Maurice Sand

roman réaliste et psychologique en mai 1856 après 56 mois de travail. Il fréquente épisodiquement les salons parisiens les plus influents du Second Empire, comme celui de Madame de Loynes dont il est très amoureux ; il y rencontre entre autres George Sand. À la fin de l'année 1856, Madame Bovary paraît dans La Revue de Paris puis, après avoir rencontré l'éditeur Michel Lévy14, le roman sort en librairie en avril 1857 et fait l’objet d’un procès retentissant pour atteinte aux bonnes mœurs : Flaubert

l’écrivain dans sa revue, la Revue des deux mondes - à laquelle collaborent déjà Mérimée, Vigny et George Sand - François Bulloz, son directeur, va jouer un rôle décisif dans la vie d’Alfred de Musset. Il lui apporte une certaine reconnaissance et lui assure des rentrées d’argent régulières. Par ailleurs, c’est lors d’un dîner organisé par Bulloz qu’Alfred de Musset fait la connaissance de George Sand, dont il s’éprend éperdument. C’est le début d’une liaison passionnée qui dure à peine un an et demi

partir de 1843, il est pris de crises nerveuses et se retire à Croisset. Il se consacre alors à son œuvre de romancier. Il voyage en Egypte, Palestine et Grèce de 1849 à 1850, ainsi qu’en Tunisie en 1858. Il entretient des correspondances avec George Sand, une romancière, et Louise Colet, sa maîtresse, une femme de lettre. Madame Bovary est son premier roman publié et lui vaut un procès pour immoralité. Dans ses dernières années, il se ruine pour sauver sa nièce de la faillite. Il assiste au succès

l'amour tient une place à part dans le théâtre de l'époque par ses situations et ses personnages ordinaires qui évoquent le monde des romans. Ces personnages principaux sans statut héroïque, au-delà de leurs points communs avec Alfred de Musset et George Sand, touchent toujours les spectateurs par la facilité d'identification qu'ils proposent, et ce à toutes les périodes. Enfin, l'exaltation du sentiment amoureux mêlée à la perception du tragique de la vie inscrit l'œuvre parmi les plus marquantes du romantisme

jusqu'à nos jours. La richesse littéraire du 19ème siècle : La poésie : Quelques poetes connus : Baudelaire, Lamartine, Vigny, Musset, Hugo, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé. Le roman : Quelques écrivains connus : - Honoré de Balzac (1799 - 1850) - George Sand (1804 - 1876) - Jules Verne (1828 - 1905) - Émile Zola (1840–1902) - Victor Hugo (1802–1885) - Alphonse de Lamartine (1790 - 1869) Le théatre : Quelques oeuvres : - Hernani (1830) et Ruy Blas (1838) de Victor Hugo, - On ne badine pas avec l'amour

Analyse: Le poète ne se remet pas en question, il rejette la faute sur George Sand et ne comprends donc pas pourquoi elle est partie.   II. Un poète orgueilleux et immature: 1) Des reproches incessants faits à la femme aimée (orgueil) Citation: Ah ! Pauvre enfant, qui voulait être belle, Et ne savait pas pardonner Procédé: L’énumération Analyse: Le poète ne se remet pas en question, il rejette la faute sur George Sand en énumérant ses défauts.   2) le portrait dévalorisant de la femme aimée (rancune)

La mare au Diable, George Sand La petite Marie portait encore cette coiffure, et son front était si blanc et si pur, qu'il défiait le blanc du linge de l'assombrir. Quoiqu'elle n'eût pas fermé l'œil de la nuit, l'air du matin et surtout la joie intérieure d'une âme aussi limpide que le ciel, et puis encore un peu de flamme secrète, contenue par la pudeur de l'adolescence, lui faisaient monter aux joues un éclat aussi suave que la fleur du pêcher aux premiers rayons d'avril. Son fichu blanc, chastement

pointu et des manchettes !".   Le bal à la Vaubyessard: à noter que les rêveries d'Emma sont toujours associées aux luxe et à la classe sociale supérieure. Il n'est jamais question d'un romantisme plus "humble", comme celui que développe George Sand dans ses romans, avec l'idéalisation des paysans berrichons et des paysages ruraux (La Mare au diable, 1847). Née et ayant vécu à la campagne, Emma n'est pas du tout sensible au goût de la nature ordinaire, pourtant caractéristique du romantisme. Les

A George Sand (V) Toi qui me l'as appris, tu ne t'en souviens plus De tout ce que mon coeur renfermait de tendresse, Quand, dans nuit profonde, ô ma belle maîtresse, Je venais en pleurant tomber dans tes bras nus ! La mémoire en est morte, un jour te l'a ravie Et cet amour si doux, qui faisait sur la vie Glisser dans un baiser nos deux coeurs confondus, Toi qui me l'as appris, tu ne t'en souviens plus. Alfred de Musset A George Sand (VI) Porte ta vie ailleurs, ô toi qui fus

ils vont s'intéresser à la médecine, à la chimie, la géologie, la politique avec les mêmes résultats. Lassés par tant d'échecs, ils retournent à leur métier de copiste Le projet de ce roman remonte à 1872, puisque l'auteur en fait part à George Sand, dans un courrier où il affirme son intention comique. Dès cette époque, il songe à écrire une vaste raillerie sur la vanité de ses contemporains. Entre l'idée et la rédaction interrompue par sa mort il aura eu le temps de collecter une impressionnante