Méandre

le berceau de la destruction dans l’horreur, en donnant le jour à une dimension de l’impensable. Le thème évoqué ici trouve également son prolongement dans le roman « Un Dimanche au Cachot » dans lequel, dix années plus tard, l’auteur explore les méandres d’une mémoire à travers une fiction moderne. La perte d’identité et de mémoire constitue une tragédie pour le peuple colonisé. En effet, le trauma originel s’inscrit dans l’effacement primordial identitaire, où toute constitution de repère

quelconque, car il mène à la réflexion, au raisonnement de la raison. Pourtant, on pourrait croire que douter à torts et à travers nous détournerait de la raison, jouant sur nous comme une sorte d’obsession, une remise en question perpétuelle, un méandre d’incertitudes sinueux. Claire de Lamirande, dans La rose des temps, écrit : « Douter c’est tout perdre. Il ne faut pas douter ». En effet dans ce cas, cela porte réellement à confusion, le doute serait source d’échecs, de perdition… Conclusion

considérablement différent selon les époques et les pensées de tous et chacun. Des guerres de religion à Voltaire, et des pogroms juifs à Hitler, sans oublier d’évoquer Al Qaïda, je vais m’efforcer de retracer, dans leur contexte historique, les méandres du fanatisme qui ont aboutit, et amènent encore aujourd’hui, à des atrocités innommables, que l’Histoire a honte à raconter aujourd’hui... Tout d’abord, il m’a semblé judicieux d’introduire ces quelques lignes de réflexion par un évènement qui

bas mentalement à cause de sa vie amoureuse qui est des plus tumultueuses. Mais hélas, son malheur n'est pas fini. Son mal-être s'extériorise aussi par de l'incompréhension à la vue de la réaction et au comportement qu’à la ville par rapport à ses méandres amoureux.

et recèle une faune unique (notamment les oiseaux). Le qualificatif ‘sauvage’ signifie que la rivière est assez libre de méandrer ou de s’étaler largement en surface selon son débit; par opposition, les rivières dites non-sauvages sont largement ‘corsetées’ et contenues artificiellement dans un chenal qui les contraint à enfoncer leur lit verticalement pour créer des méandres indispensables à la régulation du débit. Cet enfoncement fait disparaître les zones humides en bordure des rivières. L’Allier

un goût de non-sens, de folie, de confusion et de rêve, comme la vie de tout homme qui ne veut plus se mentir. » L’histoire d’Émile Sinclair, éminemment rétrospective, peut alors débuter. Le protagoniste commence par nous introduire dans les méandres de son enfance. Alors âgé de dix ans, Émile Sinclair perçoit le monde comme se divisant fondamentalement en deux : se trouve d’une part le monde lumineux, incarné par la bienveillance et par la foi de sa famille, et d’autre part le monde obscur,

jour sont célébrés du lundi au samedi, et sept le dimanche. En ajoutant les fêtes et services religieux exceptionnels, ce sont plus de 2 000 célébrations par an qui se passent sous les voûtes de la cathédrale. L’Île de la Cité est formée par les méandres de la Seine. Habitée par les Gaulois Parisis dès le deuxième siècle avant J-C et occupée par les Romains de Jules César en 52 avant J-C, elle s’étend sur sept hectares, au carrefour de la navigation sur la Seine et de la grande voie romaine appelée

distinguer du commun des mortels. Cette position privilégiée s’illustre très clairement dans l’apostrophe volontairement méprisante du premier vers de la deuxième strophe. L’alternative trouvée par l’auteur prend tout son sens grâce à la métaphore du « méandre bleu qui vers le ciel...». Fumer lui permet de se refugier dans un monde imaginaire loin de l’agitation vaine de ses semblables qui luttent en vain. L’effet apaisant, voire anesthésiant de la cigarette « m’endort » peut nous inciter à penser qu’il

vers est ainsi la proclamation catégorique que la route n'est en rien redoutable, qu'elle est une chance, un peu comme une forme de défi. Le texte est ainsi traversé par un champ lexical du mouvement perçu comme une progression : « La route », les « méandres », la « trajectoire », des « taxis », « la marée monte », « frapper à ta porte ». On peut y voir une curiosité, un commencement : bouger, c'est évoluer. Se pose alors la question du sens dans toutes ses significations : – la direction : le mouvement

drôle ! Certains de ses amis lui tournent le dos. Hilarant ! Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour diffamation à caractère racial. Irrésistible ! Rions donc, la vie de l'humoriste est un long fleuve où il y aurait lieu de s'esclaffer à chaque méandre. Mouais... Depuis un certain soir de décembre, même parmi ses fans, y a des zygomatiques qui grincent. Ce jour-là, sur le plateau de Marc-Olivier Fogiel, Dieudonné est déguisé en juif orthodoxe. Convertissez-vous comme moi, rejoignez l'axe du bien