Mathilde de Toscane

celle-ci était mariée. Cette pensée la remplissait de colère, mais aussi de fierté; car, à force de dire aux personnes qui s'étonnaient de ne pas la voir chez Mme Des Laumes, que c'est parce qu'elle aurait été exposée à y rencontrer la princesse Mathilde - ce que sa famille ultralégitimiste ne lui aurait jamais pardonné, - elle avait fini par croire que c'était en effet la raison pour laquelle elle n'allait pas chez sa jeune cousine. Elle se rappelait pourtant qu'elle avait demandé plusieurs fois

Italiens de France (130 000 sur 296 000 en 1896). En 1914, ils représentent 20 % de la population marseillaise, sans compter les probables naturalisations, et 50  % des ouvriers. Ils sont en grande partie de l’Italie du Nord (28 % de Piémontais, 22 % de Toscans, 12 % de Lombards…), cette prépondérance s’expliquant, selon Pierre Milza, par certes une proximité spatiale qui a aidé mais aussi des liens historiques des deux versants des Alpes qui facilite l’idée d’immigration dans un des deux pays. La «  tragédie

Italiens de France (130 000 sur 296 000 en 1896). En 1914, ils représentent 20 % de la population marseillaise, sans compter les probables naturalisations, et 50  % des ouvriers. Ils sont en grande partie de l’Italie du Nord (28 % de Piémontais, 22 % de Toscans, 12 % de Lombards…), cette prépondérance s’expliquant, selon Pierre Milza, par certes une proximité spatiale qui a aidé mais aussi des liens historiques des deux versants des Alpes qui facilite l’idée d’immigration dans un des deux pays. La «  tragédie

Ces deux sortes de gouvernements ne peuvent que d'une manière forcée subsister dans une république fédérative. Aussi voyons-nous dans l'histoire romaine que lorsque les Véiens eurent choisi un roi, toutes les petites républiques de Toscane les abandonnèrent. Tout fut perdu en Grèce, lorsque les rois de Macédoine obtinrent une place parmi les Amphictyons. La république fédérative d'Allemagne, composée de princes et de villes libres, subsiste parce qu'elle a un chef,