Maurice Sand

Littérature : la vraie correspondance coquine entre George Sand et Alfred de Musset George Sand et Alfred de Musset, éminents auteurs romantiques du XIXème siècle, se sont fréquentés pendant plus de deux ans. Une relation intense et tumultueuse, qui a vu naître l'une des correspondances les plus connues de la littérature française. Au sein de ces lettres innombrables se glissent certains échanges cachés, pour le mois salaces. Planet.fr vous propose d'en découvrir, ou d'en redécouvrir, les extraits

des trois êtres qui avaient souffert par sa faute, il ne reste qu’un seul malheureux ». Alfred de Musset et George Sand Alfred de Musset (1810-1857) et George Sand (1804-186) se rencontrent en juin 1833. Alfred de Musset a 23 ans et George Sand, 29 ans. Ils sont déjà l’un et l’autre des auteurs reconnus. Dès cette première rencontre naît une profonde amitié. George Sand qui s’est mariée en 1822 à Casimir Dudevant est séparée de lui depuis 1830. Elle a alors la réputation de mener une vie

comme parfaitement idéalisés: Paul et Virginie, Bernardin de Saint Pierre, 1787: deux enfants de la nature, parfaitement purs, victimes de l’incompréhension du monde adulte (se souvenir de la mort exemplaire de Virginie, lors de la tempête). George Sand, qui écrit des romans avec le désir de donner une image positive des paysans: ainsi de La mare au Diable, publiée en 1846. 2. Les personnages qui affirment leurs exigences morales avant tout: La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette (1678):

tort à Champfleury qui pourtant se défiait de ce terme (« Le nom me fait horreur par sa terminaison pédantesque ; je crains les écoles comme le choléra, et ma plus grande joie est de rencontrer des individualités nettement tranchées », Lettre à George Sand). Il rappelle d’ailleurs combien il réprouve ce terme, inventé par les journalistes critiques, dans un ouvrage de 1857 justement intitulé… Le Réalisme. Celui-ci naquit du besoin de réagir contre le sentimentalisme romantique et contre « la sottise

dans De l’Allemagne (1813) fait connaître les grandes œuvres allemandes aux Français. 2,11) Romantisme d’introspection -inspiration autobiographie (héros tourmenté) -Narrateur, personnage (je) -Écrivains : ChateauBriand, Alfred de Musset, George Sand. 2,12) Roman historique -Voir les misérables p.311 -Depuis 1820, la renaissance du sentiment national donne aux écrivains le goût de mêler l’imagination à la vérité historique. -Exemple : Notre-Dame de Paris (1831), Hugo y recrée le Paris

meurt d'émotion. I. L'auteur : Alfred de Musset est un écrivain et un poète français Il appartient au romantisme, grand mouvement littéraire du XIXème siècle. Il est né à Paris le 11 décembre 1810. C’est après sa liaison houleuse avec George Sand qu’il donne la même année « Fantasio » et « On ne badine pas avec l'amour ». Il sombre peu à peu dans l’alcool et decède le 02 mai 1857 a l’âge de 46 ans sous les service ordre de Napoleon III. II.L’ɶuvre : « On ne badine pas avec l'amour. »

vous prend, et sur nos fleurs fanées
 Vous ne marchez jamais. (Alfred de Musset) George Sand rencontre pour la première fois Alfred de Musset le 17 juin 1833, lors d'un dîner organisé par François Buloz pour ses collaborateurs de la Revue des deux Mondes, au restaurant Lointier, no 104 rue Richelieu à Paris48. À la fin du mois de juillet, ils sont amants et Musset s'installe chez George Sand, quai Malaquais. Le couple se rend à Fontainebleau où ils séjournent du 5 au 13 août à l'hôtel Britannique

"Cénacle", un groupe d'artistes et d'écrivains autour romantique. Là, il a rencontré des poètes et des écrivains comme Victor Hugo, Alfred de Vigny, Prosper Mérimée et Sainte-Beuve. En 1833, il avait eu une relation avec l'écrivaine française George Sand. La relation était passionné, mais il a fini abruptement en Mars 1834. Dans les dernières années de sa vie, sa santé s'est détériorée. En 1852, il a été élu à l'Académie française, mais peu à peu glissé loin dans la solitude. Il était sur le point

pour traduire la beauté liée à un jugement, une sensibilité très personnelle.elle celebre diverses beautes du monde en decrivant sa splendeur, son importance pour emballer le lecteur et lui faire decouvrir et aimer ce qu’il vante comme le fait GEORGE SAND dans « A AURORE » où il dit « la nature est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l’aime » . a present

fois mystérieuses. Quoi de mieux de lire de la poésie sur des paysages naturels époustouflants, aux apparences familières et mélancoliques. 1) Ce poème date de 1866, dix ans avant sa mort. Ce poème adressé a Aurore montre les émotions de George Sand envers la nature. 2)