Maxime Du Camp

temporel : Flaubert ne cherche pas à se faire connaître à tout prix. Il dit ne pas vouloir exploiter temporellement ses dons, et veut réussir seul, sans gloire ni argent, ni hypocrisie dont il faut faire preuve. En 1852, il écrira à un ami d’enfance, Maxime Du Camp, qu’il ne « vise pas le port mais la haute mer ». Il ira même jusqu’à dire que « les honneurs déshonorent ». Refus de faire servir ce don à une complaisance personnelle : son but n’est pas la littérature individuelle. Il dit ne pas aimer qu’un

transposera dans son roman L’éducation sentimentale. En 1841, gracié de service militaire, Flaubert entreprend sans conviction des études de droit à Paris où il rencontre de nombreuses personnalités comme le sculpteur James Pradier, l’écrivain Maxime du Camp ou le poète Victor Hugo. Après une grave crise d’épilepsie en 1844, il décide d’abandonner le droit pour connaître deux ans plus tard la mort de son père et de sa petite sœur. C’est au printemps de cette même année qu’il entreprend une relation

Flaubert perd son père et sa soeur. Il habitera désormais avec sa mère. Il rencontre Louise Colet qui devient sa maîtresse. Pour remédier à ses troubles nerveux, les médecins lui prescrivent un séjour dans les pays chauds. Il part avec son ami Maxime Du Camp, en Orient en 1849. Ils visitent l'Égypte, la Syrie, Beyrouth, Jérusalem, Rhodes, Constantinople et Athènes. Il achève la Tentation de Saint Antoine. En 1851, il repart à Sparte et dans le Péloponnèse, visite Patras, Brindisi, Naples, Rome, Florence

demi les yeux. C'est tout ce que je veux. " Il poursuit ses études sans enthousiasme. Il sera toutefois reçu en seconde année. Il rédige Novembre. 1843 Il commence la rédaction de la première version de l'Education sentimentale. Il rencontre Maxime Du Camp, homme de lettres mondain. Il mène une vie agitée. Il fréquente l'atelier du sculpteur Pradier, atelier où il fera la connaissance de Victor Hugo. Il échoue à son examen de deuxième année de Droit. 1844 En Janvier, il est victime d'une crise

les Pyrénées et la Corse, en passant par Marseille. Il commence, en 1841, des études de droit à Paris. Il est reçu à son examen de première année en 1842. En 1843, Il échoue à son examen de deuxième année. C'est cette année-là qu'il rencontre Maxime du Camp qui deviendra un de ses grands amis. Il commence à rédiger la première version de L'Education sentimentale. L'année suivante, en 1844, alors qu'il est en voyage à Pont l'Evêque, il est victime d'une crise d'épilepsie : " je me suis senti tout

trouve des échos dans ses permières œuvres. En 1844, une première crise nerveuse l’empêche de continuer ses études de droits à Paris. Il rencontre Louise Colet qui devient sa maitresse en 1846 jusqu’en 1854. Apres avoir voyagé en Orient avec Maxime Du Camp, il rentre en 1851 et consacre sa vie à l’écriture. Dès la parution de Madame Bovary en 1857, Flaubert obtient un procès pour « immoralité », dont il sort acquitté et célèbre. Ses dernières œuvres sont des échecs et à cela s’ajoutent des difficultés :

sport : il nage, chasse, fait de l'escrime et monte à cheval. En 1848, il porte un regard critique sur la Révolution. De mai 1848 à 1849, il continue de travailler sur La Tentation de Saint-Antoine. De 1849 à 1852, Flaubert organise, avec son ami Maxime du Camp, un périple en Orient. Il voyage alors en Egypte, à Jérusalem, en Italie, en Turquie... ces expériences sur la route vont enrichir sa création littéraire, ce que l'on retrouve par exemple dans Hérodias. En septembre 1851, Flaubert commence à écrire

1869 quelques mois avant sa mort. Mais il est surtout connu pour la polémique qu’a déclenchée son roman « Madame Bovary ». Un fait divers normand pousse l’auteur a écrire ce roman en 1851, encouragé par les auteurs français Louis Bouilhet et Maxime Du Camp . Emma Rouault est une jeune femme rêvant d’une vie mondaine comme celle des princesses héroïnes des romans « à l’eau de rose » qu’elle lit pour passer le temps et s’évader d’un monde où elle s’ennuie. Emma est la fille d’un riche fermier et

entreprend sans conviction, en 1841, des études de Droit, qu’il abandonnera 1844, à Paris où il mène une vie agitée. Il y rencontre des personnalités dans les mondes des arts, comme le sculpteur James Pradier, et de la littérature, comme l'écrivain Maxime Du Camp qui deviendra son grand ami, le poète et auteur dramatique Victor Hugo. Il revient à Rouen, avant de s'installer en juin 1844 à Croisset, au bord de la Seine, à quelques kilomètres en aval de Rouen. Il y rédige quelques nouvelles et une première

Flaubert vécut avec sa mère. Sa maxime était : "تtre régulier dans votre vie comme un bourgeois, de sorte que vous puissiez être violent et original dans votre travail." Bien que Flaubert ait une fois énoncé qu’il était un " ours " désireux de rester dans " sa tanière ", il garda de bons contacts à Paris et fut témoin de la Révolution de 1848. Plus tard, il reçut également les honneurs de Napoléon III. De novembre 1849 à avril 1851, il voyagea avec l’auteur Maxime du Camp en Afrique du Nord, Syrie, Turquie