Maurice Couve de Murville

lui des mérites de chacun des ministres pressenti et n’hésite pas à imposer dans les postes clés des « techniciens » c'est-à-dire des hommes sans lien avec les partis politiques (C’est le cas au ministère des affaires étrangères, il nomme Maurice COUVE DE MURVILLE et comme ministre des armées : Pierre GUILLAUMAT) Art 8 al 2 : Le président nomme les ministres sur proposition du 1er ministre. Donc on tente de faire croire que le 1er ministre est nommé qu’il élabore une liste et ensuite l’a soumet au

Alain Poher avait contribué à l'échec du referendum et au départ du général De Gaulle, il s'était ensuite déclaré candidat contre Georges Pompidou, le candidat Gaulliste, dauphin désigné du général De Gaulle. Le Gvt sous l'autorité de Maurice Couve de Murville avait alors décidé de se réunir régulièrement en Conseil des Cabinets, qui est un conseil restreint réunissant tous les membres du Gvt, hors la présence du Prés de la Rép. Cette déviation de l'esprit de l'institution intérimaire ne s'est

font le jeux de la gauche. Il déclare que ces réformes font perdre des électeurs à la droite. démission de courtoisie : 19 cas, 8 démission intervenu après élection présidentiel (2ème gouvernement Pompidou 28 novembre 1962 ; 20 juin 1969 Maurice Couve de Murville ; 2 avril 1974 Pompidou décède lors de ses fonctions, donc nouvelle élection présidentielle ; élection du 10 mai 1981 Mitterrand a nommé Pierre Mauroy ; 9 mai 1988 ; 6° cas, mandat de Mitterrand se termine en mai 1995, nouvelle élection présidentielle

bénéficie d’une relative stabilité dans l’exercice de sa fonction. Président de la République Premier ministre Nomination Démission Charles De Gaulle Michel Debré 8 janvier 1959 14 avril 1962 Georges Pompidou 14 avril 1962 10 juillet 1968 Maurice Couve de Murville 11 juillet 1968 20 juin 1969 Georges Pompidou Jacques Chaban-Delmas 20 juin 1969 5 juillet 1972 Pierre Mesmer 5 juillet 1972 27 mai 1974 Valery Giscard d’Estaing Jacques Chirac 27 mai 1974 25 août 1976 Raymond Barre 26 août 1976 15 mai

Une fois cette victoire enregistrée comme le veut la coutume, G. Pompidou présente sa démission, et De Gaulle ne le reconduit pas dans ses fonctions, il va dire qu’il place G. Pompidou en réserve de la République. Et il nomme à sa place, Maurice Couve de Murville un homme qui était longtemps ministre des affaires étrangères. Le président de la République sera la seule autorité et que le premier ministre sera totalement inféodé à lui. Pour finir, le général De Gaulle est revenu à son idée du référendum

un discours empreint de fermeté. Le soir, des centaines de milliers de personnes défilent sur les Champs Elysées pour le soutenir.Charles de Gaulle a retourné la situation. L'Assemblée nationale est dissoute. Un nouveau Premier ministre, Maurice Couve de Murville, est nommé. Les élections législatives des 23 et 30 juin donnent une forte majorité aux gaullistes. Pourtant, le pouvoir de Charles de Gaulle a été ébranlé.De Gaulle quitte le pouvoirEn 1969, de Gaulle soumet aux Français une réforme sur

janvier 1966. • Second mandat, du 8 janvier 1966 au 28 avril 1969 : o Gouvernement Georges Pompidou (3) du 8 janvier 1966 au 1er avril 1967 ; o Gouvernement Georges Pompidou (4) du 7 avril 1967 au 10 juillet 1968 ; o Gouvernement Maurice Couve de Murville du 10 juillet 1968 au 20 juin 19691 ; Georges Pompidou, président de la République (1969-1974) • Gouvernement Jacques Chaban-Delmas du 20 juin 1969 au 5 juillet 1972 ; • Gouvernement Pierre Messmer (1) du 5 juillet 1972 au 28 mars

· Titre 2 - L’équilibre instable des pouvoirs législatif et exécutif · Titre 3 - L’émergence d’un pouvoir juridictionnel Titre 1 - La souveraineté réaffirmée du pouvoir de suffrage A côté du pouvoir exécutif et du pouvoir législatif que Maurice Hauriou qualifiait de « pouvoir délibérant », cet auteur voit apparaître le pouvoir de suffrage. Dans un Etat démocratique ce pouvoir est tout à fait déterminant. En effet, c’est par son expression, le vote, que va s’exprimer la confiance des électeurs

a montré que les musiques douces et harmonieuses activaient davantage l’hémisphère droit alors que les musiques dissonantes et arythmiques généraient plus d’activité dans l’hémisphère gauche. Cela n’est d’ailleurs pas sans nous rappeler le cas de Maurice Ravel qui, atteint d’une atrophie du cortex gauche, ne pouvait plus lire ni écrire la © Groupe Eyrolles 28 Les composantes de l’approche Herrmann musique mais reconnaissait toute fausse note. Cela l’amena d’ailleurs à confier à Valentine

mode de scrutin. Le scrutin proportionnel fut un facteur à l’origine de l’instabilité sous la 4ème république. Ce principe de représentation à des incidences sur les stratégies des parties et à terme sur le paysage politique. Maurice Duverger : • « Le scrutin proportionnel tend à un multipartisme sans alliance » (électorale) • « Le scrutin majoritaire à un tour tend au bipartisme » • « Le scrutin majoritaire à deux tours tend vers la bipolarisation » Duverger