Méandre

Texte 3 : « Non que la Nippone … être tranquille » (S & T, pp.93-94) Commentaire de Cécile Narjoux (Ellipses) Le récit autobiographique ne se cantonne pas à explorer les méandres du moi intérieur de l'écrivain, il s'intéresse aussi aux rapports de l'écrivain avec le monde extérieur, donnant ainsi parfois naissance à une critique acerbe de la société qui l'entoure. Dans son récit Stupeur et tremblements, né de son expérience de stagiaire dans une entreprise japonaise

belle que la reine mais celle-ci resta un cyclope. Durant la nuit le fantôme de la reine rend visite à son fils et au fil du temps le roi prend conscience des plans maléfiques de la marâtre, la belle-mère et la fille, disparaissent à jamais dans les méandres des lois obscures. La reine reprend vie, frérot reprend son apparence d’homme. L’interprétation de ce conte est assez complexe. Tout d’abord ce sont les enfants d’un roi et d’une reine donc d’une certaine noblesse. Ils sont inséparables, depuis

sous-titre que le roman appartient au genre des « mœurs de Province ». Cette dernière alimente, outre le fait que l’aristocratie soit éloignée de son monde, une des frustrations qui ronge Emma : connaitre Paris. La Ville, elle l’imagine, elle suit ses méandres sur un plan, elle l’invente á la suite des mareyeurs qui passent sous sa fenêtre et s’éloignent vers Paris. Mais le plus important n’est pas tant la province que ses mœurs, et Flaubert inscrit donc son roman dans le quotidien de ses personnages.

considérais pas le droit d’envahir ainsi la scène ; la seconde était née de ma lecture des premières pages du livre. Ces pages ne font pas partie intégrante du rapport qu’il a remis au ministre mais elles content les méandres des démarches qui ont entouré sa naissance. L’eau qui coule dans ces méandres est souvent quelque peu glauque. Le parcours du combattant qui nous a conduits à les franchir nous a souvent fait perdre patience et parfois à ne pas décolérer. Aussi Marcel a-t-il été amené à mettre en cause

parents et de l’assassinat du père. * La chronologie est intéressante également : l’auteur superpose des tranches temporelles ( par le truchement d’une confession a posteriori de l’adolescente au juge) et noie ainsi le lecteur dans les méandres du souvenir et de la réflexion des protagonistes. Il emploie aussi la technique du dévoilement progressif, de la suggestion, de l’ellipse…pour tenir le lecteur en attente et mettre ainsi à l’épreuve sa perspicacité. Un personnage énigmatique

nouvelle odyssée, d’un nouveau voyage (Ulysse de Joyce paru en 1918), c’est une épopée moderne, l’épopée de 7 ans d’Ulysse est transposé à une journée dans la ville). Les personnages sont Bloom et Dédalus. Dédalus suppose qu’on peut se perdre dans les méandres de la ville. Problématique : - En quoi cet espace urbain est-il un espace humain ? Que dit de l’homme cet espace construit par l’homme ? I Perspective historique : La ville qui est le modèle occidental, la référence : Rome. Derrière Rome

femme renaissait, Foedora pouvait être expliquée de tant de manières qu'elle devenait inexplicable ». Insaisissable, elle semble irréelle, Raphaël a beau cherché la signification à cette simple exclamation, c'est impossible et il se perd dans les méandres de la complexité de cette femme. Foedora est donc une image de la femme romantique, capable de faire mourir d'amour un homme, «  a voir ce beau visage, calme et pur, il me fut impossible de refuser un cœur à cette femme » car Foedora, la femme sans

Conduit avec une pincée d’humour, le récit que nous fait le narrateur transporte le lecteur aux côtés de ces militaires dans les méandres de l’Histoire de l’humanité, confrontés à des idées nouvelles où « toutes les idées les moins discutables pour les bien-pensants de Pandurie » peuvent trouver refuge. Ainsi, ces militaires sans culture ou limités intellectuellement (l’un [des](…) camarades, « analphabète ») goûtent aux plaisirs de la lecture et du livre, apprennent de nouvelles choses… La situation

de sa conscience. De lui, on ne connaîtra que ces mouvements complexes de la pensée : nul regard et nulle paroles extérieurs ne viendront en dessiner un autre contour. II - L’expression d’un malaise existentiel Le texte invite à suivre les méandres d’une conscience douloureuse, sans qu’elle saisisse encore les causes de cette douleur, et qui cherche à se fuir elle-même. Le passage repose en effet sur une série d’antithèses où s’opposent le bien-être escompté, l. 1 – 3, « une libération », «

inaccessible, une sorte d’au-delà idéal, où tout atteindrait sa perfection, sa parfaite essence : beauté, amour, … Le terme d’Idéal désigne donc ce monde invisible, inaccessible certes, mais que le poète est parfois capable d’entrevoir, dans les méandres de sa mémoire, dans son imagination, dans un ailleurs exotique, dans une femme, dans un parfum, une chevelure, … III. Jeanne…spleen ou idéal ? 1/ Dans la « chevelure » qui es lié à la sensualité et rappelle «  parfum exotique ». Baudelaire