Maurice

Français, 5e Fiche de lecture pour les vacances d’automne 2015, donnée le mardi 6 octobre Un roman policier, un roman d’aventures : Maurice LEBLANC, L’Aiguille creuse (1909) Devoir noté (/ 20 pts + Bonus de 2 pts) à rendre pour le lundi 9 novembre. Aucun retard ne sera accepté. Les réponses doivent être rédigées en français correct (encre bleue). Cette fiche de lecture vise à vous faire appliquer la « Méthode du lecteur », ou plutôt sa première partie, le « Cadrage par les questions logiques »

donne l'exemple de Proust qui remarquand la récurrence des présents chez Flaubert au milieu de passé et l'interprète comme la volonté de sugg une pérennité. - image du lecteur collaborateur : *" Tout livre a pour collaborateur son lecteur. " Maurice Barrès *" un texte est vraiment une machine paresseuse qui fait faire une grande partie de son travail au lecteur" Lector in Fabula * Sartre, Qu'est-ce que la littérature ? Ds Situations II " l'acte créateur n'est qu'un moment incomplet et

Edmond de Goncourt est le fondateur de l'Académie Goncourt qui décerne chaque année le prix homonyme. Eugène Carrière (1849-1906), présenté par Gustave Geffroy à E. de Goncourt fréquenta le « Grenier » de ce dernier où se réunissaient notamment Maurice Barrès, Alphonse et Léon Daudet, Gustave Geffroy, Roger Marx, Octave Mirbeau, Auguste Rodin et Emile Zola. Carrière a laissé au moins sept portraits d'Edmond qui lui rendait visite dans son atelier des Batignolles (Pontoise, musée Tavet-Delacour)

3. L'origine de la chanson : Les militaires de la Résistance se retrouvent à Londres et cherchent une musique pour l'émission « Honneur et Patrie » et ont pour ambition de trouver un hymne à la Résistance . Joseph Kessel et Maurice Druon , deux écrivains venus rejoindre les Forces Françaises Libres composent le texte sur la mélodie d'une jeune artiste , Anna Marly . C'est une chanteuse russe qui c'était engagé auprès des Forces Françaises Libres et avait écrit cette musique

L'enfant et le sortilège L'Enfant et les Sortilèges est une fantaisie lyrique en deux parties composée par Maurice Ravel entre 1919 et 1925, en collaboration avec Colette qui en a écrit le livret . Il s'agit du second et dernier ouvrage lyrique de Ravel, après L'Heure espagnole (1907). Chef-d'œuvre d'orchestration, L'Enfant et les Sortilèges est parfois donné en version de concert en raison des contraintes techniques considérables de sa mise en scène. Il reste en outre rarement représenté dans

Nicholas Kaldor 3 La libéralisation pragmatique du commerce mondial ? Les doutes des tenants du libre-échange : Paul Samuelson Maurice Allais Joseph Stiglitz La position des institutions internationales : FMI Banque Mondiale

Histoire des arts : la propagande politique Le Chant des partisans Titre : Le Chant des partisans ou Le Chant de la Libération Paroles : Joseph Kessel et Maurice Druon qui ont rejoint Londres en 1943 Musique : Anna Marly. Date : 1943. « Ami entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines, Ami entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne, Ohé partisans, ouvriers et paysans c’est l’alarme ! Ce soir l’ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes… Montrez de la mine, descendez des collines

Russie, décédée en 2007). Ce chant existait déjà au moment des périodes de soulèvements bolcheviques en Russie (1917). Ainsi, elle compose la musique et les paroles originales dans sa langue maternelle, le russe. Puis Joseph KESSEL et son neveu, Maurice BRUON, tous deux auteurs ayant quitté la France pour rejoindre l’Angleterre et les forces française libres du Général de Gaulle, proposent des paroles françaises le 30 Mai de la même année. Ce chant a été composé pour renforcer la résistance.

d'expression : tapisseries, vitraux, tissus et papiers peints, décors de théâtre, illustrations de livres, affiches. Réferences Les nabis ont compté dans leurs rangs, entre autres, Paul Sérusier, Eloïse Hannelisa, Édouard Vuillard, Pierre Bonnard, Maurice Denis, Ker-Xavier Roussel, Félix Vallotton, Paul-Elie Ranson, Georges Lacombe, Jan Verkade, Henri-Gabriel Ibels, Mogens Ballin, Jozsef Rippl-Ronai, Charles Filiger ainsi que le sculpteur Aristide Maillol. Peintures : Georges Lacombe : Nabi à

tables de 5 mm d’épaisseur pesant 210 000 kg. Aux XIe et XIIe siècles, on couvrait les toits des églises de tuiles plates en raison des abondants gisements d’argile. Paris, étant loin de tels gisements, on lui préféra le plomb. En 1196, l’évêque Maurice de Sully lègue par testament 5 000 livres pour l’achat de plomb. Si les charpentes du chœur et de la nef ont traversé les siècles, celles des transepts et de la flèche furent refaite au milieu du XIXe siècle lors de la grande campagne de restauration