Matthias Grünewald

le sang dont parlent tous les témoignages de poilus. Parallèle Otto dix inscrit donc son travail dans une perspective religieuse. Il s’inspire en particulier de l’un des retablesles plus célèbres : le retable d’Issenheim (Alsace) peint par Matthias Grünewald (XVIème). Pour sa prédelle, Otto Dix s’inspire d’une peinture de Hans Holbein (peintre et graveur allemand du XVIème siècle) : « Le Christ mort » », 1521. Cette référence montre que Dix envisage le soldat comme un sacrifié, un martyr.

la bataille sans avoir à revenir sur le devant. Ils sont morts   Conclusion / extension Les quatre parties de la triade sont comme les différentes stations de Jésus-Christ sur ​​la Keuzweg. Le triptyque se réfère le retable d'Issenheim de Matthias Grünewald. Otto Dix établit un parallèle entre la vie de Jésus et les soldats qui ont sacrifié leur vie.  Toutes les pièces du triptyque donner des impressions de la lutte militaire de la Première Guerre mondiale. Dix voici une image choquante et réaliste

otCrayonEloiseBarbiotCrayonEloiseBarbiotCrayonEloiseBarbiotCrayonQ18. Quel peintre et graveur allemand manifesta son génie dans des oeuvres telles que 'La fête du rosaire', 'Adam et Eve' ou encore 'Saint Jérôme' ? Albrecht Altdorfer Matthias Grünewald Albrecht Dürer Q19. Comment dit-on 'je t'aime' en allemand ? Guten Tag Ich liebe dich Danke schön Q20. Quelle est la spécialité d'Aix-la-Chapelle ? Son marché de Noël Son festival Son cirque permanent Q21. Quelle

prédelle : on parle alors d’un retable triptyque. Il est d’ailleurs inspiré du Retable d’Issenheim peint par Matthias Grünewald au XIVème siècle. Le tableau central mesure 204 cm² et les tableaux latéraux mesurent chacun 204 cm de largeur et 102 cm de longueur.

est tableau composé de trois panneaux dont deux se replient sur le panneau central. Les panneaux peuvent être sculptés ou peints. b. Otto Dix s’inspire des retables d’autel religieux de la Renaissance. Il s’inspira particulièrement du peintre Matthias Grünewald et de son oeuvre, le retable d’Issenheim. b. La technique a tempera est une technique datant des Egyptiens qui consiste a ajouter à la peinture un agglutinant à base d’émulsion d’oeuf. b. Cette oeuvre est un témoignage de l’expérience d’Otto

producteurs des monstres sont des observateurs attentifs des difformités et des infirmités ; on connaît les aveugles de Bruegel, les estropiés de Bosch, le malade pustuleux qui surgit parmi les monstres dans La Tentation de Saint Antoine de Matthias Grünewald[5]. Des angoisses diverses viennent ainsi marquer l'esthétique du monstrueux. Le monstre se nourrit de fantasmes ; il nourrit en retour des fantasmes. Si, comme Ernst, « le rôle du peintre est de cerner et de projeter ce qui se voit en

a été témoin de ces évènements qui l’ont traumatisé. Il souhaite donc dénoncer la guerre dévastatrice, atroce et meurtrière qu’il a vécue. IV) Ouverture : Pour cette œuvre, Otto Dix s’est inspiré de l’illustre retable d’Issenheim de Matthias Grünewald (XVI siècle). Pour la prédelle, Otto Dix s’inspire d’une peinture d’Hans Holbein : « le Christ mort » 1521. Cette référence montre que Dix considère les soldats morts au front comme des sacrifiés, des martyres.

personnages témoignant du sentiment de fraternité entre soldats, indispensable à la survie. Le personnage qui fixe le spectateur serait interprété comme Otto DIX lui-même, une sorte de « signature ». REFERENCES POSSIBLES avec la peinture de Matthias GRÜNEWALD 16ème siècle « Le jugement dernier » de Jérôme BOSCH 1504 

l'arrivée d'Hitler au pouvoir. De nombreux artistes partent en exil. Otto dix inscrit donc son travail dans une perspective religieuse. Il s’inspire en particulier de l’un des retables les plus célèbres : le retable d’Issenheim (Alsace) peint par Matthias Grünewald (XVIème). Et pour sa prédelle, Otto Dix s’inspire d’une peinture de Hans Holbein (peintre et graveur allemand du XVIème siècle) : « Le Christ mort », 1521. Cette référence montre que Dix envisage le soldat comme un sacrifié, un martyr. Par

l'œuf, l'huile (surtout présente dans le jaune) ne s'évapore pas mais s'oxyde ce qui rend la peinture insoluble à l'eau, à l'essence et à l'alcool après séchage. Œuvres pouvant être liées Jérôme BOSCH, Jugement dernier, vers 1482 Matthias GRUNEWALD, Le retable d'Issenheim v. 1512-1515 Hans HOLBEIN le Jeune, Le christ mort, prédelle 1521-1523 [----------------------------------------------- RENAISSANCE -----------------------------------------------------] Réf. ( Technique, Format