arbitres, contraignant les dictateurs à quitter le pouvoir pour permettre la tenue d’élections libres (Amadou

organes ont joué un rôle moteur dans la lutte pour l’émergence d’une société démocratique pluraliste au Bénin[55]. Ces organes de presse se sont fait les relais de la contestation sociale en dénonçant les malversations du régime du Président Mathieu KEREKOU et en suscitant la réflexion au sein du peuple. Après la Conférence nationale et à la veille des élections, de nombreux autres titres ont vu le jour. Cette éclosion spectaculaire des médias et leur degré d’engagement continuent de frapper l’observateur

Haute Volta (aujourd’hui Burkina Faso) en 1960 et au Togo en 1958. 3 La République de Dahomey aujourd’hui Bénin reste le prototype même de l’instabilité qui a gangrené l’Afrique aux premières heures des indépendances. Avant le coup d’Etat de Mathieu KEREKOU du 26 octobre 1972, ce pays a connu depuis son accession à l’indépendance, 4 constitutions, six coups d’Etats avec autant de succession de présidents civils et militaires. Le Burkina Faso quant à lui est devenu indépendant le 5 Août 1960. Le président

permis de bénéficier de la confiance des décideurs et des bailleurs et d’être sollicitée pour la réalisation de plusieurs projets d’infrastructures. Après le décès subit du très cher et regretté Monseigneur Isidore de SOUZA en 1999, le Président Mathieu KEREKOU a recommandé que son remplaçant soit aussi un membre du clergé béninois. C’est ainsi que Monseigneur Lucien MONSI AGBOKA a été désigné par ses pairs pour représenter les couches défavorisées au sein de l’Association AGETUR.En 2002, en vue de se

Dénonçant d’énormes grossièretés au sein du PVI, Les douaniers demandent un débat contradictoire La récente suspension provisoire du Programme de Vérification des Importations (Pvi) par le Chef de l’Etat vient redonner raison aux disciples de St Mathieu naguère traités d’ennemis à ladite réforme. Au cours d’une conférence de presse donnée ce lundi 14 mai par l’administration douanière béninoise sur le dossier, les douaniers ont apporté des clarifications qui révèlent les grossièretés dont le Pvi