Mécanique hamiltonienne

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au sol. Dans sa Mécanique, Isaac Newton présupposait que les corps étaient dotés d’une vitesse absolue, autrement dit qu’ils étaient soit « réellement » au repos, soit « réellement » en mouvement. Il remarqua aussi que ces vitesses absolues étaient non mesurables autrement que relativement aux vitesses des autres corps (de la même manière, la position d’un corps n’était mesurable que relativement à celle d’un autre corps, etc.). En conséquence, toutes les lois de la mécanique newtonienne devaient

est évidemment regrettable. L’effet contraire est même observable, comme le prouve bien le « régime aux sciences dures » appliqué pendant les deux ans de classe préparatoire, particulièrement éprouvants : nous sommes amenés à y résoudre de manière mécanique un grand volume de problèmes, parfois créés pour nous embêter. Cette absence de liens avec des applications concrètes et ce côté rébarbatif entrainent invariablement une perte d’intérêt. Ces méthodes d’apprentissage sont clairement inhibitrices :

débute en 1896 (découverte de l’uranium et de sa radioactivité par Becquerel) et aboutit dans les années 20 avec la conception du modèle d’atome de Bohr (Heisenberg, Pauli, Fermi) grâce aux concepts de la théorie de la relativité (Einstein) et de la mécanique quantique (Planck). Ces découvertes majeures sur la structure de la matière ne semblent pas avoir beaucoup d’applications possibles (à part l’utilisation du radium en médecine où dans les montres). En 1934, I. et F. Joliot-Curie découvrent la

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Plank faisait une découverte cruciale, en notant que l’énergie n’est pas continue, mais qu’elle se libère en paquets séparés, donnant naissance à la Mécanique quantique (ou physique quantique). La “mécanique” est un terme de physique qui désigne l’étude du mouvement, et un “quantum”, la quantité de quelque chose. Dès 1927, les fondations de la Mécanique quantique (ou l’étude du mouvement des quanta), étaient mises en place. Etat latent de la réalité, passage obligé de l’indéterminé au tangible,

IUT Poitiers GTE-S3 21/10/2010 Contrôle de Mécanique des Fluides __________________ I. Questions de cours (sans document ; barème : 5/20) Répondre de façon concise (une seule phrase pertinente, sans aucune relation mathématique) aux questions suivantes : a) Quelle est la différence fondamentale entre les équations d'Euler et celles de Navier- Stokes ? Rep. : Ces équations traduisent le principe de conservation de la quantité de mouvement ("principe fondamental de la Dynamique"). Les

    http://www.etudes.ecp.fr/physique/illustrations/helium-quantique.html   La superfluidité des polaritons La superfluidité, c’est-à-dire la propriété d’un fluide quantique de s’écouler sans friction, est l’un des phénomènes les plus spectaculaires qui peuvent être observés dans des gaz dégénérés de bosons. Depuis sa découverte en 1938 dans l’Hélium liquide, la superfluidité a été mise en évidence dans des systèmes très différents et le lien subtil entre superfluidité et condensation de

sont à regarder en seconde lecture. 1 Pascal PUECH, version 2 2004, cours d’optique Notion de rayon lumineux L’optique est une science dont les fondements ont été établis avant le XX siècle. Depuis le début du siècle, la révolution de la mécanique quantique, et par conséquent de la nature quantique de la lumière a profondément modifié notre façon d’apprécier les phénomènes. Néanmoins, les principes déjà établis n’ont pas été pour autant obsolètes, cette nouvelle vision a simplement permis

reconnu pour avoir fondé la mécanique classique, pour sa théorie de la gravitation universelle et la création, en concurrence avec Leibniz, du calcul infinitésimal. Son ouvrage Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica , écrit en 1686, est considéré comme une œuvre majeure dans l'histoire de la science. C'est dans celui-ci qu'il décrit la gravitation universelle, formule les trois lois du mouvement et jette les bases de la mécanique classique. D’abord, la mécanique qu’est ce donc ? On a besoin