Matraque

le contenu de son sac de sport. Je m’avançai vers le joueur et le douanier. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Le grand sportif s’énerver tandis que le douanier tenait fermement sa matraque. Je ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… saisis ma matraque au cas où cette discussion tournerait mal. Deux autres policiers ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… arrivèrent. Le premier policier s’interposa tandis que le

s’évanouissaient, certaines faisaient même des crises cardiaques comme Colette Chouraqui, d’autres pleuraient. Tout de suite le hall se remplissait de CRS avec leurs matraques. Ils voulaient nous faire taire, nous leur jetions tout ce qu’on trouvait :des chaussures,des morceaux de savon noir, de l’eau de javel ... Ils essayaient de nous taper avec leurs matraques, ils demandaient les clés aux surveillantes : « Donnez les clefs, qu’on rentre les mater ». Elles ne voulaient pas. Après chaque exécution nous refusions

bâillonnèrent avec une dextérité due à l’habitude : il ne pouvait pas crier. Il fut poussé, plus que conduit, à une voiture noire, également. Elle s’arrêta à la limite de la ville. Un groupe de personnes attendait là, entourées d’hommes en noir équipés de matraques. En se rapprochant, V… vit ce détail : tous les prisonniers avaient au moins soixante ans. Que des vieux. Peu portaient autre chose qu’un pyjama ou une chemise de nuit, quelques-un étaient même complètement nus, ils avaient été pris durant leur sommeil

peut être un peu… comment dire… mal elevé A : Alors ça ne vous inquiétez pas j’ai fait l’armée je saurais la remettre a sa place ! B : Oui bon pas trop de violence non plus nous sommes bien d’accord A : Non et puis j’ai toujours ma matraque sur moi…. B : Une matraque ?! Mais pourquoi ? Quel métier pratiquez vous ? A : Je suis éducatrice comme je vous l’ai dit B : Ah… très bien A : Qu’est ce qu’interesse Trudi ? B : Trudi adore aller jouer au parc, elle rencontre pleins d’enfants A : Mais elle

etc). Ils disposent également d'armes, de pelle, de pioche, de matraque de tranchées, de cisailles à barbelée, d'un masque à gaz. La forme de combat qui est montrée au spéctateur est une forme violente et sans pitié, soit «  tué pour survivre ». Les combats sont sanglants et il y a beaucoup de mort et blessé. Il y a de multiples armes utilisés dans cette guerre , il y a d'abord les « classiques » avec les grenades, les matraques, les pelles, les armes blanche et le réputé fusil à bayonette. Ensuite

de fer, de fouets, de câbles électriques, de matraques L’immobilisation dans des positions douloureuses : ligotage ou menottage serré ; maintien prolongé sans bouger debout, accroupi, sur un pied, sur la pointe des pieds Les suspensions des heures durant par les poignets, par les pieds, par les genoux Les décharges électriques sur tout le corps, en particulier sur les organes génitaux, la langue, les seins, les oreilles à l’aide d’électrodes, de matraques électriques Les brûlures par des cigarettes

publique n’a aucune importance car une matraque est présente pour forcer les esprits au consentement. Dans une démocratie, l’opinion publique n’est pas plus importante dans le sens où peu importe cette opinion, une propagande bien menée permet l’obtention du consentement de la masse ignorante et stupide (*il faut cependant remarquer que l’opinion publique est essentielle à l’action de l’élite mais que l’endoctrinement et la propagande se charge d’être la matraque invisible forçant le troupeaux ignorant

l’épaule, une matraque à la main qui surveille le travail. A l’arrière-plan, on voit un homme une chambre à gaz, la porte blindée grande ouverte. Un autre homme tout aussi décharné, le crâne également rasé et portant juste un pantalon extirpe de la chambre à gaz des corps nus entremêlés. Ce dessin se veut représentatif de ce qui s’est passé dans les camps. Le personnage au premier plan est un SS ,il est identifiable grâce à son uniforme , son fusil à l’épaule et sa matraque. Le SS surveille

l’Indépendance Nationale devient parti politique. L’année 1964 amène le vent Bourgault à la présidence du R.I.N. Et c’est avec Bourgault comme chef que le parti connaîtra les manifestations qui sont restés à l’histoire. Soit celle du samedi de la matraque en octobre ’64 lors de la visite de la Reine et celle du 24 juin ’68 lors de l’apparition de Trudeau au défilé de la St-Jean Baptiste. En février 1966, suite à l’ajour d’un dixième candidat qui se présentera aux élections, le R.I.N. devient un parti

cuir, de long manteaux, des casques, des sacs avec de dont ils ont besoin, des armes, des pelles, des pioches, des matraques et des masques à gaz. La forme de combat qui est montré au spectateur est une forme violente et sans pitié,il faut tuer pour survivre.Les combats sont sanglants et il y a beaucoup de morts et de blessés. Il y a d'abord les armes archaïques comme les matraques,les pelles,les fusils à baïonnette puis il y a de nouvelles armes telles que la mitrailleuse qui tir 400coups par minutes